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Passions partagées De Basquiat à Edith Piaf, la Collection Lambert
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Visite Mucem : Méditerranées
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Visite Mucem : Méditerranées
lundi 6 mai
Passions partagées De Basquiat à Edith Piaf, la Collection Lambert
jeudi 6 juin
Une journée à Lyon: la Croix-Rousse des Canuts

Visites au Mucem 2021

visite

vendredi 7 mai : Jardins des migrations

Visite commentée par Catherine Millet et Agnès Westendorp, Amies du Mucem.
Jardin_des_migrations

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Jardins des migrations

Le Jardin des migrations, qui relie le MUCEM et le fort Saint Jean, a été aménagé de 2011 à 2013 par l’agence APS de Valence (paysagistes, urbanistes et architectes). C’est un jardin méditerranéen de plus de12 000 m2 que les marseillais ont aussitôt adopté. Nous vous invitons à déambuler dans ce jardin unique, ouvert sur le large, hommage aux voyageurs qui ont naguère débarqué à Marseille et ont apporté avec eux des plantes de tout le pourtour de la Méditerranée. Qu’elles soient à usage domestique, aromatique, tinctorial, médicinal, ces plantes ont contribué à tisser des liens historiques entre les peuples. On en parle depuis l’Antiquité, que ce soit dans la mythologie, la Bible ou le Coran. Cette promenade à deux voix nous permettra de visiter les divers espaces de ce jardin, dont les plantes,souvent introduites par l'homme au cours des siècles, évoquent le brassage des cultures autour de la Méditerranée. Nous pourrons comprendre les pratiques de développement durable de ce jardin sec, qui sera peut-être un modèle pour les jardins du futur.


visite

jeudi 3 juin : DEFLAGRATIONS, Dessins d’enfants et violences de masse

Visite commentée par Natacha Cauvin, Pôle édition, chargée du catalogue de l'exposition
10-IMG_7331 24-IMG_7347

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DEFLAGRATIONS, Dessins d’enfants et violences de masse

     L’exposition « Déflagrations » est un hommage à un geste de création très singulier : celui des enfants qui, après avoir côtoyé la mort dans des situations de guerres ou de crimes de masse, ont repris les crayons de couleur pour se raconter. Dans les camps de réfugiés, dans les villes bombardées, les écoles, les centres de soins, les ateliers, ils ont créé, tracé, joué, et rêvé aussi, en s’emparant  de ce langage à la fois universel et infiniment personnel qu’est l’expression graphique. Ils ont vu les règles qui régissent l’humain saccagées, mais face à nous, se tient toute la puissance de ce geste de dessiner avec ce qu’il porte de résistance. Sur plus d’un siècle traversé, ces images nous montrent à la fois le soleil et la déflagration.     L’exposition présente plus de 150 dessins provenant de musées, bibliothèques nationales et universitaires, institutions internationales et ONG, ou encore d’archives de psychiatres, de psychologues et de correspondants de guerre. Invités, des artistes et des écrivains, aux côtés de Françoise Héritier, offrent autant d’échos à ces traces déposées dans l’histoire. Parmi eux, Enki Bilal, est l’artiste associé, compagnon du projet depuis ses débuts.Commissariat : Zérane S. Girardeau, commissaire, productrice et directrice artistique, fondatrice de l'association Déflagrations


visite

jeudi 3 juin : Jardins des migrations

Visite commentée par Catherine Millet et Agnès Westendorp, Amies du Mucem.
Jardin_des_migrations

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Jardins des migrations

Le Jardin des migrations, qui relie le MUCEM et le fort Saint Jean, a été aménagé de 2011 à 2013 par l’agence APS de Valence (paysagistes, urbanistes et architectes). C’est un jardin méditerranéen de plus de12 000 m2 que les marseillais ont aussitôt adopté. Nous vous invitons à déambuler dans ce jardin unique, ouvert sur le large, hommage aux voyageurs qui ont naguère débarqué à Marseille et ont apporté avec eux des plantes de tout le pourtour de la Méditerranée. Qu’elles soient à usage domestique, aromatique, tinctorial, médicinal, ces plantes ont contribué à tisser des liens historiques entre les peuples. On en parle depuis l’Antiquité, que ce soit dans la mythologie, la Bible ou le Coran. Cette promenade à deux voix nous permettra de visiter les divers espaces de ce jardin, dont les plantes,souvent introduites par l'homme au cours des siècles, évoquent le brassage des cultures autour de la Méditerranée. Nous pourrons comprendre les pratiques de développement durable de ce jardin sec, qui sera peut-être un modèle pour les jardins du futur.


visite

jeudi 10 juin : Civilization, Quelle époque

Visite commentée par Helia Paukner, conservatrice au Mucem
The-Heavens-2012 Olaf_Otto_Becker

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Civilization, Quelle époque

Olaf_Otto_Becker_Point_660_serie_Above_Zero_2008         Site_Paolo-Woods-et-Gabriele-Galimberti_serie-The-Heavens-2012-5©Olaf_Otto_Becker                                                           ©Gabriele-Galimberti-et-Paolo-Woods « Civilization - Quelle époque ! » présente le travail de cent dix photographes originaires des cinq continents. Rassemblant jeunes talents comme artistes renommé.e.s, cette exposition réunit plus de 200 tirages originaux qui dessinent un portrait pluriel de notre temps. « Civilization - Quelle époque ! » s’intéresse à la civilisation telle qu’elle est au XXIe siècle, d’un bout à l’autre de la planète, avec un intérêt particulier pour ce qui nous rassemble, pour ce qui est partagé collectivement, dans un monde où bien souvent dominent les valeurs de l’individualisme. Elle prend un relief tout particulier de reflet du monde avant la pandémie du Covid-19.Logement, travail, loisirs, transports, éducation, arts, sciences, technologies… Aux quatre coins du globe, les photographes observent, enregistrent, interprètent, et bien sûr immortalisent, le monde tel qu’il est. Grâce à leur travail, cette exposition inédite propose une vision globale de tout ce qui fait, aujourd’hui, notre ''civilisation''.


visite

jeudi 17 juin : DEFLAGRATIONS, Dessins d’enfants et violences de masse

Visite commentée par Natacha Cauvin, Pôle édition, chargée du catalogue de l'exposition
10-IMG_7331 24-IMG_7347

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DEFLAGRATIONS, Dessins d’enfants et violences de masse

     L’exposition « Déflagrations » est un hommage à un geste de création très singulier : celui des enfants qui, après avoir côtoyé la mort dans des situations de guerres ou de crimes de masse, ont repris les crayons de couleur pour se raconter. Dans les camps de réfugiés, dans les villes bombardées, les écoles, les centres de soins, les ateliers, ils ont créé, tracé, joué, et rêvé aussi, en s’emparant  de ce langage à la fois universel et infiniment personnel qu’est l’expression graphique. Ils ont vu les règles qui régissent l’humain saccagées, mais face à nous, se tient toute la puissance de ce geste de dessiner avec ce qu’il porte de résistance. Sur plus d’un siècle traversé, ces images nous montrent à la fois le soleil et la déflagration.     L’exposition présente plus de 150 dessins provenant de musées, bibliothèques nationales et universitaires, institutions internationales et ONG, ou encore d’archives de psychiatres, de psychologues et de correspondants de guerre. Invités, des artistes et des écrivains, aux côtés de Françoise Héritier, offrent autant d’échos à ces traces déposées dans l’histoire. Parmi eux, Enki Bilal, est l’artiste associé, compagnon du projet depuis ses débuts.Commissariat : Zérane S. Girardeau, commissaire, productrice et directrice artistique, fondatrice de l'association Déflagrations


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lundi 21 juin : Le Grand Mezzé

Visite commentée par Edouard de Laubrie, commissaire de l'exposition
Jacopo_Bassano 13_Materiel_rituel Cuisine-portable

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Le Grand Mezzé

J. Bassano d'après Lazare et le mauvais riche XVIIe   Materiel rituel de la fabrication de bière en Georgie   Cuisine portable, 2011, Marseille xxxxxxxx ©Mucem-Marianne Kuhnxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx ©musees du Mans xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx ©David-GiancatarinaCette exposition est une nouvelle présentation de la 1ère section de la  Galerie de la Méditerranée.Nous connaissons tous le slogan nous invitant à « manger cinq fruits et légumes par jour », mais qui sait que cette recommandation s’inspire du « régime crétois », aussi appelé « diète méditerranéenne » ? Ce concept, créé dans les années 1960 par l’épidémiologiste américain Ancel Keys, a été inscrit en 2010 par l’Unesco sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité, favorisant ainsi sa reconnaissance et sa mondialisation.L’alimentation méditerranéenne est le fruit d’une construction qui s’est toujours  enrichie d’apports extérieurs au cours de l’histoire. À l’heure où celle-ci est devenue un modèle globalisé, se pose aujourd’hui la question de la nécessaire réappropriation en Méditerranée de sa production comme de sa cuisine.Comment définir et préserver une authenticité culinaire géographique et culturelle, tout en la partageant avec le plus grand nombre ? Comment protéger un régime alimentaire sans l’empêcher d’évoluer ? Comment rester perméable tout en restant authentique ? Pour le savoir, l’exposition « Le grand mezzé » nous mène du  champ à l’assiette, et des savoir-faire culinaires traditionnels de Méditerranée aux chaînes de restaurants mondialisées.À la manière d’un grand repas aux mets et aux saveurs variés, « Le grand mezzé »  présente une sélection de 550 objets et documents patrimoniaux en provenance de  35 musées d’Europe et de Méditerranée, ainsi que 13 projets audiovisuels et 5  œuvres inédites.


visite

mercredi 23 juin : Civilization, Quelle époque

Visite commentée par Helia Paukner, conservatrice au Mucem
The-Heavens-2012 Olaf_Otto_Becker

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Civilization, Quelle époque

Olaf_Otto_Becker_Point_660_serie_Above_Zero_2008         Site_Paolo-Woods-et-Gabriele-Galimberti_serie-The-Heavens-2012-5©Olaf_Otto_Becker                                                           ©Gabriele-Galimberti-et-Paolo-Woods « Civilization - Quelle époque ! » présente le travail de cent dix photographes originaires des cinq continents. Rassemblant jeunes talents comme artistes renommé.e.s, cette exposition réunit plus de 200 tirages originaux qui dessinent un portrait pluriel de notre temps. « Civilization - Quelle époque ! » s’intéresse à la civilisation telle qu’elle est au XXIe siècle, d’un bout à l’autre de la planète, avec un intérêt particulier pour ce qui nous rassemble, pour ce qui est partagé collectivement, dans un monde où bien souvent dominent les valeurs de l’individualisme. Elle prend un relief tout particulier de reflet du monde avant la pandémie du Covid-19.Logement, travail, loisirs, transports, éducation, arts, sciences, technologies… Aux quatre coins du globe, les photographes observent, enregistrent, interprètent, et bien sûr immortalisent, le monde tel qu’il est. Grâce à leur travail, cette exposition inédite propose une vision globale de tout ce qui fait, aujourd’hui, notre ''civilisation''.


visite

vendredi 25 juin : Jeff Koons Mucem. Œuvres de la Collection Pinault

visite commentée par sa commissaire, Emilie Girard*
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Jeff Koons Mucem. Œuvres de la Collection Pinault

     L’exposition conçue en étroite collaboration avec l’artiste américain, présentera certaines de ses œuvres les plus célèbres, et explorera la relation entre ces œuvres et les objets du quotidien, photographies et documents de l’immense collection du Mucem, référence dans le domaine des arts populaires.      Artiste incontournable de la fin du XXe siècle et de ce début de XXIe siècle, Jeff Koons puise son inspiration dans le quotidien, dans des objets banals, familiers, issus bien souvent de la culture américaine. En réinterprétant le concept de Readymade de Marcel Duchamp, Koons interroge l’idée même d’œuvre d’art. La variété des sujets auxquels il s’intéresse, les références continuellement présentes à l’histoire de l’art ou au monde de la publicité ainsi que le large spectre des techniques auxquelles il a recours ont contribué à faire entrer son travail dans notre imaginaire collectif, en offrant un nouveau regard sur notre relation au quotidien et aux objets qui nous entourent. Cet intérêt pour l’objet usuel fait de la rencontre entre l’artiste et la collection du Mucem un terrain de jeu parfait.     Grâce au prêt exceptionnel de 19 œuvres issues de la Collection Pinault, c’est une véritable plongée dans le travail de l’artiste, jalonnée par ses œuvres phares, sculptures (comme Balloon Dog, 1994-2000, ou Lobster, 2007-2012), et peintures (comme Backyard, 2002, ou Dutch Couple, 2007) qui est proposée.     L’originalité de l’exposition tient à la rencontre des œuvres de Koons avec les collections d’art populaire du Mucem. Commissaires : Elena Geuna, commissaire d’exposition indépendante, auteure et conseillère artistiqueÉmilie Girard, conservatrice en chef du patrimoine, directrice scientifique et des collections du Mucem


visite

jeudi 1 juillet : Jeff Koons Mucem. Œuvres de la Collection Pinault

visite par sa commissaire, Emilie Girard*
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Jeff Koons Mucem. Œuvres de la Collection Pinault

     L’exposition conçue en étroite collaboration avec l’artiste américain, présentera certaines de ses œuvres les plus célèbres, et explorera la relation entre ces œuvres et les objets du quotidien, photographies et documents de l’immense collection du Mucem, référence dans le domaine des arts populaires.      Artiste incontournable de la fin du XXe siècle et de ce début de XXIe siècle, Jeff Koons puise son inspiration dans le quotidien, dans des objets banals, familiers, issus bien souvent de la culture américaine. En réinterprétant le concept de Readymade de Marcel Duchamp, Koons interroge l’idée même d’œuvre d’art. La variété des sujets auxquels il s’intéresse, les références continuellement présentes à l’histoire de l’art ou au monde de la publicité ainsi que le large spectre des techniques auxquelles il a recours ont contribué à faire entrer son travail dans notre imaginaire collectif, en offrant un nouveau regard sur notre relation au quotidien et aux objets qui nous entourent. Cet intérêt pour l’objet usuel fait de la rencontre entre l’artiste et la collection du Mucem un terrain de jeu parfait.     Grâce au prêt exceptionnel de 19 œuvres issues de la Collection Pinault, c’est une véritable plongée dans le travail de l’artiste, jalonnée par ses œuvres phares, sculptures (comme Balloon Dog, 1994-2000, ou Lobster, 2007-2012), et peintures (comme Backyard, 2002, ou Dutch Couple, 2007) qui est proposée.     L’originalité de l’exposition tient à la rencontre des œuvres de Koons avec les collections d’art populaire du Mucem. Commissaires : Elena Geuna, commissaire d’exposition indépendante, auteure et conseillère artistiqueÉmilie Girard, conservatrice en chef du patrimoine, directrice scientifique et des collections du Mucem


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vendredi 2 juillet : Le Grand Mezzé

Visite commentée par Edouard de Laubrie, commissaire de l'exposition
Jacopo_Bassano 13_Materiel_rituel Cuisine-portable

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Le Grand Mezzé

J. Bassano d'après Lazare et le mauvais riche XVIIe   Materiel rituel de la fabrication de bière en Georgie   Cuisine portable, 2011, Marseille xxxxxxxx ©Mucem-Marianne Kuhnxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx ©musees du Mans xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx ©David-GiancatarinaCette exposition est une nouvelle présentation de la 1ère section de la  Galerie de la Méditerranée.Nous connaissons tous le slogan nous invitant à « manger cinq fruits et légumes par jour », mais qui sait que cette recommandation s’inspire du « régime crétois », aussi appelé « diète méditerranéenne » ? Ce concept, créé dans les années 1960 par l’épidémiologiste américain Ancel Keys, a été inscrit en 2010 par l’Unesco sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité, favorisant ainsi sa reconnaissance et sa mondialisation.L’alimentation méditerranéenne est le fruit d’une construction qui s’est toujours  enrichie d’apports extérieurs au cours de l’histoire. À l’heure où celle-ci est devenue un modèle globalisé, se pose aujourd’hui la question de la nécessaire réappropriation en Méditerranée de sa production comme de sa cuisine.Comment définir et préserver une authenticité culinaire géographique et culturelle, tout en la partageant avec le plus grand nombre ? Comment protéger un régime alimentaire sans l’empêcher d’évoluer ? Comment rester perméable tout en restant authentique ? Pour le savoir, l’exposition « Le grand mezzé » nous mène du  champ à l’assiette, et des savoir-faire culinaires traditionnels de Méditerranée aux chaînes de restaurants mondialisées.À la manière d’un grand repas aux mets et aux saveurs variés, « Le grand mezzé »  présente une sélection de 550 objets et documents patrimoniaux en provenance de  35 musées d’Europe et de Méditerranée, ainsi que 13 projets audiovisuels et 5  œuvres inédites.


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mercredi 15 septembre : Jeff Koons Mucem. Œuvres de la Collection Pinault

visite commentée par Jean-Fabien Philippy*
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Jeff Koons Mucem. Œuvres de la Collection Pinault

     L’exposition conçue en étroite collaboration avec l’artiste américain, présentera certaines de ses œuvres les plus célèbres, et explorera la relation entre ces œuvres et les objets du quotidien, photographies et documents de l’immense collection du Mucem, référence dans le domaine des arts populaires.      Artiste incontournable de la fin du XXe siècle et de ce début de XXIe siècle, Jeff Koons puise son inspiration dans le quotidien, dans des objets banals, familiers, issus bien souvent de la culture américaine. En réinterprétant le concept de Readymade de Marcel Duchamp, Koons interroge l’idée même d’œuvre d’art. La variété des sujets auxquels il s’intéresse, les références continuellement présentes à l’histoire de l’art ou au monde de la publicité ainsi que le large spectre des techniques auxquelles il a recours ont contribué à faire entrer son travail dans notre imaginaire collectif, en offrant un nouveau regard sur notre relation au quotidien et aux objets qui nous entourent. Cet intérêt pour l’objet usuel fait de la rencontre entre l’artiste et la collection du Mucem un terrain de jeu parfait.     Grâce au prêt exceptionnel de 19 œuvres issues de la Collection Pinault, c’est une véritable plongée dans le travail de l’artiste, jalonnée par ses œuvres phares, sculptures (comme Balloon Dog, 1994-2000, ou Lobster, 2007-2012), et peintures (comme Backyard, 2002, ou Dutch Couple, 2007) qui est proposée.     L’originalité de l’exposition tient à la rencontre des œuvres de Koons avec les collections d’art populaire du Mucem. Commissaires : Elena Geuna, commissaire d’exposition indépendante, auteure et conseillère artistiqueÉmilie Girard, conservatrice en chef du patrimoine, directrice scientifique et des collections du Mucem


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jeudi 16 septembre : Le Grand Mezzé

Visite commentée par Edouard de Laubrie, commissaire de l'exposition
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Le Grand Mezzé

J. Bassano d'après Lazare et le mauvais riche XVIIe   Materiel rituel de la fabrication de bière en Georgie   Cuisine portable, 2011, Marseille xxxxxxxx ©Mucem-Marianne Kuhnxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx ©musees du Mans xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx ©David-GiancatarinaCette exposition est une nouvelle présentation de la 1ère section de la  Galerie de la Méditerranée.Nous connaissons tous le slogan nous invitant à « manger cinq fruits et légumes par jour », mais qui sait que cette recommandation s’inspire du « régime crétois », aussi appelé « diète méditerranéenne » ? Ce concept, créé dans les années 1960 par l’épidémiologiste américain Ancel Keys, a été inscrit en 2010 par l’Unesco sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité, favorisant ainsi sa reconnaissance et sa mondialisation.L’alimentation méditerranéenne est le fruit d’une construction qui s’est toujours  enrichie d’apports extérieurs au cours de l’histoire. À l’heure où celle-ci est devenue un modèle globalisé, se pose aujourd’hui la question de la nécessaire réappropriation en Méditerranée de sa production comme de sa cuisine.Comment définir et préserver une authenticité culinaire géographique et culturelle, tout en la partageant avec le plus grand nombre ? Comment protéger un régime alimentaire sans l’empêcher d’évoluer ? Comment rester perméable tout en restant authentique ? Pour le savoir, l’exposition « Le grand mezzé » nous mène du  champ à l’assiette, et des savoir-faire culinaires traditionnels de Méditerranée aux chaînes de restaurants mondialisées.À la manière d’un grand repas aux mets et aux saveurs variés, « Le grand mezzé »  présente une sélection de 550 objets et documents patrimoniaux en provenance de  35 musées d’Europe et de Méditerranée, ainsi que 13 projets audiovisuels et 5  œuvres inédites.


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jeudi 7 octobre : Jardins des migrations

Visite commentée par Catherine Millet et Agnès Westendorp, Amies du Mucem.
Jardin_des_migrations

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Jardins des migrations

Le Jardin des migrations, qui relie le MUCEM et le fort Saint Jean, a été aménagé de 2011 à 2013 par l’agence APS de Valence (paysagistes, urbanistes et architectes). C’est un jardin méditerranéen de plus de12 000 m2 que les marseillais ont aussitôt adopté. Nous vous invitons à déambuler dans ce jardin unique, ouvert sur le large, hommage aux voyageurs qui ont naguère débarqué à Marseille et ont apporté avec eux des plantes de tout le pourtour de la Méditerranée. Qu’elles soient à usage domestique, aromatique, tinctorial, médicinal, ces plantes ont contribué à tisser des liens historiques entre les peuples. On en parle depuis l’Antiquité, que ce soit dans la mythologie, la Bible ou le Coran. Cette promenade à deux voix nous permettra de visiter les divers espaces de ce jardin, dont les plantes,souvent introduites par l'homme au cours des siècles, évoquent le brassage des cultures autour de la Méditerranée. Nous pourrons comprendre les pratiques de développement durable de ce jardin sec, qui sera peut-être un modèle pour les jardins du futur.


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mercredi 27 octobre : CCR CICRP

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CCR CICRP

Le Centre de Conservation et de Ressource (CCR), constitue le troisième pôle du Mucem avec le Fort St Jean et le J4. Ce sont les « coulisses du Mucem », c’est-à-dire le site où l’on a rassemblé la totalité des collections de documents, d’oeuvres et d’objets qui constituent les fonds du musée.La visite proposée aux Amis du Mucem a pour but d’en savoir plus sur la construction de ce bâtiment, confié à Corinne Vezzoni, récompensée du Prix de la Femme Architecte de l’année 2015 par l’association pour la Recherche sur la Ville et l'Habitat. Avec une visite possible de l’« appartement témoin »  Le CICRP est géré par un groupement d’intérêt public constitué du ministère de la culture, de la ville de Marseille, des conseils régional et départemental. C’est un exemple unique en France de coopération sur ce thème de la restauration du patrimoine.


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lundi 15 novembre : Je signe, donc je suis

Visite commentée par Marie-Charlotte Calafat, conservatrice et commissaire de l'exposition
40-P1100146 46-P1100155 38-P1100143

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Je signe, donc je suis

     Les objets d’art populaire présentés arborent tous la signature de leur auteur, signe d’authenticité et d’unicité d’une œuvre. Signer, c’est signifier un statut social et artistique. Que l’on soit ferronnier, santonnier, pastelliste, ou graffeur.    On verra qu’ici, l’utile est beau et bien réalisé : une terrine, un éventail, un coffre… On constatera la minutie du travail manuel d’un horloger, la patience des brodeuses travaillant durant des centaines d’heures à leur ouvrage, ... La diversité des matériaux employés est elle aussi mise à l’honneur : terre, zinc, or, ou même ... cheveux.     Cette exposition fait sortir de l’anonymat des femmes et hommes du XVIIe siècle à nos jours. Au-delà de leurs créations, elle donne à voir leurs portraits et leurs archives. Elle témoigne de leur apprentissage ainsi que de leur démarche créatrice et innovante.     Pour l’abécédaire « Je signe donc je suis » les riches collections d’art populaire du musée sont convoquées pour valoriser les métiers d’art et les savoir-faire qui embellissent notre quotidien. Loin de la hiérarchie des genres, elle interroge la nature de l’artiste-artisan.


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mercredi 1 décembre : Salammbô. Fureur! Passion! Eléphants

par Myriame Morel-Deledalle co-commissaire de l'exposition
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Salammbô. Fureur! Passion! Eléphants

Victor Prouvé, en collaboration avec Camille Martin et René Wiener, reliure pour Salammbô de Gustave Flaubert, 1893, mosaïque de cuirs incisés, pyrogravés, dorés et émaux cloisonnés. Musée de l’Ecole de Nancy © Nancy, musée de l'Ecole de Nancy, cliché Studio Image       Publié en 1862, le roman de Flaubert retrace l’attraction fatale entre Salammbô, prêtresse de Tanit, et Mathô, chef des mercenaires révoltés contre l’opulente Carthage. Pour la première fois, une exposition s’empare de ce chef-d’œuvre de la littérature moderne : en convoquant littérature, peinture, sculpture, photographie, arts de la scène, cinéma, bande dessinée et archéologie, l’exposition « Salammbô. Fureur ! Passion ! Eléphants ! » nous plonge au cœur d’un tourbillon d’images et de sensations qui révèle la portée considérable de ce texte sur les arts, mais aussi son héritage dans l’histoire de la Méditerranée et son actualité.      Portée par la RMM (Réunion des musées métropolitains Rouen Normandie) et le Mucem, l’exposition présente, à l'occasion du bicentenaire de la naissance de Gustave Flaubert (1821,1880), environ 250 œuvres ainsi que des trésors archéologiques de l’époque punique des musées du Bardo et de Carthage.


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lundi 13 décembre : Je signe, donc je suis

Visite commentée par Marie-Charlotte Calafat, conservatrice et commissaire de l'exposition
40-P1100146 46-P1100155 38-P1100143

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Je signe, donc je suis

     Les objets d’art populaire présentés arborent tous la signature de leur auteur, signe d’authenticité et d’unicité d’une œuvre. Signer, c’est signifier un statut social et artistique. Que l’on soit ferronnier, santonnier, pastelliste, ou graffeur.    On verra qu’ici, l’utile est beau et bien réalisé : une terrine, un éventail, un coffre… On constatera la minutie du travail manuel d’un horloger, la patience des brodeuses travaillant durant des centaines d’heures à leur ouvrage, ... La diversité des matériaux employés est elle aussi mise à l’honneur : terre, zinc, or, ou même ... cheveux.     Cette exposition fait sortir de l’anonymat des femmes et hommes du XVIIe siècle à nos jours. Au-delà de leurs créations, elle donne à voir leurs portraits et leurs archives. Elle témoigne de leur apprentissage ainsi que de leur démarche créatrice et innovante.     Pour l’abécédaire « Je signe donc je suis » les riches collections d’art populaire du musée sont convoquées pour valoriser les métiers d’art et les savoir-faire qui embellissent notre quotidien. Loin de la hiérarchie des genres, elle interroge la nature de l’artiste-artisan.


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jeudi 16 décembre : Une lecture historique de la Méditerranée aux XVIe et XVIIe siècles

Visite commentée par Adeline Joly* et Régis Bernard*, Amis du Mucem
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Une lecture historique de la Méditerranée aux XVIe et XVIIe siècles

* Adeline Joly, historienne, Université de Lyon et Régis Bernard, sociologue, Université de Lyon, Amis du Mucem.L'exposition Connectivités propose, en suivant l’approche de Fernand Braudel, une lecture historique de la Méditerranée à travers les connexions, échanges, métissages, rivalités et guerres entre ses villes phares au XVIe et XVIIe siècles, partagées entre deux blocs et leurs sphères d’influence : l’empire Ottoman (Istanbul, Alger et Venise) et l’empire Habsbourg (Séville, Lisbonne et Gênes).Ce relatif équilibre sera rompu lorsque d’autres routes maritimes s’ouvriront, donnant lieu à de nouveaux équilibres et de nouveaux pouvoirs.