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Nouvelles activités


mercredi 26 juin
Passions partagées De Basquiat à Edith Piaf, la Collection Lambert
mercredi 19 juin
"Populaire ?", Les trésors des collections du Mucem
jeudi 20 juin
Visite Mucem : Méditerranées
jeudi 27 juin
Visite Mucem : Méditerranées
jeudi 6 juin
Une journée à Lyon: la Croix-Rousse des Canuts
vendredi 17 mai
Conférence UTL : « Les Canuts : maîtres-tisseurs, maîtres-penseurs »

Sorties 2019

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jeudi 17 janvier : Nîmes antique et contemporaine

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Nîmes antique et contemporaine

Le Mucem de Rudy Ricciotti illustre avec bonheur la confrontation réussie entre un monument historique prestigieux et une architecture contemporaine affirmée. Par deux fois, la ville de Nîmes a réussi ce même pari : il y a 25 ans avec la construction de Carré d’Art face à la célèbre Maison Carrée et depuis quelques mois, avec la réalisation du musée de la Romanité à un jet de pierre de l’amphithéâtre romain de Nîmes, rebaptisé « Arènes de Nîmes ».Ces deux institutions symbolisent parfaitement les deux grandes tendances culturelles de la ville de Nîmes: un pied dans la modernité comme l’a voulu son ancien maire Jean Bousquet bien conseillé par son ami Robert (dit Bob) Calle, le père de l’artiste Sophie Calle, un autre pied dans l’antiquité romaine qui lui vaut le qualificatif de «Rome française », qualificatif que pourrait lui envier sa voisine Arles.


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mercredi 23 janvier : Théâtre de La Criée : « Névrotik Hôtel »

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Théâtre de La Criée : « Névrotik Hôtel »

 Comédie musicale de chambre  Voilà un acteur capable, avec la même jubilation, de jouer Tartuffe et Tante Geneviève, Racine et une diva emperlousée, voix de tête et poitrine en obus. Michel Fau, comédien virtuose, nous livre ici sa dernière folie de théâtre et d’acteur. La Castafiore redessinée par Dubout, c’était dans Le Récital Emphatique. Dans Névrotik Hôtel, voilà Michel Fau en diva, que la vie a abandonnée aux mains d’un jeune groom dans la solitude d’une chambre d’hôtel très rose… Alors, il/elle chante : la vie d’hier, les lendemains incertains. On rit, on s’émeut. Artiste protéiforme et surdoué : Michel Fau ou le génie du travestissement. Spectacle créé au Festival de Figeac 2016  


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vendredi 1 février : Marseille & L’épopée du Canal de Suez

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Marseille & L’épopée du Canal de Suez

En partenariat avec l’Institut du Monde Arabe et plus de 30 ans après la manifestation L’Orient des Provençaux, le musée d'Histoire de Marseille propose de renouveler le regard sur la relation du canal de Suez à Marseille et à son port, en confrontant espoirs, imaginaires et réalités. L’isthme de Suez occupe une position centrale dans l’histoire du monde, à la frontière de trois continents et son percement est le résultat d’une histoire mouvementée. Quelle place a tenu Marseille dans la construction du canal et le façonnement d’une nouvelle géographie du commerce maritime ? Quelles ont été les retombées économiques pour la ville ? Pour les hommes d’affaires locaux, l’ouverture d’une voie navigable reliant la Méditerranée et la mer Rouge concrétise un rêve ancien et promet de placer leur ville dans une situation avantageuse, au plus près de la péninsule indienne et de l’Extrême-Orient. Une façon de rappeler que Marseille et son port ne sont pas seulement ouverts sur le bassin méditerranéen, mais sur le monde entier.


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jeudi 7 février : Théâtre du Gymnase « Blanche GARDIN – Bonne nuit Blanche »

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Théâtre du Gymnase « Blanche GARDIN – Bonne nuit Blanche »

Blanche Gardin est de retour avec un tout nouveau spectacle avec un art unique de n’épargner personne à commencer par elle-même. La nouvelle reine du stand-up, c’est elle, tata flingueuse. En à peine deux spectacles et des sketchs élevés très vite au rang de références post-modernes, Blanche Gardin s’est imposée comme la figure de proue du nouvel humour au féminin. Phénomène hybride à mi-chemin entre Valérie Lemercier et Michel Houellebecq, toujours seule derrière son micro, elle s’autorise sur scène et chuchote tout haut ce que les autres n’oseraient jamais dire. Noirceur pure, fulgurances trash, saillies sociétales et philosophiques, elle n’épargne personne pas même ses propres tripes, qu’elle nous livre encore fumantes sur l’autel de l’autodérision. Repérée par Karl Zéro et rodée aux joutes du Jamel Comedy Club, Blanche Gardin a su en quelques années se construire un personnage à part, à la voix légère et distinguée, teinté de tristesse mélancolique et désabusée pouvant tout se permettre et tout dire dans une insolence revendiquée et jouissive. Et quand il lui reste un peu de temps, entre deux spectacles, elle joue la comédie à la télévision (la série WorkinGirls) ou écrit pour le cinéma (avec Fabrice Eboué ou Eric Judor). Une reine qu’on vous dit.  


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jeudi 7 mars : Rosas Danst Rosas - Anne Teresa De Keersmaeker - Danse au théâtre du Merlan

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Rosas Danst Rosas - Anne Teresa De Keersmaeker - Danse au théâtre du Merlan

En 1983, Anne Teresa de Keersmaeker s’imposait sur la scène internationale avec Rosas Danst Rosas devenue depuis une véritable référence dans l’histoire de la danse postmoderne.La chorégraphe reprend aujourd’hui sa création avec une nouvelle distribution de jeunes danseuses sidérantes, débordantes d’énergie, de fragilité et de sensualité ! D’une élégance rare, ce quatuor virevolte, chavire, roule et traverse l’espace jusqu’à l’épuisement. Un hymne à la féminité, sans un seul instant de relâche, dans lequel lespectateur est emporté. Dominée par la répétition, alternant mouvements abstraits et concrets, cette pièce marque lagenèse de l’écriture d’Anne Teresa De Keersmaeker. Rehaussée par la partition en cinq mouvements de Thierry De Mey et de Peter Vermeersch, la danse de ces quatre jeunes femmes sublime les petits gestes du quotidien, pour nous offrir le chef d’oeuvre d’une des chorégraphes les plus importantes du XXème siècle. Durée du spectacle : 1h45.


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mardi 12 mars : Théâtre du Gymnase « J’ai des doutes »

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Théâtre du Gymnase « J’ai des doutes »

Comédien hors pair, François Morel a l’art d’accommoder les textes et la musique. Avec son fidèle compère Antoine Sahler, ils rendent hommage au verbe fou du grand Raymond Devos. Le verbe fou. On ne présente plus le truculent et fantaisiste François Morel. Ce génial touche-à-tout aussi à l’aise sur les planches, les plateaux de cinéma que derrière un micro de radio tôt le matin, construit pas à pas, depuis ses premières apparitions au théâtre et à la télévision dans la troupe des Deschiens de Jérôme Deschamps et Macha Makeïeff, une relation intime et sincère avec un public fidèle années après années. Après Hyacinthe et Rose et La Vie (titre provisoire), il plonge corps et âme dans la prose du génial et loufoque Raymond Devos, accompagné au piano par Romain Lemire. Comme avait pu faire en son temps le regretté Jean Rochefort avec les textes de Fernand Raynaud, et fasciné par ce grand clown au « grain de folie capable d’enrayer la mécanique bien huilée de la logique, de la réalité, du quotidien », François Morel évoque son amour de jeunesse, une référence fondatrice pour lui et l’artiste qu’il est devenu. Sur scène, l’acteur dit les mots, le chanteur les scande parfois, pour rendre un vibrant hommage à une oeuvre unique, populaire et sophistiquée, avec un plaisir infini de replonger dans les textes et les jeux de mots de l’artiste belge disparu en 2006. Ode pour une oeuvre hors du temps, éminemment physique, joyeuse et sensible, sur l’absurdité du monde qui nous entoure.


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samedi 16 mars : Théâtre de La Criée « Un instant Proust »

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Théâtre de La Criée « Un instant Proust »

« Car aux troubles de la mémoire, sont liées les intermittences du coeur » écrit Marcel Proust. Après Hugo et Les Misérables, Dostoïevski et Les Frères Karamazov, Rabelais et les Paroles Gelées et bientôt Pouchkine, Jean Bellorini met en scène subtilement une des plus belles langues de notre littérature. Un pur régal de Théâtre. Des quelques trois mille pages qui composent À la recherche du temps perdu, écrites entre 1906 et 1922, portées par un style incomparable, Jean Bellorini et Camille de La Guillonnière conservent les passages de l’enfance fragile de l’auteur auprès de sa mère, et la relation tendre et profonde avec sa grand-mère, jusqu’à la mort de celle-ci. Lorsqu’il décrit cet instant, Proust, traversé par un bouleversement douloureux de l’âme, procède à une analyse fine des mécanismes du deuil, de la distorsion temporelle entre le choc et sa conscientisation. Délicatesse et profondeur du jeu des comédiens dans ce spectacle de littérature et de lumière. Coproduction La Criée Création au Théâtre Gérard Philipe, centre dramatique national de Saint-Denis novembre 2018


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jeudi 28 mars : Circuit touristique autour d'Aubagne

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Circuit touristique autour d'Aubagne

La ville d’Aubagne située à une quinzaine de kilomètres de Marseille entre le massif du Garlaban, les contreforts de la Sainte-Baume et le massif du Douard est connue : pour son activité artisanale autour de l’argile, comme ville natale de Marcel Pagnol et depuis 1962, comme site de la maison mère du célèbre corps d’élite de la Légion étrangère. Nous vous proposons pour commencer ce circuit « Aubagnais » en matinée, la visite d'une des plus anciennes Manufactures de Céramique de France créée en 1837 : la « Poterie RAVEL ». Vous y découvrirez la fabrication de la pâte argileuse au tourneur ainsi que les lieux où l'ensemble de la chaîne de production y est réalisé à la main. Dans les ateliers sont fabriqués des vases allant de 10 cm à 1 mètre, des services de table, des pichets, des tians et autres articles de décoration en terre cuite. La visite se poursuivra au sein du Musée de Légion rénové depuis 2013 et qui nous propose une visite guidée de ses collections. Après un déjeuner qui se fera sur la place principale de la ville, nous assisterons à la projection d’un film documentaire au sein de la maison natale de Marcel Pagnol. Pour terminer notre circuit, nous irons, accompagné d’un conférencier « sur les traces de l’écrivain » au village de la Treille. Un circuit pédestre qui nous permettra de découvrir les lieux qui ont inspirés l’écrivain et permit au cinéaste de réaliser nombre de ses premiers tournages.


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vendredi 29 mars : Une journée à Aix-en-Provence

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Une journée à Aix-en-Provence

« Traverser la lumière », exposition au musée Granet La cathédrale d’Aix et le triptyque du Buisson Ardent de Nicolas Froment


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vendredi 29 mars : Théâtre de La Criée « Sénèque, Thyeste »

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Théâtre de La Criée « Sénèque, Thyeste »

Grand texte de la tragédie romaine antique, texte noir, fascinant de cruauté, dont Thomas Jolly offre à la Cour d'Honneur au Festival d’Avignon 2018 une version hantée par l’idée de monstruosité. Sexe, mensonge et cannibalisme : pour se venger de son frère Thyeste, qui a séduit sa femme et lui a volé le bélier à la toison d’or, symbole de sa royauté, Atrée sert à Thyeste ses propres enfants au cours d’un macabre festin. Horrifié, le soleil recule... La tragédie du philosophe latin Sénèque est l’une des pièces les plus noires jamais écrites, une oeuvre dont la fascination a inspiré Shakespeare ou Victor Hugo. Elle se résume à la parole d’Atrée : « Il y a des limites aux crimes ordinaires, mais il n’y en a pas à la vengeance ». Thomas Jolly, prodige du théâtre français, fait de cette vengeance un véritable attentat contre l’humanité. Il offre une image suspendue entre terreur sacrée et nécessité de refonder ce que Sénèque appelait « un traité d’indulgence mutuelle ». Coproduction La Criée Coréalisation Les Théâtres. Création au Festival d’Avignon en juillet 2018


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mardi 2 avril : Aix-en-Provence : Pavillon Noir - Fondation Vasarely

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Aix-en-Provence : Pavillon Noir - Fondation Vasarely

Pavillon Noir  Une découverte de ce lieu insolite, conçu par Rudy Ricciotti (récompensé du Grand prix national de l’Architecture, en 2006) pour la danse. C’est un cube de béton armé brut de couleur noire et de verre de 3000m2. Le Pavillon Noir est le premier Centre Chorégraphique où les artistes peuvent mener leur processus de création en intégralité : du travail en studio, à la représentation sur scène. Cette visite nous permettra de découvriraussi l’histoire d’une compagnie de renommée internationale : Le Ballet Prejlocaj dont le directeur artistique est Angelin Prejlocaj et d’assister à un moment de répétition des artistes. Fondation Vasarely Visite de l’exposition « BAUHAUS. PHOTOS » Le Bauhaus est une école d'art, de design et d'architecture, fondée en Allemagne par l'architecte Walter Gropius. A l'occasion du 100e anniversaire du Bauhaus le Centre Franco-Allemand de Provence, la Fondation Vasarely, les Amis de la Fondation Vasarely et ses partenaires du "cycle : architecture, enjeux et regards d'aujourd'hui" présentent une exposition de photographies conçue par le Bauhaus-ArchivBerlin.Sont présentées 100 œuvres clés sélectionnées parmi une collection mondiale de plus de 70.000 photographies du Bauhaus. Les quatre thèmes abordés : La vie au Bauhaus, Architecture et produits, Visage du Bauhaus et La classe de photographie de Peterhaus, donnent un aperçu impressionnant des diverses facettes de la photographie et de la vie dans ce lieu.  


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jeudi 4 avril : Théâtre de La Criée « Gravité, Angelin Preljocaj »

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Théâtre de La Criée « Gravité, Angelin Preljocaj »

Chorégraphie de Angelin Preljocaj Costumes Igor Chapurin Lumières Eric Soyer Avec les danseurs du Ballet Preljocaj La gravitation est un sujet sur mesure pour Angelin Preljocaj ! Depuis toujours, les corps, leurs trajectoires et leur attraction sont au coeur de ses élégances. Il lance ici un nouveau défi à sa propre danse, au gré de notre système planétaire.Le célèbre chorégraphe passe avec génie du récit merveilleux aux sources mêmes de l’abstraction. Mais quel que soit le style, jamais la danse ne peut se soustraire aux questions de vitesse et de masse corporelle.Gravité explore la théorie fondamentale de la gravitation universelle par le simple langage des corps et embarque les danseurs dans une odyssée charnelle au travers de l’histoire musicale. De Boulez à Ligeti en passant par Grisey, Bach ou Chostakovich, à chaque degré de gravité correspond une oeuvre. Quand Preljocaj rencontre Einstein et Newton, la danse déplace son centre de gravité !


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mercredi 24 avril : Théâtre du Gymnase « Douce-amère»

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Théâtre du Gymnase « Douce-amère»

Texte Jean Poiret Avec Michel Fau, Mélanie Doutey, Christophe PaouMise en scène de Michel Fau Assistant mise en scène Quentin AmiotDécors Bernard Fau, Natacha Markoff Lumières Joël Fabing Costumes David BelugouAprès Barillet et Grédy, Michel Fau remet au goût du jour la première pièce de Jean Poiret, l’un des classiques desGrands Boulevards, avec Mélanie Doutey belle et piquante à souhait.Vaudeville mondain. Lui est brillant et cultivé bien qu’un brin fataliste. Elle est sensuelle et séduisante dans sa mélancolie.Ils se sont aimés pendant huit ans. Aujourd’hui, le couple s’est usé. Sous le regard circonspect du mari délaissé,nombreux sont alors les prétendants qui gravitent autour de cette femme fine, moderne et libérée. Michel Fau est unogre, un boulimique de théâtre aussi démoniaque et drôle sur scène que formidable metteur en scène se plaisant à «débusquer des trésors du répertoire oublié ». Après les bienheureuses Julie Depardieu et Catherine Frot, c’est l’exquiseMélanie Doutey qui s’y pique en femme éminemment moderne dans cette comédie caustique et ironique surla sphère conjugale. Jean Poiret y dépeint subtilement le couple bourgeois des années 1970 enlisé dans ses privilèges,ses contradictions et ses pulsions. Un marivaudage à l’humour grinçant. Du grand art.


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samedi 27 avril : Théâtre de La Criée « SAIGON »

Saigon

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Théâtre de La Criée « SAIGON »

Mise en scène Caroline Guiela NguyenAvec la Compagnie Les Hommes ApproximatifsUn passionnant et bouleversant voyage dans l’histoire croisée du Vietnam et de la France, raconté au plus près deceux qui ont vécu, et vivent encore, l’oubli impossible d’un exil forcé.Ce n’est pas un cours d’histoire sur la colonisation française en Indochine et ses séquelles, mais un chant romanesquepuissamment émouvant qui mêle les langues, les chansons fredonnées, les recettes de cuisine, les petits riens de la viequotidienne, les dits et les non-dits, mots d’amour, larmes de tristesse. Sur la scène, le restaurant de Marie-Antoinette,où se croisent tous ceux qui partagent un lien personnel très fort avec ce pays d’Asie que l’on a voulu croire français de1887 à 1956. Par bribes et allusions, par la parole ou le silence, dans un va-et-vient constant entre hier et aujourd’hui,des comédiens amateurs et professionnels, français et vietnamiens, racontent l’intime et le sensible d’une relationentre deux mondes qui se sont déchirés mais aussi admirés et parfois aimés.Un grand événement du Festival d’Avignon 2017 !


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mercredi 15 mai : Sous-Marin SAGA, à l'Estaque

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Sous-Marin SAGA, à l'Estaque

SAGA (Sous-marin d’Assistance à Grande Autonomie) est un sous-marin civil créé en 1966 à Marseille par le commandant Cousteau. Ce monstre jaune des fonds marins de 28 mètres de long est aujourd’hui au repos dans un hangar de l’Estaque. Découvrez cette merveille de technologie avec Les Compagnons du SAGA, des passionnés ayant participé au projet.


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jeudi 16 mai : Journée à Toulon

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Journée à Toulon

Visite commentée de la rade de Toulon et de son Arsenal Découverte des expositions : « Ulysse ou les constellations » de Franck Pourcel et « le monde imaginaire de Speedy Graphito » Visite commentée du Musée de la Marine


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vendredi 24 mai : Théâtre du Gymnase « Un autre jour viendra »

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Théâtre du Gymnase « Un autre jour viendra »

D’après les écrits et poèmes de Mahmoud Darwich Conception et mise en scène David AyalaAvec en alternance Simon Abkarian, Ariane Ascaride, Cécile Garcia-Fogel (sous réserve Sami Bouajila, Reda Kateb) et Fida Mohissen, Sophie Affholder, David Ayala, Bertrand Louis, Jérôme Castel, Astrid Fournier-Laroque Une ode à la paix autour de la poésie de Mahmoud Darwich mise en scène par David Ayala avec une troupe prestigieuse d’acteurs, chanteurs et musiciens de renom.À partir de l’oeuvre de Mahmoud Darwich, l’un des plus grands poètes de langue arabe disparu en 2008, l’acteur et metteur en scène David Ayala a créé un véritable récital poétique et musical. Ses complices artistiques de toujours, Simon Abkarian et Ariane Ascaride, ses vieux compagnons de route, ont répondu présents pour jouer, dire et chanter les mots de Darwich, l’homme d’amour et de la réconciliation despeuples, accompagnés par Cécile Garcia-Fogel, Sami Bouajila et quelques invités qui feront des apparitions surprises. Allier la lumineuse beauté des écrits poétiques de Darwich à la parole chantée, lue, récitée ou racontée (textes en langue arabe et traduits en français se répondent merveilleusement) paraît alors de l’ordre de l’évidence dans un accord parfait. Les rythmes arabo-andalous s’accordent aux piano, oud et guitares sur le plateau dans une mise en scène délicate alliant théâtre et vidéo. La poésie de Darwich déborde toutes les frontières, et se fait le merveilleux porte-voix d’un Moyen-Orient tragiquement déchiré.


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mardi 4 juin : Randonnée culturelle « le Rove – Côte bleue »

Découverte niveau 1 – 3h environ
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Randonnée culturelle « le Rove – Côte bleue »

La Côte bleue, massif à l’ouest de Marseille, moins célèbre que les Calanques, renferme, outre des paysages analogues, des curiosités culturelles méconnues. Au fil du cheminement on découvrira un point d’histoire contemporaine, un lieu lié à l’histoire militaire du XIXe siècle et des vestiges des "ruralités" passées. Visite commentée par Jean-Louis Maltret, Ami du Mucem.


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mercredi 5 juin : Théâtre de La Criée « Les Démons »

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Théâtre de La Criée « Les Démons »

D’après Dostoïevski Traduction André MarkowiczAdaptation et Mise en scène Sylvain CreuzevaultScénographie Jean-Baptiste BellonAvec Valérie Dréville, Vladislav Galard, Arthur Igual, Sava Lolov, Léo-Antonin Lutinier, Frédéric Noaille, Amandine Pudlo, Blanche Ripoche, Anne-Laure Tondula Après Le Capital et son singe d’après Marx, ou la Révolution française dans Notre terreur, Sylvain Creuzevault attaque Les Démons de Dostoïevski, un roman qu’Albert Camus considérait en son temps comme « une oeuvre au dessus de toutes les autres »Dostoïevski avait d'abord conçu Les Démons comme une oeuvre de dénonciation et de combat, mais son génie visionnaire l’emporte. Le roman devait faire l’autopsie d’un certain nihilisme révolutionnaire débouchant sur le terrorisme.Au bout de trois ans d'écriture, toutes les figures de cette intrigue foisonnante, qu’elles soient conservatrices ou progressistes, ont conquis leur part d’ombre et leur épaisseur propre. Ce qui aurait pu n’être qu’une satire politique devint ainsi un chef-d’oeuvre d’écriture plurielle : à la fois feuilleton au long cours et plongée hallucinée dans les ténèbres intérieures. Cette puissance d’une « mise en dialogue » généralisée,ici prise en charge par une distribution brillante, est au coeur du projet de Sylvain Creuzevault, qui poursuit son exploration des turbulences provoquées par l’invention moderne du politique, entre sacre de l’individu et toute-puissancedu social. Création le 21 septembre 2018 à l’Odéon - Théâtre de l’Europe, Ateliers Berthier, en partenariat avec le Festival d’Automne à Paris


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mardi 2 juillet : Aix-en-Provence : Centre Caumont - Musée Granet

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Aix-en-Provence : Centre Caumont - Musée Granet

«Chefs d'œuvre du Guggenheim : de Manet à Picasso, la Collection Tannhauser» au Centre Caumont « Fabienne Verdier - Sur les terres de Cézanne » au Musée Granet


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jeudi 12 septembre : Regards de Provence « Gastronomie »

« De la table au tableau » et « L'Art Mange l'Art »
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Regards de Provence « Gastronomie »

Dans le cadre de l'année de la Gastronomie 2019 - MPG 2019, coordonnée par le Département des Bouches-du-Rhône et Provence Tourisme, le musée Regards de Provence propose deux expositions : « De la table au tableau » est dédiée à des œuvres majeures de la collection de la Fondation Regards de Provence et de collections muséales du territoire d’artistes des XIX et XX° siècles, portant une attention particulière sur l’art de la représentation de la nourriture et des objets de la vie quotidienne. Des artistes tels qu’Auguste Chabaud, Pierre Ambrogiani, Raoul Dufy, Maurice Vlaminck, Marius Barthalot, Louis-Mathieu Verdilhan, André Verdilhan, Edouard Ducros, René Seyssaud, Louis Valtat, Félix Ziem, et bien d’autres…, constituent le récit pictural de cet Art de Vivre en Provence. Trois dessinateurs caricaturistes, Honoré Daumier, Albert Dubout et Roger Blachon, donnent à voir leur version singulière d’un réveillon, d’un banquet érotique ou de l’art de déguster le vin, afin d’apporter une note humoristique et décalée à l’ensemble de l’exposition. L’exposition « L’Art mange l’Art » est consacrée aux délices gastronomiques d’artistes contemporains – photographes, peintres, dessinateurs, sculpteurs, vidéastes – qui invitent à redécouvrir, à travers leur regard intime, leur prisme, leur vision, les plaisirs simples des aliments, de leur authenticité, de la cuisine, de la table, de la cérémonie du repas, de la créativité et des arts de la table. Elle donne à réfléchir sur la société de consommation, l’industrie alimentaire – l’art de séduire par des mises en scène originales et des emballages créatifs – mais aussi ses abus, ses dérives, ses gaspillages. Chaque approche artistique, souvent hors des sentiers battus et teintée parfois de dérision et de provocation, interprète l’aliment, la nature, le terroir, la récolte, la transformation fascinante de la matière première en repas, la convivialité, l’échange, le partage, la mise en scène d’un repas. Ces artistes explorent les rapports entre créations culinaires et artistiques et les revisitent.    


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samedi 14 septembre : Visite exceptionnelle de finissage de l’exposition «Erwin Wurm»

commentée par son commissaire Thierry Ollat, Directeur du [mac]
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Visite exceptionnelle de finissage de l’exposition «Erwin Wurm»

Sur une proposition du [mac], musée d’art contemporain de Marseille, les œuvres de l’artiste contempo-rain Erwin Wurm s’invitent en trois lieux à Marseille. Au musée Cantini, au musée des Beaux-Arts et à la cha-pelle de la Vieille Charité. Erwin Wurm est un artiste autrichien né en 1954 à Bruck an der Mur. Il a étudié la sculpture à la Kunstaka-demie de Vienne, puis est devenu professeur aux Beaux-Arts du Centre de la Vieille Charité. L’artisteexploretous les supports avec une approche critique pour représenter la vie quotidienne. À travers des élémentsabsurdes ou drôles qu’il intègre dans ses sculptures, peintures, performances, vidéos et photos, Se réclamant des mouvements artistiques Dada et Fluxus, cet artiste autrichien déploie son travail depuisles années 1980 à travers sculptures, vidéos, performances, etc.La création d’une œuvre pour Erwin Wurm est une procédure d’émancipation. Il libère les objets de leurcontexte familier, les remet en question et leur donne un sens hors du commun à l’image de ses célèbresOne-Minute Sculptures où le spectateur est invité à interagir avec les objets du quotidien.


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mardi 24 septembre : Escale à Porquerolles

Fondation Carmignac et Parc National de Port-Cros
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Escale à Porquerolles

L’exposition « Le temps de l’île » présentée au Mucem à partir du 16 juillet, nous invite à la découverte de ces morceaux de territoire particuliers que sont les îles. Une journée à Porquerolles n’y suffira pas cependant et chacun peut rêver d’aventures plus exotiques et plus lointaines. Pourtant, les Îles d’Or comme on les appelle parfois, ont toujours fait rêver et leur fréquentation estivale, excessive, est là pour le rappeler. Ce sera donc plutôt au début de l’automne que les Amis du Mucem seront invités à parcourir, un peu, cette île de Porquerolles, l’une des Îles d’Hyères, voisine de Port-Cros et de l’Île du Levant.


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vendredi 27 septembre : Nouveau parcours archéologique en Méditerranée

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Nouveau parcours archéologique en Méditerranée

Le musée d'Archéologie Méditerranéenne ouvert depuis 1989 au sein du Centre de la Vieille Charité à Marseille propose une nouvelle approche archéo-sociologique. Cette exposition propose un nouveau regard sur la Méditerranée des débuts de notre histoire dans le département des antiquités grecques, romaines et du Proche Orient.La salle est enrichie par le dépôt de 12 objets du Département des Antiquités Orientales et Classiques du Louvre et de 5 objets du Département de recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines (DRASSM).C'est un fascinant voyage de près de six mille ans, une histoire qui traverse tout le pourtour méditerranéen. Cet itinéraire sensible part des rives du Tigre et de l’Euphrate et des rivages grecs jusqu’à l’Italie romaine, en passant par les îles les plus emblématiques de la Mer Méditerranée. Ainsi, des civilisations antiques, méconnues ou caricaturées, se révèlent par autant d’objets d’exception.Des inventions majeures pour l’homme ont vu le jour dans cette aire géographique du monde. Des progrès techniques et des savoir-faire encore utilisés par l’homme aujourd’hui y ont été mis au point, toujours dans ce même périmètre. Comment faire le lien entre tous ces objets ? Comment dérouler leur histoire, pour mieux les comprendre et les admirer ? C’est un parcours à double lecture auquel le visiteur est convié.Grâce à des espaces expliquant les diverses techniques (invention de l’écriture, du verre, des alliages cuivreux...) et ponctuant la visite, il est possible d’envisager l’histoire artistique de l’objet, de le contextualiser, de le socialiser et de mieux comprendre les besoins et les contraintes des artisans et des techniciens qui l’ont réalisé. Les croyances et la ferveur, qui animaient ces femmes et hommes, se sont au fil des siècles, mêlées, séparées parfois, avec toujours l’espoir de progresser et d’avancer pour vivre mieux au sein d’un groupe, dans une société.


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mardi 1 octobre : Le Camp des Milles

Visite du site et participation à l’atelier « Créer pour résister »
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Le Camp des Milles

Le camp des Milles était un camp d'internement et de déportation français, ouvert en septembre 1939, dans une usine désaffectée, une tuilerie, au hameau des Milles sur le territoire de la commune d'Aix-en-Provence.   Entre 1939 et 1942, il a connu l'internement d’étrangers et de résistants de 38 nationalités pour devenir finalement une antichambre d’Auschwitz avec la déportation de milliers d’hommes, de femmes et d’enfants juifs en août et septembre 1942 dans le cadre de la Shoah. Il est le seul grand camp français d'internement et de déportation encore intact et il devient accessible au public avec l'ouverture d'un Site-Mémorial sur les lieux mêmes à l'été 2012.   Aujourd’hui le camp des Milles est un musée d’Histoire et des Sciences de l’Homme innovant et unique en France qui permet de comprendre comment les discriminations, les racismes et les extrémismes peuvent mener au pire.   Pour la première fois sur un lieu de mémoire, sont apportés des repères pluridisciplinaires et des clés de compréhension scientifiques qui peuvent aider à agir au présent contre ces intolérances. Le Site-mémorial du Camp des Milles vous propose un parcours de visite pédagogique de 15 000 m2 d’expositions permanentes en 3 volets : volet Historique, volet Mémoriel et volet Réflexif.   Ce parcours est conforté par plusieurs dispositifs majeurs, notamment plus de 48 films.  


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samedi 5 octobre : Balade urbaine : le Vieux-Port des peintres et des écrivains

avec Jean-Louis Maltret et Macha Toufany, Amis du Mucem
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Balade urbaine : le Vieux-Port des peintres et des écrivains

Le Lacydon, coeur de Marseille, a inspiré beaucoup d'artistes : peintres séduits par le lieu, sa lumière et ses perspectives, mais aussi écrivains qui ont su en décrire l'ambiance et les gens. Une promenade qui permettra peut-être de retrouver les impressions d'Isabelle Eberhardt : « Marseille, la cité des adieux, est incomparable en ces soirs noyés d'une liqueur dorée. Dans l'eau frémissante, des serpents de feu courent figitifs et glissants, un vent tiède caresse doucement les maisons, les navires et l'eau, tandis qu'à l'horizon, dans l'imprécis flamboyant de la haute mer, s'accomplit, comme un drame, le naufrage du soleil. » (Ecrits sur le sable)


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mercredi 9 octobre : Théâtre de La Criée « la fin de l’homme rouge »

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Théâtre de La Criée « la fin de l’homme rouge »

D’après le roman de Svetlana Alexievitch Mise en scène et adaptation Emmanuel MeirieuAvec Stéphane Balmino, Evelyne Didi, Xavier Gallais, Anouk Grinberg, Jérôme Kircher, Maud Wyler, André Wilms et la voix de Catherine Hiegel Une plongée dans l’Histoire soviétique par le coeur et l’âme de ceux qui l’ont vécueCréation 2019De l’oeuvre de Svetlana Alexievitch, Prix Nobel de littérature en 2015, Emmanuel Meirieu fait jaillir les voix bouleversantes de sept hommes et femmes ordinaires, laissés orphelins par la chute de l’URSS. Sublime.Depuis les décombres de l’URSS, les témoins du rêve brisé de l’utopie communiste, un à un, face à nous, disent l’amour, la ferveur politique, le quotidien fracassé, le deuil, ce qui compose les vies minuscules que jamais ne retient la grande Histoire.Des comédiens d’une rare intensité, une adaptation puissante du dernier ouvrage de Svetlana Alexievitch, minutieux travail de collecte de récits de l’autrice biélorusse qui, depuis quarante ans, façonne ses « romans de voix ». Une plongée inoubliable dans le versant intime de la tragédie collective.


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vendredi 11 octobre : Visites à Aix en Provence

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Visites à Aix en Provence

Visite de finissage de l’exposition Fabienne Verdier, commentée par Bruno Ely, Conservateur et directeur du Musée Granet Exposition "La Révolution permanente" à la Fondation Vasarely  


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dimanche 27 octobre : Théâtre du Gymnase «L’ordre des choses »

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Théâtre du Gymnase «L’ordre des choses »

Texte Marc Fayet Avec Pascal Légitimus,Vincent Desagnat, Pascale Louange Mise en scène de Richard Berry Scénographie Philippe Chiffre Costumes Laurence Struz Lumières Thomas Hardmeier Son Michel Winogradoff En adaptant cette pièce de Marc Fayet, le metteur en scène Richard Berry se saisit d’un fait de société : un test ADN suffit-il à se sentir père ?Imbroglio dans la maison familiale : un beau jour, Thomas débarque chez Bernard, sémillant sexagénaire, prétendantqu’il est son fils. Or Bernard s’est toujours proclamé stérile, et bientôt, Juliette, sa jeune compagne, succombe au charme de son supposé beau-fils...Peut-on désirer un enfant à tout prix ? Qu’implique la renonciation à la parentalité? Pour rester dans le ton de la comédie, il pose un casting aussi rock’n’roll que son décor : l’inénarrable Pascal Légiti-mus, l’irrésistible Vincent Desagnat (ancien comparse de Michaël Youn), l’ensorcelante Pascale Louange.« Parce queje suis ton fils, je ne peux pas être l’amant de ta femme ? »Autant le dire, l’ordre des choses est ici fort chahuté !


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mardi 5 novembre : Théâtre de La Criée « La vie de Galilée »

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Théâtre de La Criée « La vie de Galilée »

Mise en scène Claudia Stavisky Texte Bertolt Brecht traduction Éloi Recoing AvecPhilippe Torreton, Gabin Bastard, Frédéric Borie, Alexandre Carrière, Maxime Coggio,Guy-Pierre Couleau, Matthias Distefano, Nanou Garcia, Michel Hermon, Benjamin Jungers,Marie Torreton Bertolt Brecht raconte le vertige d’un monde qui voit subitement son ordre voler en éclats. La directrice des Célestins à Lyon signe un grand spectacle de troupe, à la poésie sensuelle, organique, qui résonne comme un hymne à la vie.Cela aurait dû être un jour comme les autres, mais ce jour-là, dans les premières années du XVIIe, Galilée (1564-1642) braque une lunette astronomique vers le ciel et confirme l’hypothèse avancée avant lui par Copernic : la Terre n’est pas au centre de univers. Cette affirmation fait exploser l’ordre qui prévalait depuis des siècles. Le ciel se retrouve soudainement vide. Mais où est donc passé Dieu ? Délogé des sphères célestes… ?Dans La Vie de Galilée, Bertolt Brecht éclaire le vertige d’une humanité qui doit, du jour au lendemain, changer de repères. Pour le rôle du célèbre savant, Claudia Stavisky a choisi Philippe Torreton. Entouré d’une dizaine d’interprètes (qui incarnent plus de quarante personnages), le grand comédien s’élance avec éclat et appétit dans cette fable entre raison et imagination.


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mardi 19 novembre : Journée en Camargue

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Journée en Camargue

« … La Camargue est un delta, le dépotoir d’un fleuve, une alcôve. Jusque-là il a coulé, rapide, sans avoir le temps de de faire de la métaphysique, il a vécu. Dans ce delta, il est sur sa fin, il va disparaître dans la mer, alors il s’alanguit, il flâne, il se partage, il se love sur lui-même, il rumine, il hésite, il récapitule ; tout ce qu’il a charrié il le compulse, il le mélange, il le pourrit, il en tire gloire.Tout ce qu’il a arraché à ses bords il en fait du limon, de l’humus et du sable. Tout ce qu’il a tué il s’ingénie à le ressusciter, tout ce qui est mort en lui il le fait vivre. La graine qu’il a transportée furieusement, ici il la cajole, il la couve, il la fait éclater… ». (Jean Giono, Ennemonde et autres caractères, 1968). Visite du Musée de la Camargue et de la cité industrielle de salin-de-Giraud.


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jeudi 21 novembre : Théâtre du Gymnase «Cocorico »

Cocorico

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Théâtre du Gymnase «Cocorico »

Conception Patrice Thibaud Mise en scène Susy Firth, Michèle Guigon, Patrice Thibaud Musique originale Philippe Leygnac Création lumières Marie Vincent, Charlotte Dubail Costumes Isabelle Beaudouin Réalisation Costumes, décor, accessoires Les Ateliers de Chaillot Avec Patrice Thibaud, Philippe Leygnac Joué plus de 450 fois dans le monde entier ! L’inénarrable Patrice Thibaud présente l’un de ses spectacles les plus aboutis,Cocoricocréé à Chaillot en 2008. Dans un duo burlesque de haute volée entre deux personnages que tout oppose, l’un grand timide et l’autre va-t-en-guerre intrépide, Patrice Thibaud convie son vieux compagnon de scène Philippe Leygnac dans un numéro à la Laurelet Hardy, croisant sur leur route les coureurs du Tour de France, un défilé du 14 juillet, des cow-boys et même un dresseur de fauves. Depuis Cocorico, spectacle qui fit sa renommée internationale, il construit avec l’humilité des plus grands une œuvre touchante et poétique teintée de la tendresse des grands enfants, tout en drôlerie et délicatesse.


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mercredi 4 décembre : Théâtre de La Criée «Lewis versus Alice»

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Théâtre de La Criée «Lewis versus Alice»

D’après Lewis Carroll Mise en scène Macha Makeïeff adaptation Macha Makeïeff et Gaëlle Hermant  Avec Geoffrey Carey, Caroline Espargilière, Vanessa Fonte, Clément Griffault, Jan Peters, Geoffroy Rondeau et Rosemary Standley . À l'image Michka Wallon Une troupe joyeusement fantasque de comédiens-chanteurs-musiciens, une fantaisie théâtrale à la croisée du rêve, de l’enfance et de l’extravagance anglaise. Qui est réellement Lewis Carroll ? Un excentrique clergyman d’Oxford, photographe, logicien, spirite, rêveur ? Avec Lewis versus Alice, Macha Makeïeff entre dans l’univers féérique de l’étrange écrivain britannique, créateur d’Alice au pays des merveilles, poète énigmatique célébré par les Surréalistes.  Son véritable nom était Charles Lutwidge Dodgson. Né en 1832, fils d’un pasteur, ce pédagogue dépressif a le charme d’un vieux garçon maniaque et marginal. Indocile avec les conventions victoriennes, collectionneur bizarre, il voue sa vie aux mathématiques et à l’écriture de fictions fantastiques. Sa rêverie nous plonge dans les contradictions d’un monde trouble, où tout fluctue, se traverse et s’inverse avec humour et fragilité. Chez Lewis Carroll, poète du nonsense, il n’est question que de décalages et d’incertain, de trouble et de « fééristique ». Il est l’auteur idéal pour s’aventurer dans le plaisir des contresens de la langue, dans l’exploration du rêve, du surnaturel, des mondes superposés et l’occasion d’une surprenante démonstration.   


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mercredi 18 décembre : Théâtre du Gymnase « Fraize »

Fraize

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Théâtre du Gymnase « Fraize »

Mise en scène Alain Degois Avec Marc Fraize Oubliez les poncifs de l’humour, bienvenue dans l’univers décoiffant et non conventionnel de Monsieur Fraize ! Avec un patronyme pareil - c'est son vrai nom -, Marc Fraize ne pouvait être que maraîcher bio ou humoriste. Pour notre plus grand plaisir, ce « clown de l’absurde » (Le Monde) a choisi de monter sur scène pour nous dévoiler son alter-ego lunaire et attachant. Métronome du malaise, dépourvu de véritables histoires à raconter, M. Fraize brise les règles du stand up trop formaté sans peur de provoquer la gêne ni de déclencher un fou rire par un silence trop appuyé. Déjà culte pour beaucoup (on a pu l’apercevoir au cinéma chez Michel Hazanavicius, Quentin Dupieux ou Eric Judor), le spectacle de M. Fraize sera le phénomène scénique incontournable de notre saison humoristique.