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Nouvelles activités


mercredi 19 juin
"Populaire ?", Les trésors des collections du Mucem
jeudi 20 juin
Visite Mucem : Méditerranées
jeudi 27 juin
Visite Mucem : Méditerranées
lundi 6 mai
Passions partagées De Basquiat à Edith Piaf, la Collection Lambert
jeudi 6 juin
Une journée à Lyon: la Croix-Rousse des Canuts
vendredi 17 mai
Conférence UTL : « Les Canuts : maîtres-tisseurs, maîtres-penseurs »

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samedi 27 avril : Balade littéraire et maritime

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Balade littéraire et maritime

Vous rêvez d’un moment d’évasion, nous vous invitons à une balade littéraire et maritime en compagnie d’auteurs qui ont évoqué Marseille, le Vieux-Port, la Méditerranée, lus par un comédien ou une comédienne. La lecture des textes (extraits de romans, mais aussi des chansons… Jean-Claude Izzo, Jack London, Albert Camus, Marguerite Yourcenar, Simone de Beauvoir…) est ponctuée d’un choix de musiques variées (jazz, musique classique, variétés, folklore). Après la traversée du Vieux-Port, passant entre le Fort Saint Jean, le Fort Saint Nicolas et le Palais du Pharo, nous prendrons la direction du Cap Croisette, à moins que nous voguions vers la Côte Bleue ou le phare de Planier. Vous le saurez à l’embarquement. Cette balade se fait en partenariat avec le COBIAC, Collectif des Bibliothécaires et Intervenants en Action Culturelle.


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mardi 30 avril : Visite de la Villa Santa-Lucia

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Visite de la Villa Santa-Lucia

L’architecture des rocailles a été introduite à Marseille à la suite de l’invention du ciment par des artisans en majorité italiens, souvent immigrés à la fin du 19ème, début 20ème siècle. C’est un art essentiellement populaire même si l’art des rocailles remonte à la grande période de la renaissance italienne d’inspiration plus savante. Inscrite au titre des monuments historiques, la villa Santa-Lucia et son vaste jardin présentent un ensemble d’architectures et de décors en rocailles remarquables du XIXe siècle. Grottes, cascades, serre, belvédère, galerie, crèche, château fort, salles de fraîcheur avec fresques… La visite commentée sera guidée par l’un des membres de la famille Renard, propriétaire de la villa.    


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lundi 6 mai : Passions partagées De Basquiat à Edith Piaf, la Collection Lambert

Commentée par Marie-Charlotte Calafat, co-commissaire de l'exposition
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Passions partagées De Basquiat à Edith Piaf, la Collection Lambert

                                                                              Piège Camargue, 1860 ©Mucem/Marianne_Kuhn     Un dialogue inédit entre les collections d’Yvon Lambert et les collections du Mucem. L'exposition suit le parcours d’Yvon Lambert, à commencer par son lien avec les cultures provençales et méditerranéennes, pour s’attarder ensuite sur quelques thématiques autour desquelles dialoguent les deux collections : le populaire et le quotidien, l’homme et la nature, la poésie et la littérature, l’intime et l’existence.      La rencontre entre la Collection Lambert et les collections du Mucem présentées lors de cette exposition est bien plus qu’une juxtaposition de collections exogènes. Des fils sensibles tissent spontanément leur toile par résonances formelles et poétiques entre les œuvres d’art et celles issues de cultures populaires. Par affinité réciproque de récits et de formes, le dialogue entre ces deux collections patrimoniales exceptionnelles est une tentative de voyage au centre d’un regard singulier, celui d’une personnalité majeure de l’art contemporain, et invite les visiteurs du Mucem au jeu des coïncidences, de la libre interprétation et des associations poétiques empreintes du charme et des passions tenaces qui ont été les ferments de ces deux grands musées.


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mercredi 15 mai : Une journée à Aix-en-Provence

Hôtel de Caumont "Pierre Bonnard et le Japon" - Centre d'Art Gallifet "Deena Hamilton"
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Une journée à Aix-en-Provence

Matin 9h15 : Hôtel de Caumont Pierre Bonnard et le Japon - (visite sous la conduite de Laurent Genest, diplômé de l'Ecole du Louvre). L’Hôtel de Caumont consacre son exposition d’été au génie de Pierre Bonnard (1867-1947) et à l’influence de l’art du Japon sur ce dernier. Il s’agit de la première exposition sur le sujet, qui permettra de montrer comment Bonnard – celui que l’on surnommait autrefois le «Nabi très Japonard» – a intégré dans son traitement de l’espace, du temps et du mouvement, l’esthétique de l’art japonais, pour créer des œuvres en rupture avec le naturalisme et l’impressionnisme. Les œuvres du peintre français seront exposées en regard d’estampes japonaises provenant de la prestigieuse collection Leskowicz afin d’illustrer leurs correspondances et leurs affinités formelles, ainsi que l’importance de cette source d’inspiration pour l’artiste. À la fin du XIXe siècle, au sein du groupe des Nabis, Pierre Bonnard (1867-1947) bouleverse les recherches sur la modernité artistique grâce à la subtilité de sa représentation des sensations visuelles. Bonnard partage sa vie entre la région parisienne, la Normandie, l’Isère et la Côte d’Azur, où il achètera une maison au Cannet, non loin d’Aix-en-Provence. L’agitation des villes, la douceur de vivre à la campagne et les paysages baignés de la lumière dorée du Midi seront pour l’artiste autant de prétextes à une représentation nouvelle du mouvement ainsi qu’à une réflexion poussée sur le traitement de la couleur, des sentiments fugaces du quotidien et de la beauté des éléments. Peintre du bonheur de vivre, ses œuvres vibrantes révèlent un sens inégalé des couleurs et de leurs infinies variations. A partir des années 1860 et pendant près d'un demi-siècle, un engouement pour tout ce qui vient du Japon se manifeste en France puis en Angleterre, notamment à travers la première participation du Japon à l'Exposition universelle de 1867. Bonnard, lui, s'intéresse très tôt aux caractéristiques des estampes  l'Ukiyo-e, "image du monde flottant". L'exposition d'estampes japonaises à l'Ecole des Beaux-arts au printemps 1890 est une véritable révélation pour lui.  Il se détourne dès lors du réel et adopte de nouveaux principes artistiques : comme la souplesse des mouvements, le contraste des couleurs, les lignes arabesques, le goût prononcé du décor et des éléments stylisés, ou encore l'aplanissement de l'espace. Dès lors, son style est véritablement empreint de japonisme, terme forgé en 1872 par Philippe Burty pour définir l'impact du Japon sur les arts occidentaux.  Après-midi 14h : Exposition Deena Hamilton (visite sous la conduite de Nicolas Mazet, Directeur du Centre d'Art Gallifet). Gallifet est un centre d'art contemporain qui se situe dans un hôlel particulier (52, rue Cardinale) éponyme au coeur du quartier Mazarin d'Aix-en-Provence; Depuis 2010 Gallifet est devenu un lieu incontournable d'échanges et de rencontres artistiques. Deena Hamilton née le 21 septembre 1965 à Marlow, au Royaume-Uni, incarne l'essence d'une artiste cosmopolite. Baignée dans les cultures de Paris et de Londres avec un passage à Barcelone durant son enfance, elle a étudié aux Beaux-Arts de Paris sous la tutelle de Vladimir Velickovic et Toni Grand, dont l'influence se reflète dans son oeuvre. Ses médiums de prédilection, tels le bois, la résine, la chaux et l'encre, forment une palette artistique diversifiée. Sa routine de création, ponctuée d'introspection matinale devant la porte de son studio dans le sud de la France, révèle une artiste immergée dans un processus créatif réfléchi, oscillant entre périodes d'abondance et de recherche.            


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vendredi 17 mai : Visite commentée de l’atelier «Vitraux IMBERT»

L'art de la lumière sous tous ses aspects
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Visite commentée de l’atelier «Vitraux IMBERT»

Le vitrail représente un véritable savoir-faire artisanal, capable de sublimer un intérieur grâce à ses jeux de lumières, de couleurs et de motifs qui le composent. Il témoigne aussi d'une époque, de son histoire sociale et esthétique. L'Atelier "VITRAUX IMBERT", situé en plein coeur de Marseille, est une entreprise familiale créée en 1981 par Dominique Imbert. Maître verrier, il s'est fait connaître en Fance et à l'étranger pour ses créations de vitraux dont ceux de la salle du Trésor de la Cathédrale Saint-Front à Périgueux, de la Chapelle Saint-Jean de Dieu à Lehon, de la Basilique du Sacré-Coeur à Marseille et de très nombreux édifices publics et privés. Spécialiste de la création et de la restauration de vitraux, ce passionné a su en trois décennies faire perdurer l'excellence du métier tout en développant de nouvelles techniques. Aujourd'hui dirigée par fils Oleg J.Imbert, l'entreprise dispose d'une équipe experte et d'une reconnaissance lui permettant de participer à des chantiers d'envergure et de renommée internationale dont tout récemment celui des vitraux de Notre-Dame de Paris.


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vendredi 17 mai : Conférence UTL : « Les Canuts : maîtres-tisseurs, maîtres-penseurs »

par Régis Bernard, Ami du Mucem
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Conférence UTL : « Les Canuts : maîtres-tisseurs, maîtres-penseurs »

Des Canuts, ces maîtres-tisseurs de soie lyonnais, on sait qu’ils se révoltèrent à de nombreuses reprises. Qu’ils brandirent, lors de l’insurrection de 1831, un drapeau noir où l’on pouvait lire : Vivre en travaillant ou mourir en combattant. On connaît aussi le chant d’Aristide Bruant, qui les faisait marcher tout nus...Certes ils connurent souvent la misère. Mais ils furent, avant tout, la cheville ouvrière d’un système industriel tout à fait singulier, producteur de grandes richesses (La grande fabrique).Ils furent aussi des maîtres-penseurs, initiateurs en France du mutuellisme – mouvement à l’origine de ce qu’on appellera plus tard l’économie sociale et solidaire – qu’ils forgèrent collectivement dans les pages d’un étonnant journal, L’écho de la fabrique.Ce sont ces tisseurs de soie et de solidarité que nous proposons de découvrir.


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mercredi 22 mai : Visite de la Villa Santa-Lucia

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Visite de la Villa Santa-Lucia

L’architecture des rocailles a été introduite à Marseille à la suite de l’invention du ciment par des artisans en majorité italiens, souvent immigrés à la fin du 19ème, début 20ème siècle. C’est un art essentiellement populaire même si l’art des rocailles remonte à la grande période de la renaissance italienne d’inspiration plus savante. Inscrite au titre des monuments historiques, la villa Santa-Lucia et son vaste jardin présentent un ensemble d’architectures et de décors en rocailles remarquables du XIXe siècle. Grottes, cascades, serre, belvédère, galerie, crèche, château fort, salles de fraîcheur avec fresques… La visite commentée sera guidée par l’un des membres de la famille Renard, propriétaire de la villa.    


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jeudi 23 mai : Lectures gourmandes "Ce que je sais de toi" Eric Chacour

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Lectures gourmandes "Ce que je sais de toi" Eric Chacour

Dans le Caire des années 1980, un jeune médecin suit un destin tracé pour lui. Entre son dispensaire et le prestigieux cabinet hérité de son père, Tarek n'a que peu de place pour se poser des questions. Mais la rencontre d'un être que tout semble éloigner de lui ébranlera son mariage, sa carrière et ses certitudes, ne lui laissant plus d'autre choix que l'exil. De la communauté levantine d'Egypte aux hivers montréalais, du règne de Nasser jusqu'à l'aube des années 2000, Tarek fuit, erre et se souvient. Mais sait-il qu'à plusieurs milliers de kilomètres, quelqu'un raccommode les lambeaux de son histoire et tente de remonter, chapitre par chapitre, le cours de sa vie ? Récit d'une absence et d'une réconciliation. Ce que je sais de toi brosse avec délicatesse, humour et sensibilité le portrait d'un clan déchiré et d'une société en pleine transformation. Ce premier roman d'Eric Chacour révèle un auteur à la langue ciselée, à l'esprit lumineux, habité par une compréhension profonde de la nature humaine. Un livre qui embaume l'ail, l'anis et les secrets de famille. 


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jeudi 23 mai : Conférence : La fabrique de la création visuelle « en exil »

par Adélie Chevée, chercheure postdoctorante, Mucem/Aix-Marseille Université (SoMuM-Mesopolhis)
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Conférence : La fabrique de la création visuelle « en exil »

Voici mon coeur !, Khaled Dawwa, © Photo Mucem / Marianne Kuhn. Œuvre acquise grâce au don de la Fondation Antoine de Galbert, avec le soutien de Mme Fairouz Villain, L. Fontaine, Famille Pieyre de Mandiargues, Barjeel Art Foundation (Sharjah) et Verena Butt d'Espous. Depuis 2015, le monde de l’art fait preuve d’un soutien exceptionnel pour accueillir les artistes fuyant conflits et régimes autoritaires. Fondée sur une enquête-collecte du Mucem menée à travers la France, cette conférence se propose d’étudier les singularités de cette scène artistique à travers des œuvres et trajectoires d’artistes en exil. De l’atelier-refuge à la mobilisation des institutions culturelles, elle interroge l’impact culturel, et à distance, de crises, de guerres et d’effondrements politiques en Syrie, Iran, Afghanistan, Ukraine, et Palestine.


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vendredi 24 mai : Une journée à Tarascon

Tarascon

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Une journée à Tarascon

Château de Tarascon et Musée Charles Deméry Souleiado.    


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mercredi 29 mai - samedi 1 juin : Voyage en Narbonnaise, de l’Homme de Tautavel à Sir Norman Foster

Un bref aperçu de l’histoire d’une région
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Voyage en Narbonnaise, de l’Homme de Tautavel à Sir Norman Foster

Ce voyage de quatre jours dans la région de Narbonne et des Corbières, vous invite à suivre les traces laissées par les « hommes » sur un territoire assez restreint, correspondant à la limite ouest de l’Hérault, une petite partie de l’Aude et un peu des Pyrénées- Orientales, avec comme centre, Narbonne. La fondation de cette ville par les Romains vers 118 avant notre ère était destinée à donner une capitale à la grande province romaine du sud de la France, la « Gaule Narbonnaise ». Ensuite, avec les Wisigoths, elle fut celle d’une région plus restreinte, la Septimanie, ou « province de Narbonne ». Plus tard, elle fut conquise par les Arabo-Musulmans et devint alors la capitale de la région la plus septentrionale d’Al-Andalous ; elle le fut ensuite par les Carolingiens. Le nom de Septimanie disparaît après la Croisade des Albigeois vers 1215.    


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jeudi 6 juin : Une journée à Lyon: la Croix-Rousse des Canuts

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Une journée à Lyon: la Croix-Rousse des Canuts

Chacun le sait, la métropole lyonnaise doit une large part de sa réputation à l industrie de la soie. Celle là fit la fortune de la ville du XVII° au premier XX° siècle, Lyon étant alors devenue la capitale mondiale du tissage de la soie. Elle fut aussi à l origine de son essor industriel, les savoir faire des maîtres tisseurs, des teinturiers, des fabricants de métiers à tisser …, ayant fortement contribué au développement des industries chimiques et mécaniques.


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lundi 10 juin : Aix-en-Provence

Hôtel de Caumont "Pierre Bonnard et le Japon"
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Aix-en-Provence

Après-midi 14h15 : Hôtel de Caumont "Pierre Bonnard et le Japon" (visite sous la conduite de Laurent Genest, diplômé de l'Ecole du Louvre) L'Hôtel de Caumont consacre son exposition d'été au génie de Pierre Bonnard (1867-1947) et à l'influence de l'art du Japon sur ce dernier. Il s'agit de la première exposition sur le sujet, qui permettra de montrer comment Bonnard -celui que l'on surnommait autrefois le "Nabi très Japonard" a intégré dans son traitement de l'espace, du temps et du mouvement, l'esthétique de l'art japonais, pour crééer des oeuvres en rupture avec le naturalisme et l'impressionisme. Les oeuvres du peintre français seront exposées en regard d'estampes japonaises provenant de la prestigieuse collection Leskowicz afin d'illustrer leurs correspondances et leurs affinités formelles, ainsi que l'importance de cette source d'inspiration pour l'artiste. A la fin du XIXe siècle, au sein du groupe des Nabis, Pierre Bonnard bouleverse les recherches sur la modernité artistique grâce à la subtilité de sa représentation des sensations visuelles. Bonnard partage sa vie entre la région parisienne, la Normandie, l'Isère et la Côte d'Azur où il achètera une maison au Cannet, non loin d'Aix-en-Provence. L'agitation des villes, la douceur de vivre à la campagne et les paysages baignés de la lumière dorée du Midi seront pour l'artiste autant de prétextes à une représentation nouvelle du mouvement ainsi qu'à une réflexion poussée sur le traitement de la couleur, des sentiments fugaces du quotidien et de la beauté des éléments. Peintre du bonheur de vivre, ses oeuvres vibrantes révèlent un sens inégalé des couleurs et de leurs infinies variations. A partir des années 1860 et pendant près d'un demi-siècle, un engouement pour tout ce qui vient du Japon se manifeste en France puis en Angleterre, notamment à travers la première participation du Japon à l'Exposition Universelle de 1867. Bonnard, lui, s'intéresse très tôt aux caractéristiques des estampes l'Ukiyo-e "image du monde flottant". L'exposition d'Estampes japonaises à l'Ecole des Beaux-arts au printemps 1890 est une véritable révélation pour lui. Il se détourne du réel et adopte de nouveaux principes artistiques comme la  souplesse des mouvements, le contraste des couleurs, les lignes en arabesques, le goût prononcé du décor et des éléments stylisés, ou encore l'aplanissement de l'espace. Dès lors son style est véritablement empreint de japonisme, terme forgé en 1872 par Philippe Burty pour définir l'impact du Japon sur les arts occidentaux.          


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jeudi 13 juin : Lectures gourmandes "La petite fille" Bernhard Schlink

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Lectures gourmandes "La petite fille" Bernhard Schlink

En rentrant de sa librairie, Kaspar — un autoportrait déguisé de Schlinck, comme souvent ? — découvre dans la baignoire de leur appartement le cadavre de Birgit, l’épouse aimée. S’est-elle suicidée ? A la mort de son épouse, Kaspar découvre un pan de sa vie qu’il avait toujours ignoré : avant de quitter la RDA pour passer à l’Ouest en 1965, Birgit avait abandonné un bébé à la naissance. Intrigué, Kaspar ferme sa librairie à Berlin et part à la recherche de cette belle-fille inconnue (...) Voyage au cœur d’une Allemagne méconnue, où règnent encore de sinistres fantômes à l’ombre des défuntes idéologies marxistes : La Petite-Fille est une passionnante et dérangeante odyssée politique. Bernhard Schlink alerte, raconte sans caricaturer. Car, pour Kaspar le libraire, la littérature, la poésie, les mots, la lecture peuvent ouvrir l’âme et l’esprit, libérer. Sauver peut-être... La Petite-Fille est surtout une éblouissante histoire d’amour, de réparation, de deuil accompli. Et qui élève constamment, au fil de ces pages écrites au plus serré, au plus douloureux. Car il n’y est question que d’aimer l’autre jusqu’au bout de son insupportable, de son indéchiffrable altérité.


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vendredi 14 juin : Visite commentée de l’atelier «Vitraux IMBERT»

L'art de la lumière sous tous ses aspects
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Visite commentée de l’atelier «Vitraux IMBERT»

Le vitrail représente un véritable savoir-faire artisanal, capable de sublimer un intérieur grâce à ses jeux de lumières, de couleurs et de motifs qui le composent. Il témoigne aussi d'une époque, de son histoire sociale et esthétique. L'Atelier "VITRAUX IMBERT", situé en plein coeur de Marseille, est une entreprise familiale créée en 1981 par Dominique Imbert. Maître verrier, il s'est fait connaître en Fance et à l'étranger pour ses créations de vitraux dont ceux de la salle du Trésor de la Cathédrale Saint-Front à Périgueux, de la Chapelle Saint-Jean de Dieu à Lehon, de la Basilique du Sacré-Coeur à Marseille et de très nombreux édifices publics et privés. Spécialiste de la création et de la restauration de vitraux, ce passionné a su en trois décennies faire perdurer l'excellence du métier tout en développant de nouvelles techniques. Aujourd'hui dirigée par fils Oleg J.Imbert, l'entreprise dispose d'une équipe experte et d'une reconnaissance lui permettant de participer à des chantiers d'envergure et de renommée internationale dont tout récemment celui des vitraux de Notre-Dame de Paris.


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mercredi 19 juin : "Populaire ?", Les trésors des collections du Mucem

Commentée par Julia Ferloni
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"Populaire ?", Les trésors des collections du Mucem

Cette exposition permanente souhaite présenter sa collection dans toute sa diversité. Elle réunit en effet les fonds historiques du Musée national des arts et traditions populaires, les collections européennes du Musée de l’Homme et celles acquises depuis le début des années 2000 dans une volonté d’ouverture vers la Méditerranée et le monde contemporain. Le parcours général propose un cheminement au gré de grandes catégories empruntées au vocabulaire de l’histoire des arts et des techniques (" peinture ", " sculpture ", " arts du métal ", " céramique ", etc.). Un parcours qui fait émerger les particularités de la collection du Mucem en rompant avec la hiérarchisation habituelle entre beaux-arts et arts populaires. On passe ainsi d’objets attendus dans un musée (par exemple des tableaux, des ex-voto, des icônes, etc.) à des éléments plus surprenants (comme des portes de ruche décorées), et d’objets familiers du grand public à des éléments plus inattendus voire mystérieux de prime abord.


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jeudi 20 juin : Visite Mucem : Méditerranées

commentée par Enguerand Lascol et Raphael Bories
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Visite Mucem : Méditerranées

                                      Jules Migonney Tamaroud-Kabylie 1910 © Mucem Marianne Khun      Les imaginaires de la Méditerranée sont multiples. Cette exposition s’interroge sur la manière dont se sont formés et diffusés ces imaginaires, et notamment sur le rôle des musées dans la création de ces « images » de la Méditerranée, toutes relatives et toutes construites.      Dans les musées de beaux-arts, ce sont les civilisations du passé, en particulier celles de l’Antiquité, qui sont mises en valeur et qui construisent une Méditerranée rêvée nourrie de l’Odyssée d’Homère, de temples grecs et de récits sur Rome et Palmyre.      Les musées d’ethnographie, qui apparaissent durant la période coloniale, s’intéressent pour leur part aux sociétés géographiquement ou culturellement « lointaines ». La sincérité de l’intérêt scientifique et humain pour l’Autre y côtoie les intérêts et les entreprises des puissances coloniales.      Les musées de beaux-arts et les musées d’ethnographie se distinguent par les objets qu’ils conservent et les disciplines qui les étudient. Le Mucem souhaite aujourd’hui dépasser ces frontières et mettre en évidence les parallèles et les influences mutuelles qui existent entre ces deux types de musée. Suivant cette idée, « Méditerranées » mêle différents modèles muséographiques historiques.      L’exposition présente plus de 300 objets et documents ; les dépôts proviennent d’une vingtaine d’institutions.


visite

jeudi 27 juin : Visite Mucem : Méditerranées

commentée par Enguerand Lascol et Camille Faucourt
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Visite Mucem : Méditerranées

                                      Jules Migonney Tamaroud-Kabylie 1910 © Mucem Marianne Khun      Les imaginaires de la Méditerranée sont multiples. Cette exposition s’interroge sur la manière dont se sont formés et diffusés ces imaginaires, et notamment sur le rôle des musées dans la création de ces « images » de la Méditerranée, toutes relatives et toutes construites.      Dans les musées de beaux-arts, ce sont les civilisations du passé, en particulier celles de l’Antiquité, qui sont mises en valeur et qui construisent une Méditerranée rêvée nourrie de l’Odyssée d’Homère, de temples grecs et de récits sur Rome et Palmyre.      Les musées d’ethnographie, qui apparaissent durant la période coloniale, s’intéressent pour leur part aux sociétés géographiquement ou culturellement « lointaines ». La sincérité de l’intérêt scientifique et humain pour l’Autre y côtoie les intérêts et les entreprises des puissances coloniales.      Les musées de beaux-arts et les musées d’ethnographie se distinguent par les objets qu’ils conservent et les disciplines qui les étudient. Le Mucem souhaite aujourd’hui dépasser ces frontières et mettre en évidence les parallèles et les influences mutuelles qui existent entre ces deux types de musée. Suivant cette idée, « Méditerranées » mêle différents modèles muséographiques historiques.      L’exposition présente plus de 300 objets et documents ; les dépôts proviennent d’une vingtaine d’institutions.


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vendredi 28 juin : Une journée à Aix-en-Provence

Musée du Pavillon de Vendôme et Musée des Tapisseries - Musée Granet Exposition : Jean Daret
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Une journée à Aix-en-Provence

Matin 9h45 : Musée du Pavillon de Vendôme et Musée des Tapisseries Le Pavillon de Vendôme, la plus séduisante des folies héritées du Grand Siècle, fut édifié en 1665 par Pierre Pavillon et Antoine Matisse sur l'ordre de Louis de Mercoeur  Duc de Vendôme, petit-fils d'Henri IV et de Gabrielle d'Estrées, nommé Gouverneur de Provence en 1652. En 1906 Henri Dobler, amateur éclairé, rachète et restaure le Pavillon et en obtient le classement. Le Pavillon de Vendôme est ainsi le premier bâtiment aixois classé Monument Historique en 1914. A sa mort il lègue le bâtiment et ses collections à la Ville d'Aix pour en faire un Musée qui ouvrira ses portes au Public le 8 juillet 1954. L'escalier à double révolution du Pavillon de Vendôme, un des plus beaux de la série aixoise, date du début du XVIIIème et allie l'harmonie du volume général à la grandeur du décor. La rampe en fer forgé, et les sculptures en gypseries, guirlandes, putti, aigle confèrent encore à l'ensemble une majesté baroque. Le vaste jardin à la française est classé parmi les Monuments historiques depuis 1953. Il accueille régulièrement des expositions d'art contemporain développant ainsi un dialogue entre patrimoine et création contemporaine. Est mise à l'honneur cette année la plasticienne japonaise Chihura Shiota. Le travail de Chihura Shiota se caractérise par un mélange de performances artistiques et d'installations spectaculaires pour lesquelles elle utilise en les accumulant de vieux objets comme des lits, des châssis de fenêtre, des chausssures ou encore des valises. Elle explore ainsi les relations entre passé et présent. A cela s'ajoute parfois une dimension onirique de son oeuvre. La simplicité des matériaux rend d'autant plus fort l'impact des oeuvres. Ses principales influences sont Christian Boltanski, Annette Messager et William Kentridge. Après-Midi 14h30 : Musée Granet Exposition Jean Daret Jean Daret a travaillé pour les mécènes les plus importants de son époque dont le Roi Louis XIV et le Gouverneur de Provence. Si nombre de ses oeuvres sont visibles dans les musées français et étrangers (Etats-Unis, Russie) comme dans de nombreuses églises et cathédrales de Provence et d'hôtels particuliers d'Aix-en-Provence (Hôtels de Châteaurenard et Maurel de Pontavès), Jean Daret demeure peu connu du grand public et son oeuvre d'envergure mérite d'être mise à l'honneur. L'exposition sera ainsi l'occasion de montrer un ensemble exceptionnel d'une centaine d'oeuvres comprenant les productions les plus importantes de l'artiste, huiles sur toile, dessins et gravures, accompagnées d'oeuvre des grands maîtres du siècle tant parisiens (Jacques Blanchard) que provencaux (Nicolas Mignard, Reynaud Levieux ou encore Gilles Garcin).          


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mercredi 3 juillet : Une journée à Aix-en-Provence

Visite du Musée du Vieil Aix - Musée Granet Exposition Jean Daret
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Une journée à Aix-en-Provence

Matin 10h : Musée du Vieil Aix - Exposition "Grand siècle" L'Hôtel Estienne de Saint-Jean, hôtel particulier du XVIIIe siècle, est devenu en 1932 le musée d'histoire de la Ville. Les collections constituées à partir de dons effectués par fondatrice du musée, Marie d'Estienne de Saint-Jean, évoquent, dans le cadre d'une belle demeure aristocratique aixoise, l'histoire et les traditions d'Aix. Mobilier, faïences, santons, objets de compagnonnage sont à découvrir, mais aussi les personnages (marionnettes) attachants et hauts en couleur de la crèche parlante, derniers témoins d'un spectacle populaire remontant au XIXe siècle. Hôtel de Châteaurenard Cet hôtel particulier à la façade plate et un peu triste cache un petit trésor : dans la cage d'escalier, l'oeil est frappé par la virtuosité d'illusionniste de Jean Daret. Cette manière baroque d'habiller les murs est impressionnante. Il fut construit vers 1650 par Jean-François d'Aimar-Albi, baron de Châteaurenard, conseiller au Parlement.  Après-midi 14h 30 : Musée Granet - Exposition «Jean Daret, peintre du Roi en Provence» Jean Daret a travaillé pour les mécènes les plus importants de son époque dont le Roi Louis XIV et le Gouverneur de Provence. Si nombre de ses oeuvres sont visibles dans les musées français et étrangers (Etats-Unis, Russie) comme dans de nombreuses églises et cathédrales de Provence et d'hôtels particuliers d'Aix-en-Provence (Hôtels de Châteaurenard et Maurel de Pontavès), Jean Daret demeure peu connu du grand public et son oeuvre d'envergure mérite d'être mise à l'honneur. L'exposition sera ainsi l'occasion de montrer un ensemble exceptionnel d'une centaine d'oeuvres comprenant les productions les plus importantes de l'artiste, huiles sur toile, dessins et gravures, accompagnées d'oeuvre des grands maîtres du siècle tant parisiens (Jacques Blanchard) que provençaux (Nicolas Mignard, Reynaud Levieux ou encore Gilles Garcin).              


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lundi 23 septembre - lundi 30 septembre : Voyage en Grèce : Du monde Egéen à la Cité grecque

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Voyage en Grèce : Du monde Egéen à la Cité grecque

La Société Des Amis du Mucem organise et propose à ses membres une série de voyages culturels permettant de partir à la découverte des grandes civilisations de la Méditerranée de l’Antiquité, et plus particulièrement la Grèce depuis 2021. Cette année le thème est « Du monde égéen à la cité grecque : Art, mythologie, religion et naissance de la démocratie ». Nos pérégrinations nous mèneront à Mykonos, Délos, Naxos, Athènes où nous parlerons d’archéologie, d’histoire, de mythologie, de religion, des techniques et pratiques quotidiennes nous permettant  d’associer le plaisir du voyage à celui de la connaissance tout en privilégiant la curiosité intellectuelle, les rencontres et l’authenticité.


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jeudi 3 octobre - jeudi 10 octobre : Voyage en Grèce : Du monde Egéen à la Cité grecque

Mykonos_Delos

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Voyage en Grèce : Du monde Egéen à la Cité grecque

La Société Des Amis du Mucem organise et propose à ses membres une série de voyages culturels permettant de partir à la découverte des grandes civilisations de la Méditerranée de l’Antiquité, et plus particulièrement la Grèce depuis 2021. Cette année le thème est « Du monde égéen à la cité grecque : Art, mythologie, religion et naissance de la démocratie ». Nos pérégrinations nous mèneront à Mykonos, Délos, Naxos, Athènes où nous parlerons d’archéologie, d’histoire, de mythologie, de religion, des techniques et pratiques quotidiennes nous permettant  d’associer le plaisir du voyage à celui de la connaissance tout en privilégiant la curiosité intellectuelle, les rencontres et l’authenticité.