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mercredi 19 juin
"Populaire ?", Les trésors des collections du Mucem
jeudi 20 juin
Visite Mucem : Méditerranées
jeudi 27 juin
Visite Mucem : Méditerranées
lundi 6 mai
Passions partagées De Basquiat à Edith Piaf, la Collection Lambert
jeudi 6 juin
Une journée à Lyon: la Croix-Rousse des Canuts
vendredi 17 mai
Conférence UTL : « Les Canuts : maîtres-tisseurs, maîtres-penseurs »

 2017

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jeudi 12 janvier : Autour de Laurent Gaudé

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Autour de Laurent Gaudé

Le soleil des Scorta La mort du roi Tsongor Ecoutez nos défaites


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lundi 16 janvier : Exposition « Après Babel, traduire »

Visite commentée par Barbara Cassin, Commissaire de l?exposition
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Exposition « Après Babel, traduire »

La traduction est l?un des grands enjeux culturels et sociétaux de ce monde global, devenu le nôtre. Plutôt que de se satisfaire d?une communication rapide dans une langue elle aussi globalisée, il s?agit de permettre, par la traduction et à partir de leurs différences, le passage d?une langue à l?autre, d?une culture à l?autre. En faisant ainsi se rencontrer différentes visions du monde, on se donne aussi un modèle pour une citoyenneté d?aujourd?hui. Partant de Babel, en se demandant si le mythe fut une malédiction ou une chance, l?exposition Après Babel, traduire donne à voir, à penser et à voyager dans cet entre-deux qu?est la traduction. Le propos est soutenu par des documents et des textes, par des oeuvres et des installations propres à manifester de façon spectaculaire les jeux et les enjeux de la traduction.


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lundi 16 janvier : Visite commentée de l'exposition « Café In »

Visite commentée par Françoise Dallemagne, conservateur et co-commissaire de l’exposition au MuCEM
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Visite commentée de l'exposition « Café In »

L’imaginaire contemporain du café est tout entier enraciné et organisé autour du bien-être individuel et collectif des hommes. Les vertus de cette boisson, médicinale d’abord puis appréciée pour son goût et conviviale ensuite, l’ont finalement emporté sur toutes formes de procès. En quelques siècles, le café est certes devenu une gigantesque économie mais il s’est surtout imposé comme un rituel anthropologique au sens le plus étymologique du terme.  De la baie à la tasse, c’est l’histoire, la géographie, l’économie, l’environnement, la consommation, la publicité et l’esthétique du café qui se mêlent et s’emmêlent dans un vaste et même univers. Il s’agit in fine de transformer le visiteur / consommateur de café en spectateur éclairé d’une histoire qu’il soupçonnait peu et dont il vient de comprendre qu’elle lui est familière. Plus de trois cents œuvres d’art, photographies, objets, gravures, dessins, ouvrages rares, correspondances, archives audiovisuelles et textes inédits illustreront sur plus de 1 000 m² l’histoire du café dans le monde.


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mardi 17 janvier : Visite commentée du CIRVA

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Visite commentée du CIRVA

Centre d?art contemporain crée en 1983 sur l?initiative du Ministère de la Culture, le CIRVA est installé depuis 1986 à Marseille dans un ancien bâtiment industriel, en plein c?ur du quartier Euroméditerranée. Atelier de recherche et de création contemporaine, le CIRVA accueille des plasticiens, designers ou architectes ayant des pratiques variées et désirant introduire le verre dans leur démarche créative.Artiste en résidence : Pernelle Poyet


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vendredi 20 janvier : Exposition « Après Babel, traduire »

Visite commentée par Sophie Bernillon, Conservateur des bibliothèques au Mucem
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Exposition « Après Babel, traduire »

La traduction est l?un des grands enjeux culturels et sociétaux de ce monde global, devenu le nôtre. Plutôt que de se satisfaire d?une communication rapide dans une langue elle aussi globalisée, il s?agit de permettre, par la traduction et à partir de leurs différences, le passage d?une langue à l?autre, d?une culture à l?autre. En faisant ainsi se rencontrer différentes visions du monde, on se donne aussi un modèle pour une citoyenneté d?aujourd?hui. Partant de Babel, en se demandant si le mythe fut une malédiction ou une chance, l?exposition Après Babel, traduire donne à voir, à penser et à voyager dans cet entre-deux qu?est la traduction. Le propos est soutenu par des documents et des textes, par des oeuvres et des installations propres à manifester de façon spectaculaire les jeux et les enjeux de la traduction.


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vendredi 20 janvier : Rencontre sur le thème « Kazantsakis et la Méditerranée »

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Rencontre sur le thème « Kazantsakis et la Méditerranée »

Rencontre avec M.Georges Stassinakis Président des amis de Nikos Kazantzakis. A travers des lectures et des musiques nous redécouvrirons ensemble l'auteur du héros  Grec internationalement connu : ZORBA LE GREC. Cette rencontre est organisée par Marie-Christine Viviers au titre de l?association France Grèce, en collaboration avec les Amis du Mucem.


sortie

mercredi 25 janvier : « Dans le nom » au Théâtre de La Criée



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« Dans le nom » au Théâtre de La Criée

Un thriller où plane comme une odeur de vengeance et de sorcellerie... Tiphaine Raffier y ausculte la part d'ombre qui ordonne sourdement les transformations du monde rural contemporain, dans une langue nerveuse et tranchante comme la parole des sorciers.


sortie

jeudi 26 janvier : Sur les traces de la première cave, une histoire du vin à Massalia

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Sur les traces de la première cave, une histoire du vin à Massalia

En suivant les traces du héros de La Première cave, Olivier Houles vous conduira à la découverte du premier vignoble de France. Chassés par l'empereur Darius Ier, les phocéens vinifieront les premiers vins de la Gaule, ici, dans la balbutiante Massalia. Comment le florissant commerce du vin - une amphore de vin s'échangeait contre un esclave – a-t-il permis l'expansion de la première ville de France ? Après une brève introduction sur l'histoire du vin notre romancier vigneron dévoilera les origines vigneronnes de la ville antique depuis les berges du Vieux-Port à la butte des Carmes en rentrant par la place de Lenche.


voyage

vendredi 27 janvier - mardi 7 février : Voyage à Cuba

A la découverte de Cuba en écho à l’exposition Café in
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event

lundi 6 février : Guided visit of exhibition "After Babel, translate"

with Barbara Cassin, show's curator
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Guided visit of exhibition "After Babel, translate"

The After Babel, Translate exhibition is running at the Mucem from 14 December 2016 to 20 March 2017. Babel, a Hebrew word meaning ?confusion?, is in reference to the Tower of Babel, the origin of language diversity. But is this diversity a curse or an opportunity? It?s an opportunity, provided there is translation? Translation is not only a historical event, but also a contemporary challenge. Language diversity might often seem to be an obstacle to the emergence of a united society and a common political space, but the After Babel, Translate exhibition turns this proposition on its head and shows how translation, this bridging of differences, is a good model for today?s citizenship. Barbara Cassin, the renowned French philosopher and curator of the show, will take us through her exhibition step by step ? this is an opportunity not to miss!


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jeudi 9 février : Café littéraire : Les émigrants, de W.G.Sebald (coll. Babel)

Sebald


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jeudi 9 février : Natacha APPANAH-MOURIQUAND "Le Dernier Frère"

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Natacha APPANAH-MOURIQUAND "Le Dernier Frère"

Lorsque David lui apparaît en rêve, Raj se retrouve projeté dans son enfance : les champs de canne, un père à la violence prévisible, la tendresse maternelle, les jeux près de la rivière avec ses frères, le soleil brûlant, les pluies diluviennes. Un bonheur précaire balayé par un cyclone, et l'installation de la famille près de la prison où vivent de mystérieux réfugiés. Le 26 décembre 1940, l'Atlantic accoste à Port-Louis avec, à bord, quelque 1500 Juifs, refoulés de Palestine et déportés à l'île Maurice, alors colonie britannique. À cette époque Raj ignore tout du monde et des tragédies qui s'y déroulent. Au soir de sa vie, il est rattrapé par le souvenir de ces événements qui l'ont marqué au fer rouge. Et par la honte d'être un homme.


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vendredi 10 février : D'une Méditerranée, l'autre. Exposition à l'Hôtel des Arts de Toulon et au FRAC à Marseille

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D'une Méditerranée, l'autre. Exposition à l'Hôtel des Arts de Toulon et au FRAC à Marseille

L?Hôtel des Arts de Toulon et le FRAC Provence-Alpes-Côte d?Azur à Marseille se sont associés pour présenter simultanément dans leurs locaux une exposition d?art contemporain conçue initialement par la BNL (Banca Nazionale del Lavoro), filière italienne de la banque BNP PARIBAS. Cette exposition mettait en avant des artistes de la Méditerranée. La Fondation BNP Parisbas a sollicité le Fonds régional d?art contemporain à Marseille ainsi que l?Hôtel des Arts de Toulon pour imaginer une nouvelle lecture de cette exposition. Ainsi, les deux institutions ont, à partir des pièces initialement choisies, complété cet ensemble riche et cohérent par des pièces issues de leurs collections respectives et par des prêts d?oeuvres. Si l?Hôtel des Arts, sous le commissariat de son directeur Ricardo Vasquez, propose une évocation de la situation contemporaine de notre région, appuyée sous la double notion de voyage et d?introspection, le FRAC sous le commissariat de son directeur Pascal Neveux, s?attache à montrer un ensemble d?oeuvres majoritairement axées sur les tensions et les conflits qui submergent actuellement la Méditerranée.


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samedi 11 février : «La résistible ascension d’Arturo UI » au théâtre du Gymnase



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«La résistible ascension d’Arturo UI » au théâtre du Gymnase

À oeuvre majeure, acteur majeur ! Philippe Torreton le flamboyant acteur moliérisé, césarisé et engagé, incarne la bête Arturo Ui, alias Al Capone, alias Richard III, alias Hitler dans la comédie du pouvoir écrite par Bertolt Brecht en pleine période nazie


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lundi 27 février : Exposition « Après Babel, traduire »

Visite commentée par Sophie Bernillon, Conservateur des bibliothèques au Mucem
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Exposition « Après Babel, traduire »

La traduction est l?un des grands enjeux culturels et sociétaux de ce monde global, devenu le nôtre. Plutôt que de se satisfaire d?une communication rapide dans une langue elle aussi globalisée, il s?agit de permettre, par la traduction et à partir de leurs différences, le passage d?une langue à l?autre, d?une culture à l?autre. En faisant ainsi se rencontrer différentes visions du monde, on se donne aussi un modèle pour une citoyenneté d?aujourd?hui. Partant de Babel, en se demandant si le mythe fut une malédiction ou une chance, l?exposition Après Babel, traduire donne à voir, à penser et à voyager dans cet entre-deux qu?est la traduction. Le propos est soutenu par des documents et des textes, par des oeuvres et des installations propres à manifester de façon spectaculaire les jeux et les enjeux de la traduction.


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lundi 13 mars : Exposition « Après Babel, traduire »

Visite commentée par Régis Bernard
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Exposition « Après Babel, traduire »

La traduction est l?un des grands enjeux culturels et sociétaux de ce monde global, devenu le nôtre. Plutôt que de se satisfaire d?une communication rapide dans une langue elle aussi globalisée, il s?agit de permettre, par la traduction et à partir de leurs différences, le passage d?une langue à l?autre, d?une culture à l?autre. En faisant ainsi se rencontrer différentes visions du monde, on se donne aussi un modèle pour une citoyenneté d?aujourd?hui. Partant de Babel, en se demandant si le mythe fut une malédiction ou une chance, l?exposition Après Babel, traduire donne à voir, à penser et à voyager dans cet entre-deux qu?est la traduction. Le propos est soutenu par des documents et des textes, par des oeuvres et des installations propres à manifester de façon spectaculaire les jeux et les enjeux de la traduction.


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mercredi 15 mars : Café littéraire : Les Larmes, de Pascal Quignard et La bibliothèque de Babel, de Jorge Luis Borges

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Café littéraire : Les Larmes, de Pascal Quignard et La bibliothèque de Babel, de Jorge Luis Borges

En lien avec l'exposition "Après Babel, Traduire" et avec la présence de Sophie Bernillon, conservateur des bibliothèques au Mucem, et commissaire exécutif de cette exposition.


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mercredi 15 mars : « Fleur de Cactus » au théâtre du Gymnase



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« Fleur de Cactus » au théâtre du Gymnase

Texte Barillet et Grédy Mise en scène Michel Fau assisté de Damien Lefèvre. Avec Catherine Frot, Michel Fau, Mathilde Bisson, Patrick Ligardes, Marie-Hélène Lentiny, Wallerand de Normandie, Frédéric Imberty, Audrey Langle. La mécanique du vaudeville est ici absolue, le texte une véritable partition musicale et la folie raffinée de Catherine Frot s?accorde à merveille à cette fleur de cactus repiquée par Michel Fau. Du grand boulevard.


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jeudi 16 mars : Jean-Christophe DUCHON-DORIS "Le cuisinier de Talleyrand"

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Jean-Christophe DUCHON-DORIS "Le cuisinier de Talleyrand"

En cet automne 1814, toute l'Europe s'est donné rendez-vous à Vienne. A l'instigation des vainqueurs de Napoléon, un grand congrès va s'ouvrir pour régler la succession de l'Empire et la capitale autrichienne grouille de diplomates, d'espions, de courtisanes et de filous de tous poils aux intérêts les plus divers. Inquiète de cette effervescence, la police se serait bien passée d'un meurtre particulièrement sordide qui éveille les craintes d'un ultime complot napoléonien. Aussi, l'inspecteur Vladeski va-t-il devoir mener son enquête au sein même de la délégation française, dirigée par le très habile Talleyrand et son plus précieux atout pour séduire les congressistes, Antonin Carême, le meilleur cuisinier du monde.(Source Babelio)


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mardi 21 mars : Exposition « Une maison de verre ? Le CIRVA » au Musée Cantini

Visite commentée par Isabelle Reiher, commissaire de l?exposition et Directrice du Cirva
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Exposition « Une maison de verre ? Le CIRVA » au Musée Cantini

Centre d'art et atelier de recherche et de création contemporaine situé à Marseille, le Cirva accueille des plasticiens, designers ou architectes ayant des pratiques variées et désirant introduire le verre dans leur démarche créatrice. Ces artistes développent leurs projets de recherche assistés de l'équipe technique du Cirva, selon les modalités et le rythme convenant à chacun des projets. Il s?agit donc d?un réel laboratoire pensé pour les artistes, dans l'idée de leur offrir un espace et un outil de travail hors du commun. Depuis plus de vingt ans, le Cirva a accueilli quelque 200 artistes pour des projets divers, tant dans le domaine de l?art contemporain que du design et des arts décoratifs. L'exposition au musée Cantini, musée d'art moderne de la ville de Marseille, a l'ambition de traverser les 30 années de résidences d?artistes au Cirva, de 1986 à aujourd?hui. Conçu de manière fluide et non chronologique, le parcours propose de découvrir l'univers des artistes représentés dans la collection en présentant leurs travaux du Cirva en regard d'une sélection d'oeuvres issues des collections des musées de Marseille (Mac, Musée Cantini) et du Fonds régional d'art contemporain. Les choix sont opérés sur la base de l'approfondissement de l?oeuvre d'un artiste ou d'une période spécifique de la création contemporaine, ou encore sur la base de rapprochements formels, esthétiques ou thématiques. A l'image de la collection du Cirva, se côtoient des pièces qui relèvent des arts décoratifs et du design et des pièces de sculpture contemporaine. L'imbrication des différents champs de création au sein du parcours donne ainsi une vision poreuse des sources d'inspiration et des différentes approches des créateurs au Cirva.


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mardi 28 mars : Avignon : « Les Combas de Lambert » et le musée Angladon

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Avignon : « Les Combas de Lambert » et le musée Angladon

La sortie proposée en Avignon permettra de découvrir l?exposition-phare présentée actuellement par la « Collection Lambert » consacrée à Robert Combas, ainsi que le musée avignonnais le moins connu du public, le musée Angladon- Collection Jacques Doucet. La « Collection Lambert » a ouvert ses portes en juin 2000, à l?occasion de la célébration d? « Avignon-capitale européenne de la culture ». C?est dans l?Hôtel de Caumont, un ancien hôtel particulier du XVIIIèmè siècle (comme à Aix-en-Provence), qu?Yvon Lambert, galeriste et collectionneur, a décidé de mettre en dépôt sa collection personnelle après l?abandon du projet d?implantation dans l?ancien couvent des Ursulines à Montpellier. Le Musée Angladon- Collection Jacques Doucet est situé comme la Collection Lambert au centre-ville, en plein coeur du centre historique, dans un ancien hôtel particulier, l?Hôtel de Massilian. Le musée a ouvert en 1996 et doit son existence aux derniers héritiers de la collection Doucet, Jean et Paulette Angladon-Dubrujeaud. Ces derniers, artistes avignonnais sans descendance, avaient décidé de fonder ce musée afin de montrer au plus large public les oeuvres réunies par Jacques Doucet.


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mercredi 5 avril : Visite commentée de l'exposition "Vies d'ordures"

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Visite commentée de l'exposition "Vies d'ordures"

Exposer les manières dont les sociétés produisent, traitent, s’approprient et transforment les restes, apparait comme un enjeu central pour un musée de société comme le Mucem. Basée sur des enquêtes ethnographiques, cette exposition propose un voyage autour de la Méditerranée à la découverte des gestes des hommes et des femmes qui vivent des déchets. En montrant les façons dont nous les collectons, les trions, les réparons, les transformons, avec l’inventivité de la nécessité, elle dessine un monde d’échanges et de transferts autour de ces restes qui s’avèrent bien davantage que de simples rebuts. Par les détournements mais également par les traitements de haute-technologie dont ils font l’objet, les déchets donnent ainsi forme à nos paysages et à nos relations sociales. Un parcours avec 450 objets, installations, films, cartes et schémas sensibilise le public à la gestion individuelle et collective des déchets. Il lui permet de s’interroger sur ses modes de production et de consommation.


sortie

mercredi 5 avril : «Erich Von Stroheim » au théâtre du Gymnase



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«Erich Von Stroheim » au théâtre du Gymnase

Texte Christophe Pellet Mise en scène Stanislas Nordey Avec Emmanuelle Béart, Thomas Gonzalez Emmanuelle Béart est une actrice qui n?a pas froid aux yeux. Jetant par-dessus les moulins l?image glamour de ses débuts, elle choisit des aventures théâtrales hors normes, tel ici ce rôle de femme sans équivalent dans la littérature dramatique.


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dimanche 9 avril : Conférence : « Vies d'ordures, de l'économie des déchets »

Denis CHEVALLIER, Conservateur général du Patrimoine au MUCEM, Commissaire de l'exposition, et Bernard VIGNE, Ingénieur à l'ADEME ; conférence animée par Edmund PLATT (1 Piece of Rubbish / 1 Déchet Par Jour)
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Conférence : « Vies d'ordures, de l'économie des déchets »

Nos sociétés sont aujourd'hui confrontées à la masse des déchets qu'elles produisent en quantité croissante. Il leur faut les traiter, traitement qui le plus souvent consiste à les faire disparaître. C'est là un enjeu crucial, pour l'environnement et la santé publique. Mais c?est aussi un enjeu économique et sociétal majeur. L'exposition Vies d'ordures, de l'économie des déchets vise à montrer comment et par qui sont produits, traités, transformés ces restes. En écho à l'exposition Vies d'ordures, de l'économie des déchets, le MUCEM propose également un cycle de grandes conférences mensuelles autour du thème « Nature, culture, ordure » : évoquer l'économie des déchets est en effet l'occasion de mettre en lumière les crises écologiques et économiques qui touchent nos sociétés et ainsi de questionner les nouvelles manières d'habiter et de penser le monde qui en découle. De leur côté, les Amis du MUCEM, ont souhaité donner la parole à Denis CHEVALLIER, commissaire de l'exposition, dans le cadre de leur cycle de conférences. Il interviendra en compagnie de Bernard VIGNE de l?ADEME. Comment le problème des déchets est-il pris en charge dans la gestion de la cité ? Comment les différents acteurs sociaux interagissent-ils en ce domaine ? Le déchet ne serait-il pas aussi un catalyseur de citoyenneté ? Ce sont là les questions autour desquelles dialogueront Denis CHEVALLIER et Bernard VIGNE. Cette conférence s'inscrit dans le cadre du temps fort Mille plantes - Zéro déchets (7-9 avril) proposé par le MUCEM.


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lundi 10 avril : Galerie de la Méditerranée

Visite commentée par Zeev Gourarier, Conservateur général du patrimoine et Directeur Scientifique du Mucem
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Galerie de la Méditerranée

La galerie de la Méditerranée entame sa métamorphose : plus de 150 nouveaux objets dont 40 acquis par le MuCEM en 2015 Vous découvrirez dans les parties « invention des agricultures », « naissance des dieux » une nouvelle présentation qui met davantage en évidence la triade constituée de la vigne, de l'olivier ainsi que l'irrigation et l'élevage. De nouvelles présentations abordent l'olivier et la vigne par le biais des principaux outils traditionnels utilisés pour transformer ces matières premières en différents produits (huile, savon, vin, alcool, raisins secs,...).


lecture

jeudi 20 avril : « Kafka sur le rivage » de Haruki MURAKAMI

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« Kafka sur le rivage » de Haruki MURAKAMI

Magique, hypnotique, Kafka sur le rivage est un roman d'initiation où se déploient, avec une grâce infinie et une imagination stupéfiante, toute la profondeur et la richesse de Haruki Murakami. Une oeuvre majeure, qui s'inscrit parmi les plus grands romans d'apprentissage de la littérature universelle. Kafka Tamura, quinze ans, fuit sa maison de Tokyo pour échapper à la terrible prophétie que son père a prononcée contre lui. Nakata, vieil homme simple d'esprit, décide lui aussi de prendre la route, obéissant à un appel impérieux, attiré par une force qui le dépasse. Lancés dans une vaste odyssée, nos deux héros vont croiser en chemin des hommes et des chats, une mère maquerelle fantomatique et une prostituée férue de Hegel, des soldats perdus et un inquiétant colonel, des poissons tombant du ciel, et bien d'autres choses encore... Avant de voir leur destin converger inexorablement, et de découvrir leur propre vérité.


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lundi 24 avril : Assia Djebar: L'amour, la fantasia

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Assia Djebar: L'amour, la fantasia

En lien avec la conférence sur Abelkader et Napoléon III du cycle "Algérie-France".


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mercredi 26 avril : Visite commentée de l'exposition "Vies d'ordures"

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Visite commentée de l'exposition "Vies d'ordures"

Exposer les manières dont les sociétés produisent, traitent, s’approprient et transforment les restes, apparait comme un enjeu central pour un musée de société comme le Mucem. Basée sur des enquêtes ethnographiques, cette exposition propose un voyage autour de la Méditerranée à la découverte des gestes des hommes et des femmes qui vivent des déchets. En montrant les façons dont nous les collectons, les trions, les réparons, les transformons, avec l’inventivité de la nécessité, elle dessine un monde d’échanges et de transferts autour de ces restes qui s’avèrent bien davantage que de simples rebuts. Par les détournements mais également par les traitements de haute-technologie dont ils font l’objet, les déchets donnent ainsi forme à nos paysages et à nos relations sociales. Un parcours avec 450 objets, installations, films, cartes et schémas sensibilise le public à la gestion individuelle et collective des déchets. Il lui permet de s’interroger sur ses modes de production et de consommation.


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jeudi 27 avril : Patrimoine du Pays de Martigues

Sites archéologiques de Saint-Blaise et de l?Ile de Martigues - Chapelle de l?Annonciade
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Patrimoine du Pays de Martigues

La journée dans le pays de Martigues sera entièrement consacrée à des visites patrimoniales et, pour l?essentiel, archéologiques. Elle se déroulera sous la conduite de Jean Chausserie-Laprée, conservateur en chef du patrimoine de la Ville de Martigues et archéologue responsable du site de Saint-Blaise. Le site de Saint-Blaise dépend de la commune de Saint-Mitre-les-Remparts ; il est situé dans la forêt de Castillon, promontoire entouré de quatre étangs, le tout situé entre le golfe de Fos et l?étang de Berre, c?est l?un des plus grands sites archéologiques du sud de la France et, sans doute, l?un des moins bien connus. La vitrine archéologique que nous verrons l?après-midi est située place Maritima, sur lÎle de Martigues, le c?ur historique de la ville. Elle restitue un habitat gaulois urbain dont les substructions ont été retrouvées lors de fouilles archéologiques effectuées à l?occasion de travaux d?aménagement du site. La chapelle de l?Annonciade se présente comme une modeste chapelle, à l?ombre de l?église paroissiale St Genest construite en 1625. La chapelle fut édifiée entre 1661 et 1671 par la confrérie des Pénitents Blancs. La sobriété de son aspect architectural extérieur ne présage en rien l?éblouissant décor de l?intérieur. Celui-ci a été réalisé entre 1677 et 1734  et présente un magnifique exemple de décor baroque provençal.


sortie

vendredi 28 avril : « Neige » au Théâtre de La Criée


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mardi 9 mai : Visite du complexe de traitement des eaux usées « Géolide »

SERAMM (Service d'Assainissement Marseille Métropole)
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Visite du complexe de traitement des eaux usées « Géolide »

Marseille Provence a développé un savoir-faire reconnu sur le plan international dans le domaine de l?épuration des eaux, dont la qualité des rejets est supérieure aux normes en vigueur. Le territoire de Marseille Provence compte 10 stations de traitement des eaux usées. A Marseille, Géolide, située esplanade Ganay à côté du stade Vélodrome est la plus grande station d'épuration enterrée au Monde. Elle dépollue à elle seule les eaux de 17 communes dont une dizaine est située hors des frontières de son territoire (Aubagne, Belcodène, Cadolive, La Bouilladisse, La Destrousse, La Penne-sur-Huveaune, Peypin, Roquevaire, Saint- Savournin et une partie des Pennes-Mirabeau). Ce qui représente une capacité de traitement de 1 860 000 EH (équivalent habitants). Chaque année 70 millions de m3 transitent par cette station pour être dépollués avant leur rejet en mer, sans impact pour l?environnement et le milieu marin. En répondant au triple objectif Zéro Nuisance visuelle, olfactive et sonore, Géolide implantée en plein centre de la ville de Marseille, préserve la qualité de vie des Marseillais. La visite pédagogique de Géolide vous permettra de découvrir le parcours des eaux usées de Marseille et vous informera sur le fonctionnement de l?usine et le traitement de l?eau avant son retour dans le milieu marin en Méditerranée. Un parcours unique et passionnant au coeur du cycle des eaux usées marseillaises, en lien avec l?exposition « Vies d?Ordures »


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mercredi 10 mai : Visite du complexe de traitement des eaux usées « Géolide »

SERAMM (Service d?Assainissement Marseille Métropole)
Seramm Geolide

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Visite du complexe de traitement des eaux usées « Géolide »

Marseille Provence a développé un savoir-faire reconnu sur le plan international dans le domaine de l?épuration des eaux, dont la qualité des rejets est supérieure aux normes en vigueur. Le territoire de Marseille Provence compte 10 stations de traitement des eaux usées. A Marseille, Géolide, située esplanade Ganay à côté du stade Vélodrome est la plus grande station d'épuration enterrée au Monde. Elle dépollue à elle seule les eaux de 17 communes dont une dizaine est située hors des frontières de son territoire (Aubagne, Belcodène, Cadolive, La Bouilladisse, La Destrousse, La Penne-sur-Huveaune, Peypin, Roquevaire, Saint- Savournin et une partie des Pennes-Mirabeau). Ce qui représente une capacité de traitement de 1 860 000 EH (équivalent habitants). Chaque année 70 millions de m3 transitent par cette station pour être dépollués avant leur rejet en mer, sans impact pour l?environnement et le milieu marin. En répondant au triple objectif Zéro Nuisance visuelle, olfactive et sonore, Géolide implantée en plein centre de la ville de Marseille, préserve la qualité de vie des Marseillais. La visite pédagogique de Géolide vous permettra de découvrir le parcours des eaux usées de Marseille et vous informera sur le fonctionnement de l?usine et le traitement de l?eau avant son retour dans le milieu marin en Méditerranée. Un parcours unique et passionnant au coeur du cycle des eaux usées marseillaises, en lien avec l?exposition « Vies d?Ordures »


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jeudi 11 mai : Visite commentée de l'exposition "Vies d'ordures"

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Visite commentée de l'exposition "Vies d'ordures"

Exposer les manières dont les sociétés produisent, traitent, s’approprient et transforment les restes, apparait comme un enjeu central pour un musée de société comme le Mucem. Basée sur des enquêtes ethnographiques, cette exposition propose un voyage autour de la Méditerranée à la découverte des gestes des hommes et des femmes qui vivent des déchets. En montrant les façons dont nous les collectons, les trions, les réparons, les transformons, avec l’inventivité de la nécessité, elle dessine un monde d’échanges et de transferts autour de ces restes qui s’avèrent bien davantage que de simples rebuts. Par les détournements mais également par les traitements de haute-technologie dont ils font l’objet, les déchets donnent ainsi forme à nos paysages et à nos relations sociales. Un parcours avec 450 objets, installations, films, cartes et schémas sensibilise le public à la gestion individuelle et collective des déchets. Il lui permet de s’interroger sur ses modes de production et de consommation.


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jeudi 11 mai : « De la part de la princesse morte » de Kenizé MOURAD

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« De la part de la princesse morte » de Kenizé MOURAD

Ceci est l'histoire de ma mère, la princesse Selma, née dans un palais d'Istamboul." Ce pourrait être le début d'un conte ; c'est une histoire authentique qui commence en 1918 à la cour du dernier sultan de l'Empire ottoman. Selma a sept ans quand elle voit s'écrouler cet empire. Condamnée à l'exil, la famille impériale s'installe au Liban. Selma, qui a perdu à la fois son pays et son père, y sera « la princesse aux bas reprisés » C'est à Beyrouth qu'elle grandira et rencontrera son premier amour, un jeune chef druze ; amour tôt brisé. Selma acceptera alors d'épouser un raja indien qu'elle n'a jamais vu. Aux Indes, elle vivra les fastes des maharajas, les derniers jours de l'Empire britannique et la lutte pour l'indépendance. Mais là, comme au Liban, elle reste " l'étrangère " et elle finira par s'enfuir à Paris où elle trouvera enfin le véritable amour. La guerre l'en séparera et elle mourra dans la misère, à vingt-neuf ans, après avoir donné naissance à une fille : l'auteur de ce récit.


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lundi 15 mai : Visite du Jardin des migrations

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Visite du Jardin des migrations

Le Jardin des migrations, qui relie le MUCEM et le fort Saint Jean, a été aménagé de 2011 à 2013 par l?agence APS de Valence (paysagistes, urbanistes et architectes). C?est un jardin méditerranéen de plus de 12 000 m2 que les marseillais ont aussitôt adopté. Nous vous invitons à déambuler dans ce jardin unique, ouvert sur le large, hommage aux voyageurs qui ont naguère débarqué à Marseille et ont apporté avec eux des plantes de tout le pourtour de la Méditerranée. Qu?elles soient à usage domestique, aromatique, tinctorial, médicinal, ces plantes ont contribué à tisser des liens historiques entre les peuples. On en parle depuis l?Antiquité, que ce soit dans la mythologie, la Bible ou le Coran. Au cours de cette promenade à deux voix, nous observerons ensemble les origines, les usages et les mythes et symboles associés à quelques unes de ces 250 plantes méditerranéennes. Visite commentée par Régis BERNARD, sociologue et Adeline JOLY, historienne.


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jeudi 18 mai - samedi 20 mai : Entre Montagne et Riviera

Voyage aux confins du Comté de Nice
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Entre Montagne et Riviera

Le voyage du mois de mai 2017 nous conduira sur la Riviera française et dans son arrière-pays montagneux, la vallée de la Roya, aux confins du Comté de Nice, à quelques encablures de l?Italie. Le programme comprend la visite de sites significatifs de la Côte d?Azur à Roquebrune Cap-Martin, Menton et Saint Jean-Cap-Ferrat, ainsi que quelques aspects du riche patrimoine historique et artistique de la Vallée de la Roya : Saorge, Tende et La Brigue. Nous évoluerons entre architecture moderniste du XXème siècle, patrimoine architectural des XVème au XVIIIème, architecture contemporaine et folie du début XXème. Nous rencontrerons également l?oeuvre de deux artistes, Raoul Dufy et Jean Cocteau.


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samedi 27 mai : Les Amis en fête

Les Amis du Mucem fêtent cette année les 10 ans de leur association.
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Les Amis en fête

Animations autour d'un buffet de saveurs méditerranéennes à la Villa Méditerranée : les 10 années écoulées racontées par des Amis en son et en images, les « chants d’amour de la Méditerranée » interprétés par le Trio « A cordes et à cœur ».


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mercredi 31 mai : « UND » au théâtre du Gymnase



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« UND » au théâtre du Gymnase

Débuts splendides au théâtre pour Natalie Dessay, dans un monologue étrange et grinçant d'Howard Barker qui préserve intacte sa puissance lyrique. Frissons garantis.


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mercredi 31 mai : Conférence de Rudy Ricciotti à la Criée

Organisée par la Société des Amis du Mucem et le Théâtre de la Criée
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Conférence de Rudy Ricciotti à la Criée

Le nom de Rudy Ricciotti à Marseille, est immédiatement associé au Mucem. Le bâtiment du J4 dont il est le concepteur, associé à Roland Carta,est devenu le symbole du renouvellement architectural et urbain de la ville. Quatre ans après son achèvement et plus de trois ans après son ouverture au public, ce qui fut un pari culturel, architectural et technologique, apparaît aux yeux de tous comme une réussite emblématique de ce renouveau. Rudy Ricciotti est invité par les Amis du Mucem et le Théâtre de la Criée à raconter cette aventure au public le 31 mai prochain, aventure qui a commencé pour lui en octobre 2002 avec le lancement du concours international et qui s'est terminée onze ans plus tard avec l'ouverture du Mucem dans le cadre de Marseille-Provence, capitale européenne de la culture, en 2013.Rudy Ricciotti nous parlera de l?aventure technologique qu'a représenté ce projet, du béton comme matériau méditerranéen et matériau de proximité, du BFUP, ce béton si particulier et novateur dont il a fait des colonnes arborescentes, des pare-soleils sculptés comme des résilles et des audacieuses et fines passerelles liens entre la ville et la forteresse et entre celle-ci et le bâtiment contemporain du J4 ; il évoquera les avancées techniques et les procédés innovants qu'il a fallu faire valider en cours de chantier.Seront évoqués également les autres musées qu?il a construits, comme le musée Jean Cocteau de Menton, le Mémorial-musée du camp de Rivesaltes ou encore le Département des Arts de l'Islam du Louvre, ainsi que d?autres réalisations culturelles comme le Pavillon noir d'Aix-en-Provence et d'autres projets innovants en cours ou réalisés, réflexions sur l?interaction entre architecture et musées.Le public est invité à participer à cette rencontre avec Rudy Ricciotti qui aura lieu dans le Petit Théâtre de la Criée le mercredi 31 mai à 19 heures. Entrée gratuite sur réservation dans la limite des places disponibles. Architecte et ingénieur, Grand Prix National d?Architecture en 2006, Médaille d'or de l'Académie d'Architecture, Membre de l'Académie des technologies, Rudy Ricciotti est représentatif de cette génération d?architectes qui allient puissance de création et véritable culture constructive.Pionnier et ambassadeur du béton, il sublime les bétons innovants dans des réalisations marquantes telles que le Musée des Civilisations d?Europe et de Méditerranée (MUCEM) à Marseille, le Département des Arts de l'Islam au Musée du Louvre, le Stade Jean Bouin à Paris, le Musée Jean Cocteau à Menton, le Pont de la République à Montpellier, le Centre International d?Art et de Culture (CIAC) à Liège en Belgique, le Philharmonie Nikolaïsaal à Potsdam en Allemagne ou encore la Passerelle pour la Paix à Séoul.


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mardi 6 juin : Une journée à Lyon - La Croix-Rousse des Canuts

Un parcours de la soie
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Une journée à Lyon - La Croix-Rousse des Canuts

Chacun le sait, la métropole lyonnaise doit une large part de sa réputation à l?industrie de la soie. Celle-là fit la fortune de la ville du XVII° au premier XX° siècle, Lyon étant alors devenue la capitale mondiale du tissage de la soie. Elle fut aussi à l?origine de son essor industriel, les savoir-faire des maîtres tisseurs, des teinturiers, des fabricants de métiers à tisser, etc., ayant fortement contribué au développement des industries chimiques et mécaniques. La soierie lyonnaise reposait sur un modèle économique et social tout à fait particulier, celui de la Grande Fabrique. Il associait les négociants (appelés fabricants) et les maîtres tisseurs (les canuts). Les fabricants passaient commande aux canuts des pièces de soierie et leur fournissaient la matière première ; les canuts travaillaient celle-ci sur leurs propres métiers, avec l?aide de compagnons et d?apprentis ; puis ils restituaient les pièces tissées aux fabricants, la rémunération de leur travail s?effectuant sur la base d?un tarif négocié entre les uns et les autres. Cette organisation de la Fabrique fut source, à de nombreuses reprises, de conflits entre canuts et fabricants, conflits générateurs de tensions, d?émeutes et même, au XIX° siècle, de mouvements insurrectionnels (1831, 1834, 1849). Pour certains historiens, ces mouvements constituent les premières insurrections ouvrières en France. Quoi qu?il en soit, ils ont largement contribué à construire l?imaginaire des luttes sociales, politiques et syndicales de notre société. Mais la Fabrique et, plus particulièrement, le milieu des canuts furent aussi le creuset du mutuellisme et de l?économie solidaire. Les canuts créèrent, dès le début du XIX° siècle, en grand nombre sociétés de secours mutuel et boutiques solidaires, à tel point que, dans la seconde partie du siècle, Lyon devint un foyer extrêmement actif du développement des mouvements mutualistes et solidaristes et du catholicisme social. La Fabrique enfin, c?est un territoire, celui de la Croix-Rousse. Les canuts s?installèrent sur les pentes de la Croix- Rousse au XVII° et XVIII° siècles ; puis ils gagnèrent, dès le début du XIX° siècle, le plateau, quand il fallut construire des immeubles à l?architecture et à la hauteur adaptées aux métiers Jacquard, qui venaient d?être mis au point. C?est ce territoire que nous parcourrons lors de notre visite. Notre balade urbaine nous conduira du plateau (le monde des canuts), au bas des pentes (celui des fabricants), à travers places et traboules. Nous pourrons ainsi découvrir cette fabrique, dont on dit qu?elle était à ciel ouvert, son organisation économique et sociale, l?urbanisme qu?elle a engendré. Nous visiterons un atelier traditionnel avec son métier et l?espace domestique des tisseurs. Nous évoquerons l?histoire et la vie quotidienne des canuts, en nous arrêtant dans quelques uns des lieux les plus emblématiques de leur univers.


visite

lundi 12 juin : Visite du Jardin des migrations

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Visite du Jardin des migrations

Le Jardin des migrations, qui relie le MUCEM et le fort Saint Jean, a été aménagé de 2011 à 2013 par l?agence APS de Valence (paysagistes, urbanistes et architectes). C?est un jardin méditerranéen de plus de 12 000 m2 que les marseillais ont aussitôt adopté. Nous vous invitons à déambuler dans ce jardin unique, ouvert sur le large, hommage aux voyageurs qui ont naguère débarqué à Marseille et ont apporté avec eux des plantes de tout le pourtour de la Méditerranée. Qu?elles soient à usage domestique, aromatique, tinctorial, médicinal, ces plantes ont contribué à tisser des liens historiques entre les peuples. On en parle depuis l?Antiquité, que ce soit dans la mythologie, la Bible ou le Coran. Au cours de cette promenade à deux voix, nous observerons ensemble les origines, les usages et les mythes et symboles associés à quelques unes de ces 250 plantes méditerranéennes. Visite commentée par Régis BERNARD, sociologue et Adeline JOLY, historienne.


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lundi 12 juin : Café littéraire : Kamel Daoud, « Meursault, contre enquête »

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Café littéraire : Kamel Daoud, « Meursault, contre enquête »

En lien avec la conférence du cycle "Algérie-France" et avec la participation de l'auteur du prix Goncourt 2011, pour L'art français de la guerre, Alexis Jenni.


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mercredi 14 juin : BALLET PRELJOCAJ « LA FRESQUE» au Théâtre de La Criée



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BALLET PRELJOCAJ « LA FRESQUE» au Théâtre de La Criée

Ballet d?Angelin Preljocaj d?après le conte traditionnel chinois La peinture sur le mur


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jeudi 15 juin : Visite commentée de l'exposition "Vies d'ordures"

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Visite commentée de l'exposition "Vies d'ordures"

Exposer les manières dont les sociétés produisent, traitent, s’approprient et transforment les restes, apparait comme un enjeu central pour un musée de société comme le Mucem. Basée sur des enquêtes ethnographiques, cette exposition propose un voyage autour de la Méditerranée à la découverte des gestes des hommes et des femmes qui vivent des déchets. En montrant les façons dont nous les collectons, les trions, les réparons, les transformons, avec l’inventivité de la nécessité, elle dessine un monde d’échanges et de transferts autour de ces restes qui s’avèrent bien davantage que de simples rebuts. Par les détournements mais également par les traitements de haute-technologie dont ils font l’objet, les déchets donnent ainsi forme à nos paysages et à nos relations sociales. Un parcours avec 450 objets, installations, films, cartes et schémas sensibilise le public à la gestion individuelle et collective des déchets. Il lui permet de s’interroger sur ses modes de production et de consommation.


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jeudi 15 juin : « Le Chardonneret » de Donna TARTT

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« Le Chardonneret » de Donna TARTT

Qui est Theo ? Que lui est-il arrivé à New York pour qu'il soit aujourd'hui, quatorze ans plus tard, cloîtré dans une chambre d'hôtel à Amsterdam comme une bête traquée ? Qu'est devenu le jeune garçon de treize ans qui visitait des musées avec sa mère et menait une vie de collégien ordinaire ? D'où vient cette toile de maître, Le Chardonneret, qu'il transporte partout avec lui ? À la fois roman d'initiation à la Dickens et thriller éminemment moderne, fouillant les angoisses, les peurs et les vices de l'Amérique contemporaine, Le Chardonneret laisse le lecteur essoufflé, ébloui et encore une fois conquis par le talent hors du commun de Dona Tartt.


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mardi 4 juillet : Conférence à deux voix au MAC « Hip-hop, âge d'or et Graff en méditerranée »

par Claire Calogirou, Ethnologue, chercheur associée à l'IDEMEC et spécialiste des questions urbaines, et Thierry Ollat, Directeur du MAC
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Conférence à deux voix au MAC « Hip-hop, âge d'or et Graff en méditerranée »

Cette conférence sera suivie d'une visite privée commentée de  l'exposition. Le Mucem mène depuis les années 1990 des enquêtes-collectes sur les pratiques urbaines contemporaines et a notamment constitué, depuis 2000, une des plus importantes collections de graff aujourd'hui répertoriées, comptant près de 1500 objets.  Cette collection est présentée au Musée d'Art Contemporain d'une part (pour les aspects historiques du mouvement Hip-Hop) et au Mucem (Fort Saint-Jean) d'autre part (pour ce qui est des acquisitions récentes sur plusieurs scènes méditerranéennes très actives : Marseille, Espagne, Italie, Maroc, Tunisie...). L'exposition "Hip Hop, un âge d'or" au Mac qui se tient au MAC a été conçue à partir des collections du Mucem et de plusieurs collections privées inédites. En parallèle de cette exposition événement, le Mucem présente "Graff en Méditerranée ». Art de la rue né dans la rue, le Hip hop prend sa source dans les quartiers du Bronx au début des années 1970. La situation économique n'est pas au beau fixe et la jeunesse va alors développer ses propres codes afin de se réapproprier son quotidien. La danse, la fête et l'espace urbain se teintent aux couleurs des Djs et des troupes qui se retrouvent pour les premières fêtes de quartier. La parole et les gestes deviennent des outils de revendication et de libération, c'est l'apogée des graffeurs et smurfeurs. De 1970 à 1980 la course du Hip hop s'emballe, elle sillonne New-York pour s'imposer comme la nouvelle culture populaire avant de traverser l'Atlantique de part en part. Les ondes radios et la télévision qui s"intéressent à ce phénomène vont permettre son envol. C'est ainsi que l'on entend dès 1990, le groove du Hip hop enflammer le macadam à Marseille. Une traversée musicale et culturelle sur l'un des mouvements les plus influents du XXème siècle.    


lecture

jeudi 7 septembre : « L'imposteur » de Javier Cercas et « Les délices de Tokyo » de Durian Sukegawa

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« L'imposteur » de Javier Cercas et « Les délices de Tokyo » de Durian Sukegawa

L'imposteur de Javier Cercas L'Imposteur est une remarquable réflexion sur le héros, sur l'histoire récente de l'Espagne et son amnésie collective, sur le business de la « mémoire historique », sur le mensonge (forcément répréhensible, parfois nécessaire, voire salutaire ?), sur la fonction de la littérature et son inhérent narcissisme, sur la fiction qui sauve et la réalité qui tue. Les délices de Tokyo de Durian Sukegawa Magnifiquement adapté à l'écran par la cinéaste Naomi Kawase, primée à Cannes, le roman de Durian Sukegawa est une ode à la cuisine et à la vie. Poignant, poétique, sensuel : un régal.


visite

vendredi 8 septembre : Exposition « Aventuriers des mers »

Visite commentée par Vincent Giovannoni, Conservateur au Mucem et Commissaire de l'exposition
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Exposition « Aventuriers des mers »

Cette exposition propose de considérer l'histoire depuis la mer. Elle raconte mille ans d'histoire de l'Ancien Monde, à la croisée de l'Europe, de l'Asie et de l'Afrique. Elle débute par la mise en place, au VIIe siècle, d'un empire des deux mers, celui des Omeyyades qui, régnant sur la mer Méditerranée et l'océan Indien, va permettre le développement du commerce maritime entre ces deux mondes. Le marché de l'océan Indien est alors le plus riche du monde, le plus désiré, aussi bien par les chrétiens que par les musulmans. C'est de là que proviennent les belles porcelaines, les plus belles soieries, c'est là que se trouvent les mines du roi Salomon dont parle la Bible. On développe donc diverses stratégies pour accéder à ce marché. Et puis, en commerçant, on rencontre « l'autre ». De l'histoire de ces rencontres, l'exposition n'élude ni l'esclavage, ni les tentatives d'évangélisation entreprises par les Européens. Elle raconte mille ans de projets commerciaux et, au final, de guerres économiques entre l'Orient et l'Occident. L'exposition se déroule en trois parties : « Peurs de la mer », « Naviguer, une intelligence du monde » et « Marchandises et convoitises »


action

dimanche 10 septembre : Vivacité, le festival des Associations

Les Amis du MuCEM accueillent.
Vivacite-2015


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mercredi 13 septembre : Exposition « Aventuriers des mers »

Visite commentée par Vincent Giovannoni, Conservateur au Mucem et Commissaire de l'exposition
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Exposition « Aventuriers des mers »

Cette exposition propose de considérer l'histoire depuis la mer. Elle raconte mille ans d'histoire de l'Ancien Monde, à la croisée de l'Europe, de l'Asie et de l'Afrique. Elle débute par la mise en place, au VIIe siècle, d'un empire des deux mers, celui des Omeyyades qui, régnant sur la mer Méditerranée et l'océan Indien, va permettre le développement du commerce maritime entre ces deux mondes. Le marché de l'océan Indien est alors le plus riche du monde, le plus désiré, aussi bien par les chrétiens que par les musulmans. C'est de là que proviennent les belles porcelaines, les plus belles soieries, c'est là que se trouvent les mines du roi Salomon dont parle la Bible. On développe donc diverses stratégies pour accéder à ce marché. Et puis, en commerçant, on rencontre « l'autre ». De l'histoire de ces rencontres, l'exposition n'élude ni l'esclavage, ni les tentatives d'évangélisation entreprises par les Européens. Elle raconte mille ans de projets commerciaux et, au final, de guerres économiques entre l'Orient et l'Occident. L'exposition se déroule en trois parties : « Peurs de la mer », « Naviguer, une intelligence du monde » et « Marchandises et convoitises »


voyage

jeudi 14 septembre - jeudi 21 septembre : Voyage A Naples

Voyage complet
Naples

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Voyage A Naples

Blottie au fond de son golfe que domine le Vésuve, Naples fut construite par les Grecs environ 1000 ans avant notre ère. Pour revivre 3000 ans d'histoires de cette cité légendaire où se sont accumulés, dans un kaléidoscope architectural haut en couleur, pans de murs grecs, colonnes romaines, palais baroques et constructions du XIXe siècle.


sortie

lundi 25 septembre : Balade urbaine : le Vieux-Port des peintres et des écrivains

avec Jean-Louis Maltret et Macha Toufany, Amis du Mucem
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Balade urbaine : le Vieux-Port des peintres et des écrivains

Le Lacydon, coeur de Marseille, a inspiré beaucoup d'artistes : peintres séduits par le lieu, sa lumière et ses perspectives, mais aussi écrivains qui ont su en décrire l'ambiance et les gens. Une promenade qui permettra peut-être de retrouver les impressions d'Isabelle Eberhardt : « Marseille, la cité des adieux, est incomparable en ces soirs noyés d'une liqueur dorée. Dans l'eau frémissante, des serpents de feu courent figitifs et glissants, un vent tiède caresse doucement les maisons, les navires et l'eau, tandis qu'à l'horizon, dans l'imprécis flamboyant de la haute mer, s'accomplit, comme un drame, le naufrage du soleil. » (Ecrits sur le sable)


conf

mercredi 27 septembre : Présentation du programme culturel 2017-2018 du Mucem

par Cécile Dumoulin, Département culturel et des publics


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Présentation du programme culturel 2017-2018 du Mucem

à l'Auditorium du Mucem


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samedi 30 septembre : Balade urbaine : le Vieux-Port des peintres et des écrivains

avec Jean-Louis Maltret et Macha Toufany, Amis du Mucem
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Balade urbaine : le Vieux-Port des peintres et des écrivains

Le Lacydon, coeur de Marseille, a inspiré beaucoup d'artistes : peintres séduits par le lieu, sa lumière et ses perspectives, mais aussi écrivains qui ont su en décrire l'ambiance et les gens. Une promenade qui permettra peut-être de retrouver les impressions d'Isabelle Eberhardt : « Marseille, la cité des adieux, est incomparable en ces soirs noyés d'une liqueur dorée. Dans l'eau frémissante, des serpents de feu courent figitifs et glissants, un vent tiède caresse doucement les maisons, les navires et l'eau, tandis qu'à l'horizon, dans l'imprécis flamboyant de la haute mer, s'accomplit, comme un drame, le naufrage du soleil. » (Ecrits sur le sable)


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mardi 3 octobre : Une journée à Saint-Tropez

Au milieu des voiles, des musées : l?Annonciade et la Citadelle
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Une journée à Saint-Tropez

L'histoire maritime de Saint-Tropez est présentée intelligemment dans le musée de la Citadelle que nous visiterons sous la conduite de son directeur passionné, Laurent Pavlidis. La scénographie propose des reconstitutions d'ambiances d'intérieurs de bateaux, de relevés de fouilles sous-marines de tartane coulée à l'entrée du Golfe au XVIème siècle, l'histoire du Bailli de Suffren dit « Suffren de Saint-Tropez », etc. Le tout dans les espaces conservés mais contraints de l'ancienne citadelle construite à la fin du XVIème siècle. Le musée de L'Annonciade est né de la volonté de conserver sur place le témoignage du passage à Saint-Tropez, de plusieurs grands peintres du XXème siècle, initiative soutenue en son temps par Paul Signac. C'est ainsi que sont réunies au musée de l'Annonciade des toiles de Signac, Matisse, Camoin, Seurat, Marquet, Dunoyer de Ségonzac, Bonnard, Vuillard, Félix Vallotton, Manguin, Derain, Braque, Dufy, etc. Nous ne pourrons voir tous ces tableaux car le rez-de-chaussée du musée sera occupé par l'exposition temporaire : « Georges Braque, Henri Laurens, quarante années d'amitié » que nous aurons le plaisir de découvrir.  


visite

vendredi 6 octobre : Exposition « Aventuriers des mers »

Visite commentée par Vincent Giovannoni, Conservateur au Mucem et Commissaire de l'exposition
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Exposition « Aventuriers des mers »

Cette exposition propose de considérer l'histoire depuis la mer. Elle raconte mille ans d'histoire de l'Ancien Monde, à la croisée de l'Europe, de l'Asie et de l'Afrique. Elle débute par la mise en place, au VIIe siècle, d'un empire des deux mers, celui des Omeyyades qui, régnant sur la mer Méditerranée et l'océan Indien, va permettre le développement du commerce maritime entre ces deux mondes. Le marché de l'océan Indien est alors le plus riche du monde, le plus désiré, aussi bien par les chrétiens que par les musulmans. C'est de là que proviennent les belles porcelaines, les plus belles soieries, c'est là que se trouvent les mines du roi Salomon dont parle la Bible. On développe donc diverses stratégies pour accéder à ce marché. Et puis, en commerçant, on rencontre « l'autre ». De l'histoire de ces rencontres, l'exposition n'élude ni l'esclavage, ni les tentatives d'évangélisation entreprises par les Européens. Elle raconte mille ans de projets commerciaux et, au final, de guerres économiques entre l'Orient et l'Occident. L'exposition se déroule en trois parties : « Peurs de la mer », « Naviguer, une intelligence du monde » et « Marchandises et convoitises »


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vendredi 6 octobre : Centre de Conservation et de Ressources du Mucem, Dans les coulisses du musée ...

Visite commentée par Sylvain Borzillo, historien et archiviste au Mucem
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Centre de Conservation et de Ressources du Mucem, Dans les coulisses du musée ...

Ce bâtiment de 10 000 m2 a été construit par l'architecte Corinne Vezzoni. Il abrite près de 250 000 objets, 110 000 tableaux, estampes, dessins, 450 000 photographies, près de 100 000 ouvrages et des archives papiers, sonores. Le CCR est le lieu où se déroule l'étude des collections et fonds, d'abord par le travail des équipes scientifiques du MuCEM, ensuite par l'accueil de chercheurs, d'étudiants ou du grand public qui bénéficient d'espaces de consultation. Le centre accueille également les activités de restauration des collections et reçoit toutes les nouvelles acquisitions réalisées par le MuCEM.  Enfin, le centre développe une politique de prêts et de dépôts vers des musées partenaires, en France comme à l'étranger, le MuCEM étant un important musée prêteur dans le paysage patrimonial français.


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samedi 7 octobre : Table ronde :  L'invention du Mucem, des musées de société pour qui ? pour quoi ?



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Table ronde :  L'invention du Mucem, des musées de société pour qui ? pour quoi ?

Dans le cadre des moments forts qui leur sont proposés au cours de cette année 2017, date anniversaire de la création de la Société des Amis du Mucem, laquelle a succédé à la Société des Amis des Arts et Traditions Populaires, table ronde avec : Michel Colardelle, archéologue, Conservateur général du Patrimoine, dernier directeur du musée des ATP et premier directeur du Mucem Michel Rautenberg, ethnologue, professeur de sociologie à l'Université Jean Monnet de Saint-Étienne Isabelle Laban-Dal Canto directrice du musée de Salagon, musée de territoire situé dans les Alpes de haute-Provence à Mane, près de Forcalquier Céline Chanas directrice du Musée de Bretagne, musée régional de société et d'histoire, situé à Rennes Débats modérés par Valérie Simonet, journaliste et réalisatrice,


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mercredi 11 octobre : Théâtre de La Criée « La fuite ! Comédie en huit songes ? »

De Mikhaïl Boulgakov (1891-1940) Mise en scène, décor & costumes Macha Makeïeff
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Théâtre de La Criée « La fuite ! Comédie en huit songes ? »

De Mikhaïl Boulgakov (1891-1940) Mise en scène, décor & costumes Macha Makeïeff Collaboration Angelin Preljocaj Avec Arthur Igual, Vanessa Fonte, Vincent Winterhalter, Thomas Morris, Geoffroy Rondeau, Alain Fromager, Pascal Rénéric, Arthur Deschamps, Sylvain Levitte, Karyll Elgrichi, Emilie Pictet... et une petite fille. Comédie et rêve, course folle ! Un Boulgakov drôle et bouleversant. Un théâtre de troupe ! Boulgakov, maître du comique et du fantastique, écrit pour le théâtre une comédie, mystique, profonde, drôle, hallucinée. Vaudeville frénétique sur l'exil et la défaite, sur les existences prises dans la folie de la révolution russe. Fil rouge du jeu et du destin. La débâcle et le chaos y sont magnifiés par la drôlerie et l'excentricité de personnages de haut-vol. Crimée, 1920 : ceux que l'on appelle les "Russes blancs" sont aux abois, la guerre civile qui a suivi le coup d'état bolchévique est perdue. Il ne reste d'autre issue que la fuite vers la Crimée, Sébastopol, Constantinople, puis Paris... En huit songes fantastiques, entre cauchemars et illuminations, Boulgakov transfigure le chaos d'une déroute. Dans cette situation d'urgence folle d'un monde ancien qui s?effondre apparaît une galerie de personnages étonnants : civils chassés et état-major vaincu, des êtres jetés hors de leur monde, déclassés, réprouvés, portés par une fièvre de vivre dans le pur style du théâtre satirique russe. S?enchaînent ainsi désirs de revanche, désirs de retour, folie du jeu, morphine et typhus, trahisons, espions drolatiques, amours déchirées, fatalisme malicieux, course irrésistible ! En montant La Fuite ! Macha Makeïeff plonge dans son histoire familiale et sa rêverie d?enfance, dans une Histoire collective que l'exil ne cesse de traverser. Un spectacle d?images, de musique et d?étonnements, vaudeville entre mélancolie, fantaisie et humour !


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jeudi 12 octobre : Maryam Madjidi : Marx et la poupée

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Maryam Madjidi : Marx et la poupée

Un roman iranien qui traite de l?exil, de la perte d'une langue et du fait d'être dans la langue de l'autre.


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vendredi 13 octobre : Visite du Chantier de la tour la Marseillaise

Commentée par Laëtitia NEZRI assistante projet chez CONSTRUCTA
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Visite du Chantier de la tour la Marseillaise

C'est à l'architecte Jean Nouvel que la ville a confié cette nouvelle tour « La Marseillaise », la 2ème plus haute derrière la tour CMA CGM de Zaha Hadid. C'est le chantier de cette tour de 135 mètres de hauteur capable d'accueillir sur 31 niveaux 2500 visiteurs que nous vous proposons de découvrir en avant-première.Le chantier est assuré par Vinci construction.La tour sera occupée par :- La Communauté urbaine MPM sur 12 étages, du 4e au 15e, soit environ 16 000 m²- Orange sur 2 étages (20 et 21e) soit 2165 m²- Constructa sur 1 étage (27e) soit 1378 m²- La Caisse d'épargne Provence Alpes Cote d'Azur sur 1 étage (28e) soit 1378 m², pour installer son centre d'affaires- La CCIMP avec le World Trade Center de Marseille Provence sur 2 étages (29 et 30e) soit 227 m² pour installer un business center et le « Provence Business Sky Lounge », deux espaces capables d?accueillir des clients nationaux ou internationaux tout en bénéficiant d?une vue imprenable sur la rade de Marseille. Un atout pour faire signer des gros contrats et attirer des investisseurs ? C'est le pari que tentent les protagonistes du projet.Jean Nouvel définit ainsi son parti-pris architectural : « Je pense qu'une architecture qui n'a pas de racine n'existe pas. Je voulais donc un projet qui s'imprègne de Marseille. Un projet en relation avec ce qu'il y a autour , et là j'ai voulu jouer à la fois sur la lumière et sur une trame qui ne se lira pas toujours de la même façon, qui va vibrer. C'est un phénomène d'optical art, avec des éléments de quadrillage qui ne sont pas de la même couleur selon les faces, selon les moments de la journée et selon la météo. La tour peut être blanche, bleue ou rouge selon les différentes vibrations, et finalement ça ressemble à la ville qui bouge et change sans cesse. »  


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mardi 17 octobre : L'Aventure des mers commence à Marseille ...

La Méridionale et le Grand Port Maritime de Marseille
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L'Aventure des mers commence à Marseille ...

La Méridionale : découvrez ce que vous ne voyez jamais La compagnie La Méridionale, membre des Amis du Mucem, a le plaisir de vous accueillir sur son bateau « Le Piana ». Au-delà du parcours classique d?un bateau vous découvrirez les « zones interdites » : la salle des machines qui nécessite un soin permanent et la passerelle où le commandant est le garant de l'arrivée à bon port. Une visite exceptionnelle que nous propose notre partenaire. Le Grand Port Maritime de Marseille : une visite guidée du port Est en bus Se développant sur 8 kms, du J4 à l?Estaque, et occupant 400 hectares, le GPMM a développé et diversifié ses activités au cours des dernières années ; nous visiterons les différents terminaux et zones et leurs enjeux: passagers/croisiéristes, conteneurs, vracs solides et liquides, réparation navale, terminaux polyvalents etc ...    


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jeudi 19 octobre : « Dans les meules de Beyrouth » de Toufic Youssef AOUAD

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« Dans les meules de Beyrouth » de Toufic Youssef AOUAD

Paru à Beyrouth en 1973, soit deux ans avant le déclenchement de la guerre civile, ce roman ambitieux et prémonitoire a marqué un tournant dans l'histoire de la littérature libanaise. Il restitue en effet, avec une étonnante précision et dans un style incisif, l'ambiance de la fin des années 1960 : radicalisation des luttes politiques, sociales et idéologiques, irruption des fédayins palestiniens sur la scène libanaise, libéralisation des moeurs, contestation de plus en plus large du système confessionnel, notamment par la jeunesse. Les deux principaux personnages du roman, Tamima et Hani, font partie des étudiants les plus lucides, et leur engagement commun va rapidement les rapprocher malgré leur appartenance à des communautés religieuses différentes, lui étant chrétien, et elle musulmane chiite. Tous les deux d'origine paysanne, ils doivent aussi, chacun de son côté, faire face aux préjugés du milieu familial, aux coutumes villageoises ancestrales, aux difficultés d'intégration dans la société urbaine. S'ils y parviennent un moment, réconfortés par l'enthousiasme ambiant, leur propre destin bascule lorsque le frère de Tamima, un voyou sans foi ni loi, tente d'assassiner sa soeur pour « laver l'honneur de la famille »...


sortie

mercredi 8 novembre : Théâtre du Gymnase « Dans la solitude des champs de coton »

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Théâtre du Gymnase « Dans la solitude des champs de coton »

De Bernard-Marie KoltèsMise en scène  Charles BerlingAvec Mata Gabin, Charles Berling Un affrontement sado-maso poétique écrit dans une langue flamboyante et parfaitement interprétée par Charles Berling et Mata Gabin, tout en rudesse et fragilité.« Si vous marchez dehors, à cette heure et en ce lieu, c?est que vous désirez quelque chose que vous n'avez pas, et cette chose, moi, je peux vous la fournir. » Quelle est cette chose proposée à un acheteur de hasard par un dealer sorti de la nuit glauque. La came ? Le désir ? Le sexe ? La mort ? Dans un décor monumental aux lumières urbaines jouant des éclats et des ombres, Charles Berling a distribué le rôle du dealer à une femme androgyne, tout de sombre vêtue et encapuchonnée pour mieux se confondre avec les ténèbres et s?est réservé le rôle de l?acheteur, homme blanc en costume de ville, fragile et exposé comme une cible. Le duo homme ?femme, là où Koltès voulait deux hommes, ajoute une strate de plus au vertige de ce texte envoûtant comme le chant d?une méchante sirène. Dans une danse bestiale faite d?avancées, de frôlements, de reculades, de chuchotements, de cris, de défis, de replis jusqu?à l?inexorable question finale, lorsque les mots sont épuisés, ces deux- là ne peuvent tout simplement pas s?éviter. Ni se confondre. Un choc de titans aux pieds d?argile.Au-delà de la trivialité du marchandage, Charles Berling déplie avec la minutie d?un psychopathe ou d?un désespéré, les ressorts de cette variation nouvelle de l?humaine condition.


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jeudi 9 novembre : L'arrivée du vin à Massalia et sa diffusion dans l'intérieur de la Gaule

proposée par le musée d'Histoire de Marseille et la Société des Amis du Mucem
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L'arrivée du vin à Massalia et sa diffusion dans l'intérieur de la Gaule

Conférence assurée par :- Jean-Pierre BRUN, Professeur au Collège de France, titulaire de la chaire Techniques et économies de la Méditerranée antique- Luc LONG, archéologue rattaché au CNRS ;- Olivier HOULES, auteur de "La première cave" (roman publié aux éditions Phénix d'Azur).En accès libre à l'auditorium du Musée d'Histoire de Marseille, dans la limite des 200 places disponibles (sans réservation)Entrée par le hall d'accueil du musée : 2 rue Henri Barbusse 13001 Marseille.


visite

vendredi 10 novembre : Visite des objets consacrés à la vigne et au vin de la Galerie de la Méditerranée

par Paul COULON, viticulteur à Châteauneuf-du-Pape et créateur du Musée viticole de Rasteau
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Visite des objets consacrés à la vigne et au vin de la Galerie de la Méditerranée

Salle Ruralités de la Galerie de la Méditerranée.


event

vendredi 10 novembre : Private visit of the exhibition BILINGUAL DOCUMENT

with commentary in English by the show's curator, Sabrina Grassi
bilingual

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Private visit of the exhibition BILINGUAL DOCUMENT

In the show, Bilingual Document, artists and researchers present an unprecedented delve into the Mucem's vast archives (around a million works!) questioning the dual nature of the object in the Mucem collections: is it popular art or does it stem from scientific discourse? Is it aesthetic and poetic, or ethnological? How can the document be brought to life to reflect its bilingual nature? Can new art creations contribute to the revival of these stored pieces? The exhibition displays specific choices extracted from the Mucem's collections, as well as new oeuvres by mostly French and French/Portuguese artists, created in order to highlight these objects? value in our civilization. Sabrina Grassi, curator, will take us through her choices and explain her show. Sabrina Grassi is the former Director of the École Européenne Supérieure de l'Image (Angouleme-Poitiers). She now lives and works in Marseille. The show includes works by Jean-François Chougnet, Yo Barrada, Omar Berrada and M'barek Bouhchichi, Jean-Roch Bouiller, Marie-Charlotte Calafat, Erik Bullot, Sabrina Grassi, Yaël Kreplak, Franck Leibovici, Florent Molle, Uriel Orlow, Abril Padilla and Pascal Riviale.


lecture

jeudi 16 novembre : Henning Mankell : « Les chaussures italiennes », « Les bottes suédoises »

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Henning Mankell : « Les chaussures italiennes », « Les bottes suédoises »

Les chaussures italiennes A soixante-six ans, Fredrik Welin vit reclus depuis une décennie sur une île de la Baltique avec pour seule compagnie un chat et un chien et pour seules visites celles du facteur de l'archipel. Depuis qu'une tragique erreur a brisé sa carrière de chirurgien, il s'est isolé des hommes. Pour se prouver qu'il est encore en vie, il creuse un trou dans la glace et s'y immerge chaque matin. Au solstice d'hiver, cette routine est interrompue par l'intrusion d'Harriet, la femme qu'il a aimée et abandonnée quarante ans plus tôt. Fredrik ne le sait pas encore, mais sa vie vient juste de recommencer. Les bottes suédoises Après avoir quitté Fredrik Welin, le chirurgien orthopédiste du roman Les chaussures italiennes alors âgé de soixante-six ans, c'est avec curiosité que je le retrouve quatre années plus tard. On peut dire que nos retrouvailles sont chaudes, brûlantes, c'est la nuit, il se réveille dans l'incendie de sa maison. Ouf ! il a pu sortir indemne chaussé de deux bottes gauches, un imper endossé sur sa veste de pyjama et un pantalon. Tout le voisinage accourt, chacun à bord de son bateau, la chaîne de solidarité se matérialise pour essayer d'éteindre l'incendie mais ce sera peine perdue. Heureusement...


visite

vendredi 17 novembre : Exposition « Nous sommes foot »

Visite commentée par Florent Molle, Conservateur du patrimoine au Mucem
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Exposition « Nous sommes foot »

Dans les rues de Marseille ou de Paris, dans les ports d'Istanbul ou d'Athènes, dans les banlieues d'Alger ou sur les plages de Malaga, le football, dont la popularité reste inégalée, soude les peuples de Méditerranée. Et s'il renvoie parfois l'image d'un monde de clivages, de violence, de racisme et de fanatisme, c'est parce que ce sport reflète nos sociétés dans ce qu'elles produisent de plus sombre, comme de plus lumineux. En laissant entrer un ballon rond dans son enceinte, le Mucem rend hommage aux peuples et aux civilisations du football ainsi qu'aux pratiques culturelles et sociales qui l'accompagnent, en Méditerranée comme à Marseille. Défendue par son effectif de 300 oeuvres, objets, photos et installations, « Nous sommes foot » met en jeu 11 séquences et, comme les règles sportives l'imposent, se visite en 90 minutes !


voyage

jeudi 23 novembre - dimanche 26 novembre : Voyage à Paris

Musée d'Orsay, Grand Palais, Institut du monde arabe, Musée de l'Homme, Opéra Garnier, Cité de l'architecture et du patrimoine, Cité de la céramique de Sèvres
Orsay Chretiens_Orient Nous_autres Gauguin Opera_Garnier Architecture_sciences Sevres_couleur

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Voyage à Paris

Visites commentées d?expositions : « Gauguin, l'alchimiste » ; « Chrétiens d'Orient » ; « Nous et les autres- Des préjugés au racisme » ; « Globe, Architecture et sciences explorent le monde » ; « La couleur dans tout son éclat »Visites patrimoniales : Musée d?Orsay : « De la gare au Musée » et l'« Opéra Garnier »


sortie

jeudi 23 novembre : Théâtre de La Criée « Tableau d'une exécution »

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Théâtre de La Criée « Tableau d'une exécution »

De Howard BarkerMise en scène Claudia StaviskyAvec David Ayala, Éric Caruso, Christiane Cohendy, Anne Comte, Luc-Antoine Diquéro, Sava Lolov, Philippe Magnan, Julie Recoing, Richard SammutDramaturge incontournable du théâtre anglais contemporain à la langue poétique, vive et mordante, Howard Barker imagine une extraordinaire plongée dans la vie et l?oeuvre d?une artiste peintre vénitienne du XVIe siècle luttant pour défendre sa création artistique face au pouvoir politique.Depuis Eschyle avec Les Perses jusqu?à Flaubert avec Madame Bovary, il est toujours dangereux pour un artiste de renvoyer à la société une image qui dérange. Howard Barker, s?inspirant de la véritable histoire d?une célèbre artiste peintre vénitienne, Artémisia Gentileschi, donne à voir le portrait sans concession d?une femme revendiquant totalement sa liberté créatrice. Le spectateur devient le témoin privilégié de la réalisation de l?oeuvre picturale, l?auteur l?installe au coeur même de ce combat passionné de l?artiste et des hommes de pouvoir. Pas de message, pas de moralité, pas de faux-semblants dans cette oeuvre essentielle portée par Christiane Cohendy, une comédienne dont la brillante mise en scène de Claude Stavisky fait éclater la virtuosité.


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vendredi 1 décembre : Visite du Chantier de la tour la Marseillaise

Commentée par Laëtitia NEZRI assistante projet chez CONSTRUCTA
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Visite du Chantier de la tour la Marseillaise

C'est à l'architecte Jean Nouvel que la ville a confié cette nouvelle tour « La Marseillaise », la 2ème plus haute derrière la tour CMA CGM de Zaha Hadid. C'est le chantier de cette tour de 135 mètres de hauteur capable d'accueillir sur 31 niveaux 2500 visiteurs que nous vous proposons de découvrir en avant-première.Le chantier est assuré par Vinci construction.La tour sera occupée par :- La Communauté urbaine MPM sur 12 étages, du 4e au 15e, soit environ 16 000 m²- Orange sur 2 étages (20 et 21e) soit 2165 m²- Constructa sur 1 étage (27e) soit 1378 m²- La Caisse d'épargne Provence Alpes Cote d'Azur sur 1 étage (28e) soit 1378 m², pour installer son centre d'affaires- La CCIMP avec le World Trade Center de Marseille Provence sur 2 étages (29 et 30e) soit 227 m² pour installer un business center et le « Provence Business Sky Lounge », deux espaces capables d?accueillir des clients nationaux ou internationaux tout en bénéficiant d?une vue imprenable sur la rade de Marseille. Un atout pour faire signer des gros contrats et attirer des investisseurs ? C'est le pari que tentent les protagonistes du projet.Jean Nouvel définit ainsi son parti-pris architectural : « Je pense qu'une architecture qui n'a pas de racine n'existe pas. Je voulais donc un projet qui s'imprègne de Marseille. Un projet en relation avec ce qu'il y a autour , et là j'ai voulu jouer à la fois sur la lumière et sur une trame qui ne se lira pas toujours de la même façon, qui va vibrer. C'est un phénomène d'optical art, avec des éléments de quadrillage qui ne sont pas de la même couleur selon les faces, selon les moments de la journée et selon la météo. La tour peut être blanche, bleue ou rouge selon les différentes vibrations, et finalement ça ressemble à la ville qui bouge et change sans cesse. »  


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vendredi 1 décembre : Théâtre de La Criée « Monteverdi - Orfeo, je suis mort en Arcadie », théâtre musical

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Théâtre de La Criée « Monteverdi - Orfeo, je suis mort en Arcadie », théâtre musical

D?après L'Orféo de Claudio Monteverdi, Alessandro Striggio et autre matériauxMise en scène Samuel Achache et Jeanne CandelArrangements musicaux Florent HubertIntermusicalité, patchwork rafraîchissant, jeu de références, Orfeo Je suis mort en Arcadie créé aux Bouffes du Nord, est un hommage à Monteverdi qui invente un art total où se répondent théâtre et musique.Orphée incarne l?un des plus anciens mythes amoureux. Après le Crocodile trompeur, Samuel Achache et Jeanne Candel s?emparent de l?Orfeo de Monteverdi qui fut en 1607 le premier opéra de l?histoire.Ils vont aux sources de la poésie et inventent un théâtre défini comme un « artisanat furieux », selon les mots de René Char. Mélange des genres et des styles, discrètes irrévérences, savants anachronismes, accompagnent une partition réorchestrée dans un esprit de théâtre musical avec des échappées vers le jazz, la musique d?aujourd?hui et la bossa nova. Autant d?éléments qui laissent l?émotion intacte et restituent toute la modernité de cet innovateur que fut en son temps Monteverdi.


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lundi 4 décembre : Exposition « Nous sommes foot »

Visite commentée par Florent Molle, conservateur du patrimoine au Mucem
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Exposition « Nous sommes foot »

Dans les rues de Marseille ou de Paris, dans les ports d'Istanbul ou d'Athènes, dans les banlieues d'Alger ou sur les plages de Malaga, le football, dont la popularité reste inégalée, soude les peuples de Méditerranée. Et s'il renvoie parfois l'image d'un monde de clivages, de violence, de racisme et de fanatisme, c'est parce que ce sport reflète nos sociétés dans ce qu'elles produisent de plus sombre, comme de plus lumineux. En laissant entrer un ballon rond dans son enceinte, le Mucem rend hommage aux peuples et aux civilisations du football ainsi qu'aux pratiques culturelles et sociales qui l'accompagnent, en Méditerranée comme à Marseille. Défendue par son effectif de 300 oeuvres, objets, photos et installations, « Nous sommes foot » met en jeu 11 séquences et, comme les règles sportives l'imposent, se visite en 90 minutes !


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mercredi 6 décembre : Théâtre du Gymnase « Les bas-fonds »

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Théâtre du Gymnase « Les bas-fonds »

De Maxime GorkiAdaptation et mise en scène Éric LacascadeAvec Pénélope Avril, Leslie Bernard, Jérôme Bidaux, Mohamed Bouadla, Laure Catherin, Arnaud Chéron, Arnaud Churin, Murielle Colvez, Christophe Grégoire, Alain d?Haeyer, Stéphane E. Jais, Eric Lacascade, Christelle Legroux, Georges Slowick, Gaëtan VettierSur fond d'une Russie révolutionnaire, la pièce, écrite en 1902 décrit d?une manière très réaliste la vie d?un groupe de déclassés, d'exclus, de marginaux et de voleurs vivant à la marge de la société moscovite.D'un monde ancien en train de disparaître à un monde nouveau qui n?a pas encore vu le jour, la communauté des Bas-fonds, parcelle d?humanité abandonnée, est à la dérive. Les pires monstres y surgissent comme les plus belles chimères. Tensions, conflits, passions, chacun lutte avec l?énergie du désespoir pour sa survie et l?union de ces solitudes crée une situation explosive. La suite est une histoire qui s?écrit avec un grand H et qui n?a pas encore trouvé sa résolution. Eric Lacascade est un familier du théâtre russe. Après des années en compagnie de Tchekhov dans des mises en scène épiques et flamboyantes dont le sommet fut un Platonov mémorable dans la Cour d?Honneur du Palais des Papes, il s?attache maintenant à l??uvre de Maxime Gorki, le célèbre dramaturge banni par Staline pour l?intransigeance de son engagement politique contre les arbitraires et néanmoins enterré, derrière le mausolée de Lénine, avec les honneurs et les fastes d?un poète national. C?est la première fois qu'Éric Lacascade, artiste de renom international, présente une de ses créations à Marseille.


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jeudi 7 décembre : « Le football, un drame philosophique ? » Conférence de Christian Bromberger

En résonance avec l'exposition « Nous sommes foot » au Mucem.
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« Le football, un drame philosophique ? » Conférence de Christian Bromberger

Christian BROMBERGER est professeur émérite d'anthropologie à l'université d'Aix-Marseille, membre honoraire de l'Institut universitaire de France (chaire d'ethnologie générale) et ancien directeur de l'Institut français de recherche en Iran. Si le football fait l'objet d'un engouement quasi-universel, ce n'est pas seulement en raison de ses qualités dramatiques et esthétiques, mais parce qu'il incarne, sur le mode d'une brutale caricature, une vision cohérente du monde contemporain. Pour parvenir au succès, sur la pelouse comme dans la vie, il faut concilier le mérite individuel, la solidarité collective, la chance, un minimum de filouterie (savoir opportunément retenir un adversaire par le maillot) et une justice favorable (celle de l'arbitre). Ce sport d'équipe offre par ailleurs un support à l'affirmation des identités collectives, des antagonismes locaux, régionaux, nationaux. Jetant un pont entre le singulier et l'universel, ce « jeu profond » incarne donc aussi bien les valeurs générales qui façonnent notre époque que les identités - réelles et imaginaires - des collectivités qui s'affrontent. Parmi les publications de Christian BROMBERGER sur le football : Le match de football. Ethnologie d'une passion partisane à Marseille, Naples et Turin, Paris, Maison des sciences de l'homme (rééd. 2012) ; Football, la bagatelle la plus sérieuse du monde, Paris, Agora, 2004. « Passions sportives » in Histoire des émotions, t. 3, (J.-J. Courtine éd.) Paris, Le Seuil, 2017.


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jeudi 14 décembre : « Le bureau des étangs et des jardins » de Didier Decoin

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« Le bureau des étangs et des jardins » de Didier Decoin

Empire du Japon, époque Heian, XIIe siècle. Être le meilleur pêcheur de carpes, fournisseur des étangs sacrés de la cité impériale, n'empêche pas Katsuro de se noyer. C'est alors à sa jeune veuve, Miyuki, de le remplacer pour porter jusqu'à la capitale les carpes arrachées aux remous de la rivière Kusagawa. Chaussée de sandales de paille, courbée sous la palanche à laquelle sont suspendus ses viviers à poissons, riche seulement de quelques poignées de riz, Miyuki entreprend un périple de plusieurs centaines de kilomètres à travers forêts et montagnes??


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vendredi 15 décembre : Pierre Michon "Les Onze" et "Abbés"

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Pierre Michon "Les Onze" et "Abbés"

"Les Onze", Grand prix du roman de l'Académie Française.  "Abbés" : Trois récits situés dans le milieu ecclésiastique, au moment de l'installation des premiers monastères bénédictins dans les marais vendéens, vers l'an mil, une époque où se rapprochent christianisme et paganisme. Prix Décembre 2002.


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mercredi 20 décembre : Théâtre du Gymnase « FRANITO » théâtre, danse et musique flamenca

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Théâtre du Gymnase « FRANITO » théâtre, danse et musique flamenca

Conception et interprétation Patrice Thibaud Mise en scène Patrice Thibaud, Jean-Marc Bihour Chorégraphie, danse et chant Fran Espinosa Musique originale, guitare Cédric DiotInterprétation Patrice Thibaud, Fran Espinosa                          Trio magistral et désopilant où se mêlent théâtre, danse et musique, où le burlesque rencontre le flamenco. Une délicieuse sangria à boire en famille.Franito, jeune prodige du flamenco au physique de Sancho, danse pour se libérer de sa mama, à l?amour aussi profond qu?étouffant. La petite cuisine andalouse se transforme alors en piste de danse et scènes de vie inénarrables. Le bruit des pas sur le sol, les palmas de flamenco, les claquements de doigts et les notes de guitare se mêlent aux onomatopées burlesques et aux mimes impayables de Patrice Thibaud. Tout devient cocasse grâce au langage corporel de ce clown-mime qui maintient le public dans un rire permanent. Se dessine sous nos yeux un mélange étonnant entre Fernando Botero, Louis De Funès, Benny Hill et Concha Piquer. Irrésistible tableau.Patrice Thibaud, ancien Deschiens, signe ici son quatrième spectacle et s?associe au guitariste Cédric Diot et au bailaor virtuose Fran Espinosa, rencontré dans la troupe de José Montalvo. Ils s?inspirent ici de la buleria, un style de flamenco traditionnel très théâtral qui se dansait dans les cours des maisons pour se moquer de ses voisins. Et il fallait oser associer le flamenco, art tragique et prestigieux par excellence à la puissance comique du burlesque, ici au sommet de son art. Ainsi s?ouvrent les frontières de l?art sur cette alchimie parfaite et joyeuse.