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vendredi 20 juin
Aix-en-Provence, Hôtel de Caumont
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vendredi 16 mai
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mercredi 7 mai
Observatoire de Marseille - Association Andromède

Visites au Mucem 2025

visite

jeudi 16 janvier : Visite Mucem : En piste ! Clowns, pitres et saltimbanques

Commentée par Vincent Giovannoni
cirque_amar2_c_mucem

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Visite Mucem : En piste ! Clowns, pitres et saltimbanques

Derrière le vestibule du bonimenteur s’ouvre la vaste nef aux couleurs… Nous voilà en piste ! projetés parmi les clowns, les pitres et les saltimbanques, parmi les traces des spectacles disparus. Dans cette exposition pas comme les autres, la metteuse en scène Macha Makeïeff nous invite à l’intérieur d’une scène imaginaire, un récit sensible entre fragilité et fantaisie, reliques et fête troublante. Ici, les œuvres flottent au-dessus de nos têtes, d’autres paradent, posent, s’exposent, s’illusionnent, s’empilent, s’offrent à nous comme des moments de la vie vagabonde. Il y a mille choses à découvrir et à deviner dans la pénombre autant que dans la lumière ! Parmi les pièces des collections foraines du Mucem, les objets de collectionneurs et d’artistes dont Bartabas, les accessoires déclassés, costumes, décors de spectacles passés, choses, images, on découvre des œuvres parmi les plus célèbres (dont le portrait de Joaquín Salvado en Arlequin peint par Picasso en 1923), jusqu’au plus humble des sifflets ayant appartenu à un clown dont le nom a disparu des livres d’histoire. On y voit des trapèzes usés jusqu’à la corde flotter dans les airs au-dessus de sculptures signées par des artistes de renommée. L’éclatant est posé aux côtés du misérable. Le sacré émerge ici du profane. Plus de 100 œuvres du Mucem sont à découvrir, têtes de marionnette en bois du XIXe et du XXe siècle, manteaux de clown brodés de milliers de paillettes, costumes de scène et bagages d’artistes qui ont enfermé bien des secrets.   


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vendredi 24 janvier : Visite Mucem : Méditerranées

commentée par les commissaires de l'exposition.
Jules_Migonney_Tamaroud-Kabylie_1910_©_Mucem_Marianne_Khun

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Visite Mucem : Méditerranées

                                      Jules Migonney Tamaroud-Kabylie 1910 © Mucem Marianne Khun      Les imaginaires de la Méditerranée sont multiples. Cette exposition s’interroge sur la manière dont se sont formés et diffusés ces imaginaires, et notamment sur le rôle des musées dans la création de ces « images » de la Méditerranée, toutes relatives et toutes construites.      Dans les musées de beaux-arts, ce sont les civilisations du passé, en particulier celles de l’Antiquité, qui sont mises en valeur et qui construisent une Méditerranée rêvée nourrie de l’Odyssée d’Homère, de temples grecs et de récits sur Rome et Palmyre.      Les musées d’ethnographie, qui apparaissent durant la période coloniale, s’intéressent pour leur part aux sociétés géographiquement ou culturellement « lointaines ». La sincérité de l’intérêt scientifique et humain pour l’Autre y côtoie les intérêts et les entreprises des puissances coloniales.      Les musées de beaux-arts et les musées d’ethnographie se distinguent par les objets qu’ils conservent et les disciplines qui les étudient. Le Mucem souhaite aujourd’hui dépasser ces frontières et mettre en évidence les parallèles et les influences mutuelles qui existent entre ces deux types de musée. Suivant cette idée, « Méditerranées » mêle différents modèles muséographiques historiques.      L’exposition présente plus de 300 objets et documents ; les dépôts proviennent d’une vingtaine d’institutions.


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lundi 27 janvier : Visite Mucem : En piste ! Clowns, pitres et saltimbanques

Commentée par Vincent Giovannoni
cirque_amar2_c_mucem

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Visite Mucem : En piste ! Clowns, pitres et saltimbanques

Derrière le vestibule du bonimenteur s’ouvre la vaste nef aux couleurs… Nous voilà en piste ! projetés parmi les clowns, les pitres et les saltimbanques, parmi les traces des spectacles disparus. Dans cette exposition pas comme les autres, la metteuse en scène Macha Makeïeff nous invite à l’intérieur d’une scène imaginaire, un récit sensible entre fragilité et fantaisie, reliques et fête troublante. Ici, les œuvres flottent au-dessus de nos têtes, d’autres paradent, posent, s’exposent, s’illusionnent, s’empilent, s’offrent à nous comme des moments de la vie vagabonde. Il y a mille choses à découvrir et à deviner dans la pénombre autant que dans la lumière ! Parmi les pièces des collections foraines du Mucem, les objets de collectionneurs et d’artistes dont Bartabas, les accessoires déclassés, costumes, décors de spectacles passés, choses, images, on découvre des œuvres parmi les plus célèbres (dont le portrait de Joaquín Salvado en Arlequin peint par Picasso en 1923), jusqu’au plus humble des sifflets ayant appartenu à un clown dont le nom a disparu des livres d’histoire. On y voit des trapèzes usés jusqu’à la corde flotter dans les airs au-dessus de sculptures signées par des artistes de renommée. L’éclatant est posé aux côtés du misérable. Le sacré émerge ici du profane. Plus de 100 œuvres du Mucem sont à découvrir, têtes de marionnette en bois du XIXe et du XXe siècle, manteaux de clown brodés de milliers de paillettes, costumes de scène et bagages d’artistes qui ont enfermé bien des secrets.   


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jeudi 30 janvier : Visite Mucem : Revenir

Commentée par Giulia Fabbiano
Taysir Batniji_ Sans titre_ 2007-2014_ trousseau de cles en verre © Taysir Batniji

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Visite Mucem : Revenir

Taysir Batniji, Sans titre, 2007-2014, trousseau de cles en verre © Taysir Batniji Cette exposition s’intéresse à la question des migrations en Méditerranée sous l’angle peu connu du « retour ». À travers des objets, des œuvres d’art et des parcours de vie, elle souhaite approcher la complexité des expériences du « revenir », prises entre déracinements et enracinements, pratiques et imaginaires, gouvernances nationales et aspirations individuelles. Il s’agit de questionner ces réalités plurielles, circulatoires, non linéaires, parfois empêchées, parfois détournées, qui engagent le chez-soi, sa reconnaissance et sa transposition, sans omettre les mémoires et les rêves qui y sont intimement liés.  L’exposition rend compte de ces possibles dans un parcours où s’entremêlent des œuvres conservées en collections publiques, des objets intimes et documents familiaux, ainsi que des créations d’artistes contemporains dont la pratique fait écho à leur expérience personnelle de l’exil et du retour.  Tout au long du parcours, nous verrons que le retour prend des formes différentes selon les trajectoires migratoires, les générations, les rapports entretenus avec l’espace natal ou ancestral et les politiques étatiques. Dès lors, le revenir est l’expression d’un devenir – un projet ou un mouvement – qui esquisse la géographie de l’appartenance dans ses expériences (im)possibles. 


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lundi 3 février : Visite Mucem : Revenir

Commentée par Giulia Fabbiano
Taysir Batniji_ Sans titre_ 2007-2014_ trousseau de cles en verre © Taysir Batniji

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Visite Mucem : Revenir

Taysir Batniji, Sans titre, 2007-2014, trousseau de cles en verre © Taysir Batniji Cette exposition s’intéresse à la question des migrations en Méditerranée sous l’angle peu connu du « retour ». À travers des objets, des œuvres d’art et des parcours de vie, elle souhaite approcher la complexité des expériences du « revenir », prises entre déracinements et enracinements, pratiques et imaginaires, gouvernances nationales et aspirations individuelles. Il s’agit de questionner ces réalités plurielles, circulatoires, non linéaires, parfois empêchées, parfois détournées, qui engagent le chez-soi, sa reconnaissance et sa transposition, sans omettre les mémoires et les rêves qui y sont intimement liés.  L’exposition rend compte de ces possibles dans un parcours où s’entremêlent des œuvres conservées en collections publiques, des objets intimes et documents familiaux, ainsi que des créations d’artistes contemporains dont la pratique fait écho à leur expérience personnelle de l’exil et du retour.  Tout au long du parcours, nous verrons que le retour prend des formes différentes selon les trajectoires migratoires, les générations, les rapports entretenus avec l’espace natal ou ancestral et les politiques étatiques. Dès lors, le revenir est l’expression d’un devenir – un projet ou un mouvement – qui esquisse la géographie de l’appartenance dans ses expériences (im)possibles. 


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mardi 4 mars : L'OPERA DE MARSEILLE : Une première de 1924 à 2024

EXPO OPERA

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L'OPERA DE MARSEILLE : Une première de 1924 à 2024

1924 - 2024 : cent ans de passion Temple de l’art lyrique et bijou, unique en son genre, de l’architecture Art déco, l’Opéra de Marseille fête le centenaire de sa reconstruction, après le dramatique incendie du 13 novembre 1919 qui détruisit presque entièrement le Grand Théâtre. En 1987, une première exposition aux Archives municipales, Divines divas, était plus portée sur l’art lyrique. Le parti pris de la présente exposition est de proposer une sélection de documents entrés et traités ces quarante dernières années, dans une perspective moins axée sur l’art lyrique, pour tenter de retracer à la fois la complexité de la reconstruction de l’Opéra dans les années 1920, mais aussi le travail en coulisse et au quotidien de montage de spectacles depuis un siècle.


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mercredi 26 mars : Jardins des migrations

Visite commentée par Catherine Millet et Paule Acquaviva, amies du MUCEM
DSCN6537JARDIN

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Jardins des migrations

Le jardin des migrations est un ensemble de 15 tableaux réalisé en 2013 par la société paysagiste APS. Il propose de retrouver la diversité botanique méditerranéenne face au large ou à la ville de Marseille. C'est  le premier jardin méditerranéen de Marseille, il est le témoin des évolutions climatiques et nous invite à réfléchir sur les apports et les enjeux d'espèces nouvelles. 


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jeudi 10 avril : "Populaire ?", Les trésors des collections du Mucem

Commentée par Mireille Jacotin Co commissaire de l'exposition
Albanie_2010©Endri_Dani

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"Populaire ?", Les trésors des collections du Mucem

Cette exposition permanente souhaite présenter sa collection dans toute sa diversité. Elle réunit en effet les fonds historiques du Musée national des arts et traditions populaires, les collections européennes du Musée de l’Homme et celles acquises depuis le début des années 2000 dans une volonté d’ouverture vers la Méditerranée et le monde contemporain. Le parcours général propose un cheminement au gré de grandes catégories empruntées au vocabulaire de l’histoire des arts et des techniques (" peinture ", " sculpture ", " arts du métal ", " céramique ", etc.). Un parcours qui fait émerger les particularités de la collection du Mucem en rompant avec la hiérarchisation habituelle entre beaux-arts et arts populaires. On passe ainsi d’objets attendus dans un musée (par exemple des tableaux, des ex-voto, des icônes, etc.) à des éléments plus surprenants (comme des portes de ruche décorées), et d’objets familiers du grand public à des éléments plus inattendus voire mystérieux de prime abord.


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jeudi 24 avril : Visite Mucem : En piste ! Clowns, pitres et saltimbanques

Commentée par Vincent Giovannoni
cirque_amar2_c_mucem

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Visite Mucem : En piste ! Clowns, pitres et saltimbanques

Derrière le vestibule du bonimenteur s’ouvre la vaste nef aux couleurs… Nous voilà en piste ! projetés parmi les clowns, les pitres et les saltimbanques, parmi les traces des spectacles disparus. Dans cette exposition pas comme les autres, la metteuse en scène Macha Makeïeff nous invite à l’intérieur d’une scène imaginaire, un récit sensible entre fragilité et fantaisie, reliques et fête troublante. Ici, les œuvres flottent au-dessus de nos têtes, d’autres paradent, posent, s’exposent, s’illusionnent, s’empilent, s’offrent à nous comme des moments de la vie vagabonde. Il y a mille choses à découvrir et à deviner dans la pénombre autant que dans la lumière ! Parmi les pièces des collections foraines du Mucem, les objets de collectionneurs et d’artistes dont Bartabas, les accessoires déclassés, costumes, décors de spectacles passés, choses, images, on découvre des œuvres parmi les plus célèbres (dont le portrait de Joaquín Salvado en Arlequin peint par Picasso en 1923), jusqu’au plus humble des sifflets ayant appartenu à un clown dont le nom a disparu des livres d’histoire. On y voit des trapèzes usés jusqu’à la corde flotter dans les airs au-dessus de sculptures signées par des artistes de renommée. L’éclatant est posé aux côtés du misérable. Le sacré émerge ici du profane. Plus de 100 œuvres du Mucem sont à découvrir, têtes de marionnette en bois du XIXe et du XXe siècle, manteaux de clown brodés de milliers de paillettes, costumes de scène et bagages d’artistes qui ont enfermé bien des secrets.   


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jeudi 15 mai : Visite Mucem : Hervé Di Rosa Un air de famille

Commentée par Vincent Giovannoni, commissaire de l'exposition
Di rosa

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Visite Mucem : Hervé Di Rosa Un air de famille

Hervé Di Rosa, Les Marseillais, 2024. © Adagp, Paris, 2025, photo : © JoãoFerrand/JFF, 2025 Orgue de foire à cent cinq touches, vers 1920 © Mucem / Marianne Kuhn Pour présenter le beau et patient travail d’enchâssement des collections du Mucem par les oeuvres d’Hervé Di Rosa, réalisées sur mesure par l’artiste, il fallait un parcours inventif et joyeux. Jean Seisser, directeur artistique, complice de longue date d’Hervé Di Rosa, a imaginé l’exposition comme un archipel constitué d’une quinzaine d’îlots. Chacun de ces îlots rapproche quelques-uns des objets des collections du Mucem d’une création d’Hervé Di Rosa. Ces îlots livrent chacun une histoire entière, librement interprétable par le visiteur. Curieux de tout et porté par le vif désir de parcourir le monde, immédiatement après le bac Hervé Di Rosa intègre l’École nationale Supérieure des Arts décoratifs (à Paris). Toujours et où qu’il vive, Hervé Di Rosa travaille avec les artisans du lieu. Ceux qui partout dans le monde, savent actualiser leur savoir-faire à chaque génération, pour créer des oeuvres destinées aux lieux où elles apparaissent, aux gens qui y vivent. Une large peinture sur toile représente les « Marseillais » et leurs portraits forment également le décor des claustras suspendus qui jalonnent l’exposition.


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lundi 2 juin : Visite Mucem : Hervé Di Rosa Un air de famille

Commentée par Vincent Giovannoni, commissaire de l'exposition
Di rosa

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Visite Mucem : Hervé Di Rosa Un air de famille

Hervé Di Rosa, Les Marseillais, 2024. © Adagp, Paris, 2025, photo : © JoãoFerrand/JFF, 2025 Orgue de foire à cent cinq touches, vers 1920 © Mucem / Marianne Kuhn Pour présenter le beau et patient travail d’enchâssement des collections du Mucem par les oeuvres d’Hervé Di Rosa, réalisées sur mesure par l’artiste, il fallait un parcours inventif et joyeux. Jean Seisser, directeur artistique, complice de longue date d’Hervé Di Rosa, a imaginé l’exposition comme un archipel constitué d’une quinzaine d’îlots. Chacun de ces îlots rapproche quelques-uns des objets des collections du Mucem d’une création d’Hervé Di Rosa. Ces îlots livrent chacun une histoire entière, librement interprétable par le visiteur. Curieux de tout et porté par le vif désir de parcourir le monde, immédiatement après le bac Hervé Di Rosa intègre l’École nationale Supérieure des Arts décoratifs (à Paris). Toujours et où qu’il vive, Hervé Di Rosa travaille avec les artisans du lieu. Ceux qui partout dans le monde, savent actualiser leur savoir-faire à chaque génération, pour créer des oeuvres destinées aux lieux où elles apparaissent, aux gens qui y vivent. Une large peinture sur toile représente les « Marseillais » et leurs portraits forment également le décor des claustras suspendus qui jalonnent l’exposition.