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Nouvelles activités


mardi 13 mai
Conférence UTL : « Le vitrail au cœur et à l’esprit »
jeudi 15 mai
Visite Mucem : Hervé Di Rosa Un air de famille
jeudi 24 avril
Visite Mucem : En piste ! Clowns, pitres et saltimbanques
mardi 29 avril
Conférence UTL : « Populaire ? - Vous avez-dit populaire ?* Qu’est-ce que cela veut dire ? Exactement ce que ça dit. Merci de m’en dire un peu plus.* »
mercredi 7 mai
Observatoire de Marseille - Association Andromède
jeudi 3 juillet
Lectures gourmandes "Le Turquetto" - Metin Arditi

Visites au Mucem

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jeudi 10 avril : "Populaire ?", Les trésors des collections du Mucem

Commentée par Mireille Jacotin Co commissaire de l'exposition
Albanie_2010©Endri_Dani

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"Populaire ?", Les trésors des collections du Mucem

Cette exposition permanente souhaite présenter sa collection dans toute sa diversité. Elle réunit en effet les fonds historiques du Musée national des arts et traditions populaires, les collections européennes du Musée de l’Homme et celles acquises depuis le début des années 2000 dans une volonté d’ouverture vers la Méditerranée et le monde contemporain. Le parcours général propose un cheminement au gré de grandes catégories empruntées au vocabulaire de l’histoire des arts et des techniques (" peinture ", " sculpture ", " arts du métal ", " céramique ", etc.). Un parcours qui fait émerger les particularités de la collection du Mucem en rompant avec la hiérarchisation habituelle entre beaux-arts et arts populaires. On passe ainsi d’objets attendus dans un musée (par exemple des tableaux, des ex-voto, des icônes, etc.) à des éléments plus surprenants (comme des portes de ruche décorées), et d’objets familiers du grand public à des éléments plus inattendus voire mystérieux de prime abord.


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jeudi 24 avril : Visite Mucem : En piste ! Clowns, pitres et saltimbanques

Commentée par Vincent Giovannoni
cirque_amar2_c_mucem

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Visite Mucem : En piste ! Clowns, pitres et saltimbanques

Derrière le vestibule du bonimenteur s’ouvre la vaste nef aux couleurs… Nous voilà en piste ! projetés parmi les clowns, les pitres et les saltimbanques, parmi les traces des spectacles disparus. Dans cette exposition pas comme les autres, la metteuse en scène Macha Makeïeff nous invite à l’intérieur d’une scène imaginaire, un récit sensible entre fragilité et fantaisie, reliques et fête troublante. Ici, les œuvres flottent au-dessus de nos têtes, d’autres paradent, posent, s’exposent, s’illusionnent, s’empilent, s’offrent à nous comme des moments de la vie vagabonde. Il y a mille choses à découvrir et à deviner dans la pénombre autant que dans la lumière ! Parmi les pièces des collections foraines du Mucem, les objets de collectionneurs et d’artistes dont Bartabas, les accessoires déclassés, costumes, décors de spectacles passés, choses, images, on découvre des œuvres parmi les plus célèbres (dont le portrait de Joaquín Salvado en Arlequin peint par Picasso en 1923), jusqu’au plus humble des sifflets ayant appartenu à un clown dont le nom a disparu des livres d’histoire. On y voit des trapèzes usés jusqu’à la corde flotter dans les airs au-dessus de sculptures signées par des artistes de renommée. L’éclatant est posé aux côtés du misérable. Le sacré émerge ici du profane. Plus de 100 œuvres du Mucem sont à découvrir, têtes de marionnette en bois du XIXe et du XXe siècle, manteaux de clown brodés de milliers de paillettes, costumes de scène et bagages d’artistes qui ont enfermé bien des secrets.   


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jeudi 15 mai : Visite Mucem : Hervé Di Rosa Un air de famille

Commentée par Vincent Giovannoni, commissaire de l'exposition
Di rosa

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Visite Mucem : Hervé Di Rosa Un air de famille

Hervé Di Rosa, Les Marseillais, 2024. © Adagp, Paris, 2025, photo : © JoãoFerrand/JFF, 2025 Orgue de foire à cent cinq touches, vers 1920 © Mucem / Marianne Kuhn Pour présenter le beau et patient travail d’enchâssement des collections du Mucem par les oeuvres d’Hervé Di Rosa, réalisées sur mesure par l’artiste, il fallait un parcours inventif et joyeux. Jean Seisser, directeur artistique, complice de longue date d’Hervé Di Rosa, a imaginé l’exposition comme un archipel constitué d’une quinzaine d’îlots. Chacun de ces îlots rapproche quelques-uns des objets des collections du Mucem d’une création d’Hervé Di Rosa. Ces îlots livrent chacun une histoire entière, librement interprétable par le visiteur. Curieux de tout et porté par le vif désir de parcourir le monde, immédiatement après le bac Hervé Di Rosa intègre l’École nationale Supérieure des Arts décoratifs (à Paris). Toujours et où qu’il vive, Hervé Di Rosa travaille avec les artisans du lieu. Ceux qui partout dans le monde, savent actualiser leur savoir-faire à chaque génération, pour créer des oeuvres destinées aux lieux où elles apparaissent, aux gens qui y vivent. Une large peinture sur toile représente les « Marseillais » et leurs portraits forment également le décor des claustras suspendus qui jalonnent l’exposition.


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lundi 2 juin : Visite Mucem : Hervé Di Rosa Un air de famille

Commentée par Vincent Giovannoni, commissaire de l'exposition
Di rosa

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Visite Mucem : Hervé Di Rosa Un air de famille

Hervé Di Rosa, Les Marseillais, 2024. © Adagp, Paris, 2025, photo : © JoãoFerrand/JFF, 2025 Orgue de foire à cent cinq touches, vers 1920 © Mucem / Marianne Kuhn Pour présenter le beau et patient travail d’enchâssement des collections du Mucem par les oeuvres d’Hervé Di Rosa, réalisées sur mesure par l’artiste, il fallait un parcours inventif et joyeux. Jean Seisser, directeur artistique, complice de longue date d’Hervé Di Rosa, a imaginé l’exposition comme un archipel constitué d’une quinzaine d’îlots. Chacun de ces îlots rapproche quelques-uns des objets des collections du Mucem d’une création d’Hervé Di Rosa. Ces îlots livrent chacun une histoire entière, librement interprétable par le visiteur. Curieux de tout et porté par le vif désir de parcourir le monde, immédiatement après le bac Hervé Di Rosa intègre l’École nationale Supérieure des Arts décoratifs (à Paris). Toujours et où qu’il vive, Hervé Di Rosa travaille avec les artisans du lieu. Ceux qui partout dans le monde, savent actualiser leur savoir-faire à chaque génération, pour créer des oeuvres destinées aux lieux où elles apparaissent, aux gens qui y vivent. Une large peinture sur toile représente les « Marseillais » et leurs portraits forment également le décor des claustras suspendus qui jalonnent l’exposition.