lundi 2 décembre "Populaire ?", Les trésors des collections du Mucem mercredi 4 décembre Voyage à Paris jeudi 28 novembre Paradis Naturistes vendredi 13 décembre Visite commentée de l’atelier «Vitraux IMBERT» mardi 3 décembre Découverte et exploration des sens autour des accords thés et chocolats mercredi 5 février Théâtre : TAIRE
vendredi 11 janvier : Visite des coulisses du Mucem : Art contemporain
Visite commentée par le commissaire Jean-Roch Bouiller
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Visite des coulisses du Mucem : Art contemporain
Cette visite s'inscrit dans le cadre de l'exposition présentée au CCR : "5 ans déjà ! Acquisitions du Mucem depuis 2013". Les collections du Mucem, héritières directes de celles du musée d'Ethnographie du Palais de Trocadéro à Paris (1878-1936) et des deux musées qui lui ont succédé à partir de 1936, le musée de l'Homme et le Musée national des Arts et traditions populaires (MNATP) continuent à être enrichies par une politique d'acquisition ouverte aux thématiques méditerranéennes, du néolithique à l'art contemporain.
Jean-Roch Bouiller, conservateur en chef responsable du pôle "Art Contemporain", nous présentera ces cinq années d'acquisitions en matière d'art contemporain, de l'oeuvre d'art la plus raffinée à l'objet du quotidien le plus anodin : dons, achats auprès de particuliers ou de professionnels du marché de l'art, achats en vente publique, enquêtes de terrain ... il évoquera les principes qui guident l'enrichissement des fonds du Mucem.
Jean-Roch Bouiller vous accueillera et vous fera découvrir l'envers du décor, les coulisses du Musée. il vous expliquera comment chaque objet dit quelque chose de la société qui le produit . Ces objets sont les témoins d'une époque, d'une pratique sociale. Objet d'art populaire, oeuvre d'art, chacun d'entre eux témoigne de son contexte de production.
samedi 19 janvier : Georges Henri Rivière, Voir c'est comprendre
Visite commentée par Marie-Charlotte Calafat, co-commissaire de l'exposition
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Georges Henri Rivière, Voir c'est comprendre
L'exposition nous fait découvrir l'ampleur de sa vision d'un monde en pleine transformation, comment Georges Henri Rivière (1897-1985) va engager une véritable révolution des musées, qui précède et inspire leur situation actuelle. Le Mucem, avec ses collections issues du musée du Trocadéro, du musée de l'Homme et du Musée des Arts et Traditions Populaires, avec les questions contemporaines auxquelles il se confronte, incarne une part essentielle de cette évolution grâce aux objets et aux idées ici transmises.On y voit G-H Rivière musicien curieux de tout ce qu'apportent les années folles, de l'art moderne au Jazz et à la mode, de la photographie et du cinéma au music-hall. Journaliste polémiste il s'impose au musée du Trocadéro, après avoir réalisé en 1928 la première exposition sur « Les arts anciens de l'Amérique ». Organisateur d'événements chocs, prenant en exemple les musées étrangers, il conçoit le Musée de l'Homme, autour de ses collections ethnographiques, comme un instrument de partage social et scientifique.G-H Rivière comprend qu'au-delà de l'ethnologie des cultures exotiques il faut s'intéresser au bouleversement annoncé des cultures rurales et ouvrières des pays de France, créant cette même année 1937 un « Musée des Arts et Traditions Populaires ».Tout en restant proche des artistes, Picasso, Léger, et de leurs mécènes, G-H Rivière explore et analyse les savoir-faire artisanaux et toutes les facettes de l'invention populaire, de l'imagerie jusqu'aux arts du cirque. Il révèle les forces, les beautés, l'humour et les potentialités d'un monde que l'on croyait révolu.
lundi 21 janvier : Les Animaux de A à Z, petit abécédaire des animaux
Visite commentée par le commissaire Frédéric Mougenot
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Les Animaux de A à Z, petit abécédaire des animaux
De A comme "Arche de Noé" à Z comme "Zoo", un abécédaire animalier composé à partir des collections du Mucem.Depuis la préhistoire et le temps du mythe, l’homme pense et classe les animaux sauvages ou domestiques selon ses intérêts et ses envies : utiles ou nuisibles, inquiétants ou fascinants, bêtes de somme ou de spectacle, ils peuplent notre quotidien, notre imaginaire et nos croyances.Cette exposition explore le rapport homme/animal dans les sociétés d’Europe et de Méditerranée. À travers une sélection d’objets utilisés pour exploiter, piéger ou protéger les animaux, elle nous invite, entre représentations réalistes et fantasmées, à renouveler notre regard sur ce que nous faisons faire ou dire à nos congénères à poils, à plumes et à écailles.
vendredi 25 janvier : Les Animaux de A à Z, petit abécédaire des animaux
Visite commentée par le commissaire Frédéric Mougenot
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Les Animaux de A à Z, petit abécédaire des animaux
De A comme "Arche de Noé" à Z comme "Zoo", un abécédaire animalier composé à partir des collections du Mucem.Depuis la préhistoire et le temps du mythe, l’homme pense et classe les animaux sauvages ou domestiques selon ses intérêts et ses envies : utiles ou nuisibles, inquiétants ou fascinants, bêtes de somme ou de spectacle, ils peuplent notre quotidien, notre imaginaire et nos croyances.Cette exposition explore le rapport homme/animal dans les sociétés d’Europe et de Méditerranée. À travers une sélection d’objets utilisés pour exploiter, piéger ou protéger les animaux, elle nous invite, entre représentations réalistes et fantasmées, à renouveler notre regard sur ce que nous faisons faire ou dire à nos congénères à poils, à plumes et à écailles.
vendredi 8 février : Visite des coulisses du Mucem
Conserver, étudier, valoriser les collections
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Visite des coulisses du Mucem
Bienvenue dans les coulisses du Mucem, le Centre de Conservation et de Ressources (CCR) bâti par l'agence d’architecture Corinne Vezzoni et associés. Écrin plutôt que coffre-fort, contrairement à de classiques réserves de musée, le CCR se décline en quatre espaces ouverts au public : une salle de consultation des objets, une salle de lecture, une salle d'exposition, des réserves.
Le Mucem dispose d'une réserve spécialement imaginée et conçue pour la visite. Cet « appartement témoin » de 800 m2 a pour but de proposer un échantillonnage des collections conservées par le Mucem, en proposant dans ce lieu des objets de différents matériaux, de différentes époques, origines géographiques, types, dimensions, etc. Il présente également un échantillonnage des dispositifs de rangement et des modes de conservation des collections en réserve.
vendredi 8 février : KACIMI, 1993-2003, une transition africaine
Visite commentée par Nadine DESCENDRE, commissaire de l'exposition
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KACIMI, 1993-2003, une transition africaine
Mohammed Kacimi (1942-2003) est l'un des plus importants plasticiens marocains d'après-guerre. Artiste novateur et engagé, instigateur et témoin principal de la mondialisation de l'art contemporain arabe, il a largement influencé l'évolution de la scène artistique de son pays, et servi de modèle à nombre de jeunes artistes maghrébins aujourd'hui internationalement reconnus.L'exposition se consacre à la « période africaine » de Mohammed Kacimi (1993-2003), soit l'apogée de son œuvre, qui le voit rompre avec l'art occidental et les différents courants esthétiques l'ayant influencé durant son parcours, pour ouvrir une nouvelle voie, beaucoup plus personnelle, caractérisée par une expression sans contrainte, libre, et de plus en plus transdisciplinaire.À travers une sélection d'œuvres exemplaires et de documents d'archives significatifs, cette exposition révèle le rôle déterminant joué par ce plasticien, véritable passeur ayant permis aux nouvelles générations d'artistes issus du monde arabe de sauter le pas vers une contemporanéité nouvelle, nourrie par ses propres ancrages culturels : « une transition africaine ».
samedi 9 février : KACIMI, 1993-2003, une transition africaine
Visite commentée par Nadine DESCENDRE, commissaire de l'exposition
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KACIMI, 1993-2003, une transition africaine
Mohammed Kacimi (1942-2003) est l'un des plus importants plasticiens marocains d'après-guerre. Artiste novateur et engagé, instigateur et témoin principal de la mondialisation de l'art contemporain arabe, il a largement influencé l'évolution de la scène artistique de son pays, et servi de modèle à nombre de jeunes artistes maghrébins aujourd'hui internationalement reconnus.L'exposition se consacre à la « période africaine » de Mohammed Kacimi (1993-2003), soit l'apogée de son œuvre, qui le voit rompre avec l'art occidental et les différents courants esthétiques l'ayant influencé durant son parcours, pour ouvrir une nouvelle voie, beaucoup plus personnelle, caractérisée par une expression sans contrainte, libre, et de plus en plus transdisciplinaire.À travers une sélection d'œuvres exemplaires et de documents d'archives significatifs, cette exposition révèle le rôle déterminant joué par ce plasticien, véritable passeur ayant permis aux nouvelles générations d'artistes issus du monde arabe de sauter le pas vers une contemporanéité nouvelle, nourrie par ses propres ancrages culturels : « une transition africaine ».
samedi 9 février : KACIMI, 1993-2003, une transition africaine
Visite-débat commentée par Nadine DESCENDRE, commissaire de l'exposition
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KACIMI, 1993-2003, une transition africaine
Mohammed Kacimi (1942-2003) est l'un des plus importants plasticiens marocains d'après-guerre. Artiste novateur et engagé, instigateur et témoin principal de la mondialisation de l'art contemporain arabe, il a largement influencé l'évolution de la scène artistique de son pays, et servi de modèle à nombre de jeunes artistes maghrébins aujourd'hui internationalement reconnus.L'exposition se consacre à la « période africaine » de Mohammed Kacimi (1993-2003), soit l'apogée de son œuvre, qui le voit rompre avec l'art occidental et les différents courants esthétiques l'ayant influencé durant son parcours, pour ouvrir une nouvelle voie, beaucoup plus personnelle, caractérisée par une expression sans contrainte, libre, et de plus en plus transdisciplinaire.À travers une sélection d'œuvres exemplaires et de documents d'archives significatifs, cette exposition révèle le rôle déterminant joué par ce plasticien, véritable passeur ayant permis aux nouvelles générations d'artistes issus du monde arabe de sauter le pas vers une contemporanéité nouvelle, nourrie par ses propres ancrages culturels : « une transition africaine ».
jeudi 7 mars : Une lecture historique de la Méditerranée aux XVIe et XVIIe siècles
Exposition "Connectivités"
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Une lecture historique de la Méditerranée aux XVIe et XVIIe siècles
Cette exposition sera commentée par Adeline Joly et Régis Bernard, Amis du Mucem.
Connectivités propose, en suivant l’approche de Fernand Braudel, une lecture historique de la Méditerranée à travers les connexions, échanges, métissages, rivalités et guerres entre ses villes phares au XVIe et XVIIe siècles, partagées entre deux blocs et leurs sphères d’influence : l’empire Ottoman (Istanbul, Alger et Venise) et l’empire Habsbourg (Séville, Lisbonne et Gênes). Ce relatif équilibre sera rompu lorsque d’autres routes maritimes s’ouvriront, donnant lieu à de nouveaux équilibres et de nouveaux pouvoirs.Dans la dernière partie de l’exposition, artistes et spécialistes contemporains interrogent l’urbanisme : Istanbul, Le Caire, Marseille, Casablanca, mégapoles ou métropoles ?
vendredi 15 mars : Galerie de la Méditerranée Salle "Connectivités"
Visite commentée par Myriame Morel, commissaire de l'exposition
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Galerie de la Méditerranée Salle "Connectivités"
Philippe II, roi d'Espagne_(c) RMN-Grand Palais_(Château de Versailles)_C_Jean_et_H_Lewandowski Soliman_le_magnifique_(c)Parc_et_Chateau_de_Beauregard
La Galerie de la Méditerranée fait peau neuve, sa deuxième section accueille une nouvelle exposition semi-permanente. « Connectivités » raconte une histoire des grandes cités portuaires de la Méditerranée des XVIe et XVIIe siècles : Istanbul, Alger, Venise, Gênes, Séville et Lisbonne sont alors les points stratégiques de pouvoir et d"échanges dans une Méditerranée qui voit naître la modernité entre grands empires et globalisation. Prenant pour socle de réflexion La Méditerranée et le monde méditerranéen à l'époque de Philippe II, l'exposition propose de suivre les pas de l'historien Fernand Braudel et d'aborder cette Méditerranée des XVIe et XVIIe siècles non pas comme un objet d'étude aux bornes chronologiques strictes, mais comme un personnage dont il s'agirait de raconter l'histoire en l'inscrivant dans la longue durée, allant jusqu'à l'interroger dans la période contemporaine. Invitant les visiteurs à un saut dans le temps, cette histoire urbaine est également abordée aujourd'hui, à travers l'évolution de territoires portuaires contemporains : les mégapoles d'Istanbul et du Caire et les métropoles de Marseille et de Casablanca. Il s'agit en effet d'aborder la ville en développement comme le lieu vers lequel convergent et s'intensifient les flux, les connexions, les échanges, et donc, le pouvoir.
jeudi 4 avril : Jardin des migrations
Visite commentée par Anne-Marie GRAND et Adeline JOLY, Amies du MUCEM.
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Jardin des migrations
Le Jardin des migrations, qui relie le MUCEM et le fort Saint Jean, a été aménagé de 2011 à 2013 par l’agence APS de Valence (paysagistes, urbanistes et architectes). C’est un jardin méditerranéen de plus de 12 000 m2 que les marseillais ont aussitôt adopté.
Nous vous invitons à déambuler dans ce jardin unique, ouvert sur le large, hommage aux voyageurs qui ont naguère débarqué à Marseille et ont apporté avec eux des plantes de tout le pourtour de la Méditerranée. Qu’elles soient à usage domestique, aromatique, tinctorial, médicinal, ces plantes ont contribué à tisser des liens historiques entre les peuples. On en parle depuis l’Antiquité, que ce soit dans la mythologie, la Bible ou le Coran.
Au cours de cette promenade à deux voix, nous observerons ensemble les origines, les usages et les mythes et symboles associés à quelques unes de ces 250 plantes méditerranéennes.
jeudi 25 avril : Jean Dubuffet, un barbare en Europe
Visite commentée par Baptiste Brun, commissaire de l'exposition
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Jean Dubuffet, un barbare en Europe
Peintre, écrivain, inventeur de « l’Art Brut », Jean Dubuffet (1901-1985) fut un acteur majeur de la scène artistique du XXe siècle. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, cet artiste insaisissable et polémique met en jeu une critique radicale de l’art et de la culture de son temps, en faisant de l’invention sans cesse renouvelée le pilier de la création et de la pensée. Empruntant à l’anthropologie, au folklore ou au domaine de la psychiatrie, il poursuit l’activité de décloisonnement opérée par les avant-gardes de l’entre-deux-guerres, dynamite la croyance en un art supposé primitif et ouvre de nouvelles voies de création. Cette exposition donne à voir comment Jean Dubuffet entremêle dans son œuvre ses activités de peinture et d’écriture avec les recherches qu’il a consacrées à ce qu’il nomme l’Art Brut. Elle présente sa production artistique dans toute sa diversité, en s’attachant notamment à montrer les objets et documents issus des prospections qu’il a mises en œuvre en visitant musées d’ethnographie ou d’art populaire, mais aussi diverses collections dédiées à « l’art des fous ».L’exposition présente 290 œuvres et objets issus des plus grandes collections françaises et européennes. *Baptiste Brun : enseignant-chercheur en histoire de l'art contemporain à l'Université Rennes 2 et à l'Ecole du Louvre. Ses travaux portent sur les interactions entre création artistique, histoire de l'art et anthropologie dans la seconde moitié du XXe siècle, sur des œuvres et travaux apparentés à l'Art Brut et sur l'épistémologie de l'histoire de l'art pensée en regard du primitivisme.
vendredi 26 avril : Jean Dubuffet, un barbare en Europe
Visite commentée par Baptiste Brun, commissaire de l'exposition
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Jean Dubuffet, un barbare en Europe
Peintre, écrivain, inventeur de « l’Art Brut », Jean Dubuffet (1901-1985) fut un acteur majeur de la scène artistique du XXe siècle. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, cet artiste insaisissable et polémique met en jeu une critique radicale de l’art et de la culture de son temps, en faisant de l’invention sans cesse renouvelée le pilier de la création et de la pensée. Empruntant à l’anthropologie, au folklore ou au domaine de la psychiatrie, il poursuit l’activité de décloisonnement opérée par les avant-gardes de l’entre-deux-guerres, dynamite la croyance en un art supposé primitif et ouvre de nouvelles voies de création. Cette exposition donne à voir comment Jean Dubuffet entremêle dans son œuvre ses activités de peinture et d’écriture avec les recherches qu’il a consacrées à ce qu’il nomme l’Art Brut. Elle présente sa production artistique dans toute sa diversité, en s’attachant notamment à montrer les objets et documents issus des prospections qu’il a mises en œuvre en visitant musées d’ethnographie ou d’art populaire, mais aussi diverses collections dédiées à « l’art des fous ».L’exposition présente 290 œuvres et objets issus des plus grandes collections françaises et européennes. *Baptiste Brun : enseignant-chercheur en histoire de l'art contemporain à l'Université Rennes 2 et à l'Ecole du Louvre. Ses travaux portent sur les interactions entre création artistique, histoire de l'art et anthropologie dans la seconde moitié du XXe siècle, sur des œuvres et travaux apparentés à l'Art Brut et sur l'épistémologie de l'histoire de l'art pensée en regard du primitivisme.
vendredi 3 mai : Jardin des migrations
Visite commentée par Anne-Marie GRAND et Adeline JOLY, Amies du MUCEM.
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Jardin des migrations
Le Jardin des migrations, qui relie le MUCEM et le fort Saint Jean, a été aménagé de 2011 à 2013 par l’agence APS de Valence (paysagistes, urbanistes et architectes). C’est un jardin méditerranéen de plus de 12 000 m2 que les marseillais ont aussitôt adopté.
Nous vous invitons à déambuler dans ce jardin unique, ouvert sur le large, hommage aux voyageurs qui ont naguère débarqué à Marseille et ont apporté avec eux des plantes de tout le pourtour de la Méditerranée. Qu’elles soient à usage domestique, aromatique, tinctorial, médicinal, ces plantes ont contribué à tisser des liens historiques entre les peuples. On en parle depuis l’Antiquité, que ce soit dans la mythologie, la Bible ou le Coran.
Au cours de cette promenade à deux voix, nous observerons ensemble les origines, les usages et les mythes et symboles associés à quelques unes de ces 250 plantes méditerranéennes.
lundi 13 mai : Connectivités : métropoles et mégapoles
Visite commentée par Francis Ampe, Ami du Mucem
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Connectivités : métropoles et mégapoles
Mieux comprendre le Marseille d’aujourd’hui grâce à la partie contemporaine de l’exposition Connectivités.
Pour cela, il faut aiguiser notre regard.
Plus qu’une visite guidée c’est à une visite accompagnée que les Amis du Mucem vous invitent.
Francis Ampe, ingénieur et urbaniste, propose de nous accompagner dans cette visite en nous aidant à mieux comprendre Marseille grâce au regard porté sur ces grandes métropoles méditerranéennes que sont Alger, Casablanca, Le Caire et Istambul.
L’urbanisme, c’est « l’art de concevoir la ville ».
jeudi 30 mai : Jean Dubuffet, un barbare en Europe
Visite commentée par Baptiste Brun, commissaire de l'exposition
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Jean Dubuffet, un barbare en Europe
Peintre, écrivain, inventeur de « l’Art Brut », Jean Dubuffet (1901-1985) fut un acteur majeur de la scène artistique du XXe siècle. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, cet artiste insaisissable et polémique met en jeu une critique radicale de l’art et de la culture de son temps, en faisant de l’invention sans cesse renouvelée le pilier de la création et de la pensée. Empruntant à l’anthropologie, au folklore ou au domaine de la psychiatrie, il poursuit l’activité de décloisonnement opérée par les avant-gardes de l’entre-deux-guerres, dynamite la croyance en un art supposé primitif et ouvre de nouvelles voies de création. Cette exposition donne à voir comment Jean Dubuffet entremêle dans son œuvre ses activités de peinture et d’écriture avec les recherches qu’il a consacrées à ce qu’il nomme l’Art Brut. Elle présente sa production artistique dans toute sa diversité, en s’attachant notamment à montrer les objets et documents issus des prospections qu’il a mises en œuvre en visitant musées d’ethnographie ou d’art populaire, mais aussi diverses collections dédiées à « l’art des fous ». L’exposition présente 290 œuvres et objets issus des plus grandes collections françaises et européennes.
*Baptiste Brun : enseignant-chercheur en histoire de l'art contemporain à l'Université Rennes 2 et à l'Ecole du Louvre. Ses travaux portent sur les interactions entre création artistique, histoire de l'art et anthropologie dans la seconde moitié du XXe siècle, sur des œuvres et travaux apparentés à l'Art Brut et sur l'épistémologie de l'histoire de l'art pensée en regard du primitivisme.
Les inscriptions se font directement sur internet, sur le site de la Société des Amis du Mucem dans l'espace adhérent. Les personnes sans internet peuvent s'inscrire directement par téléphone auprès du référent de la sortie. Rendez-vous à 10h15 au Mucem, entrée principale J4, au sous-solN'oubliez pas vos écouteurs pour l'audiophone qui vous sera fourni.En cas d'annulation même tardive, merci de prévenir le référent pour vous désinscrire, un autre Ami pourra profiter de la place ainsi libérée.
vendredi 7 juin : Reliquaires de A à Z
Visite commentée par Emilie Girard, commissaire de l'exposition
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Reliquaires de A à Z
Venez visiter cet abécédaire mystique composé à partir des collections du Mucem ! Les grands thèmes relatifs aux pratiques et à la croyance chrétienne s'y déclinent en 26 lettres. En 2002, le Mucem a fait l’acquisition auprès d’un particulier d’une collection unique de près de 500 reliquaires. Ce très riche ensemble témoigne de la variété des formes, des techniques et des usages du reliquaire dans le monde chrétien européen sur une période allant essentiellement du XVIIe siècle au premier tiers du XXe siècle.Le terme « relique », issu du latin reliquiae, désigne les restes humains de saints personnages ou bien des objets leur ayant appartenu ou ayant été en contact avec leur corps. Dans la religion chrétienne, si les reliques furent d’abord placées dans l’autel des églises, le développement de leur culte s’accompagne de la production d’une grande variété de contenants utilisés pour les conserver et les magnifier : châsses, ostensoirs, tableaux, coffres, statues, custodes, chapelets, médaillons… Au XVIIe siècle, les reliquaires entrent également dans les espaces domestiques pour protéger le foyer. On les retrouve alors au seuil des maisons, sur les cheminées ou même suspendus au-dessus des lits.
lundi 17 juin : Ruralités, Galerie de la Méditerranée
Visite commentée par Elisabeth Facchin, Amie du Mucem, Quai 201
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Ruralités, Galerie de la Méditerranée
A travers une sélection d’œuvres et d’objets (en partie issus des collections du Mucem), l’exposition « Ruralités » explore les fondements de l’agriculture et de l’élevage en Méditerranée. Du Néolithique à nos jours, de l’invention de l’agriculture à la naissance des dieux, l’exposition propose une odyssée de 10 000 ans à la découverte des hommes, des cultures et des techniques qui ont contribué à façonner le monde d’aujourd’hui.La présentation s’attache plus particulièrement à la « triade méditerranéenne » (céréales, vigne et olivier), à l’élevage et à la domestication de l’eau douce… Autant de problématiques qui, à l’heure de la démographie urbaine galopante, des bouleversements climatiques et de la réduction des ressources en eau, entrent en résonnance avec les enjeux contemporains.
vendredi 4 octobre : Le Temps de l'Ile
Visite commentée par les commissaires de l'exposition
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Le Temps de l'Ile
L'histoire de la Méditerranée est marquée par ces iles tour à tour plaques tournantes et repoussoirs, paradis et espaces de rétention. Mais il existe, dans d’autres mers, des archipels porteurs d’enjeux cruciaux : autant que Chypre et Lampedusa, les Spratleys, les Comores, la Nouvelle-Calédonie, les Caïmans contribuent à façonner le monde contemporain.L’exposition explore les effets des îles sur les imaginaires, les savoirs, la réalité géopolitique, les utopies d’hier et de demain.
Cette exposition est riche en cartes géographiques, relevés d’explorateurs, animaux naturalisés, mais aussi mosaïque romaine, peintures, sculptures, photographies, vidéos, installations ...Venez la découvrir commentée par Guillaume Monsaingeon et Jean-Marc Besse, commissaires de l'exposition.
Les inscriptions se font directement sur internet, sur le site de la Société des Amis du Mucem dans l'espace adhérent. Les personnes sans internet peuvent s'inscrire directement par téléphone auprès du référent de la sortie.
En cas d'annulation, même tardive, merci de prévenir le référent pour vous désinscrire, un autre Ami pourra profiter de la place ainsi libérée.
Rendez-vous au Mucem, entrée principale J4, à l'accueilN'oubliez pas vos écouteurs pour l'audiophone qui vous sera fourni.NB : Les écouteurs pour téléphones portables sont compatibles avec nos récepteurs.
samedi 19 octobre : Une lecture historique de la Méditerranée aux XVIe et XVIIe siècles
Exposition "Connectivités"
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Une lecture historique de la Méditerranée aux XVIe et XVIIe siècles
Cette exposition sera commentée par Adeline Joly et Régis Bernard, Amis du Mucem.
Connectivités propose, en suivant l’approche de Fernand Braudel, une lecture historique de la Méditerranée à travers les connexions, échanges, métissages, rivalités et guerres entre ses villes phares au XVIe et XVIIe siècles, partagées entre deux blocs et leurs sphères d’influence : l’empire Ottoman (Istanbul, Alger et Venise) et l’empire Habsbourg (Séville, Lisbonne et Gênes). Ce relatif équilibre sera rompu lorsque d’autres routes maritimes s’ouvriront, donnant lieu à de nouveaux équilibres et de nouveaux pouvoirs.Dans la dernière partie de l’exposition, artistes et spécialistes contemporains interrogent l’urbanisme : Istanbul, Le Caire, Marseille, Casablanca, mégapoles ou métropoles ?
jeudi 28 novembre : Le Hasard de A à Z
Visite commentée par la commissaire Caroline Chenu
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Le Hasard de A à Z
Boules à tirer dans un sac, début du XXe siècle, Dé de voyance en pierre dure, début du XXe siècle, Tournant mascotte dit quadrille, vers 1870.
A comme « aléa », B comme « boule de cristal », C comme « chance », D comme « destin »… Les multiples manifestations du hasard se déploient en 26 lettres à travers l’exposition « Le Hasard de A à Z » : un abécédaire aussi imprévisible qu’inattendu, composé à partir des collections du Mucem.
Comment les civilisations d’Europe et de Méditerranée ont-elles, jusqu’à nos jours, appréhendé la notion de hasard ? Quels objets ont-elles imaginé pour s’assurer des bonnes grâces du destin ? Amulettes, dés, main de Fatma, fer à cheval, horoscope… Le Mucem a puisé dans ses réserves les plus étonnants témoignages de la façon dont les hommes ont tenté de prévoir et déjouer les jeux de la Fortune et du Hasard.
Entre chat noir et mauvais œil et entre bonne étoile et baraka, un parcours ludique au sein des collections du Mucem, proposé en écho à l’exposition « Par hasard », présentée au Centre de la Vieille Charité et à la Friche la Belle de Mai.
lundi 9 décembre : Exposition GIONO
Visite commentée par Jacques Meny, conseiller scientifique de l'exposition *
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Exposition GIONO
Loin de l’image simplifiée de l’écrivain provençal, cette exposition suit le trajet de son œuvre écrite et filmée en lui rendant toute sa noirceur, son nerf et son universalité. Poète revenu des charniers de la Première Guerre mondiale, Giono s’est en effet autant attaché à décrire la profondeur du Mal qu’à en trouver les antidotes : création, travail, pacifisme, amitié des peintres, refuge dans la nature, évasion dans l’imaginaire.Cette exposition nous présente la quasi-totalité de ses manuscrits, près de 300 œuvres et documents : archives, correspondances, reportages photographiques, entretiens filmés, ainsi que tous les carnets de travail de l’écrivain, les films réalisés ou produits et scénarisés par lui, les adaptations de son œuvre par Marcel Pagnol et Jean-Paul Rappeneau, et les tableaux de ses amis peintres, au premier rang desquels Bernard Buffet.
* Jacques Meny est Président de l'Association des Amis de Jean Giono
vendredi 13 décembre : Une lecture historique de la Méditerranée aux XVIe et XVIIe siècles
Exposition "Connectivités"
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Une lecture historique de la Méditerranée aux XVIe et XVIIe siècles
Cette exposition sera commentée par Adeline Joly et Régis Bernard, Amis du Mucem.
Connectivités propose, en suivant l’approche de Fernand Braudel, une lecture historique de la Méditerranée à travers les connexions, échanges, métissages, rivalités et guerres entre ses villes phares au XVIe et XVIIe siècles, partagées entre deux blocs et leurs sphères d’influence : l’empire Ottoman (Istanbul, Alger et Venise) et l’empire Habsbourg (Séville, Lisbonne et Gênes). Ce relatif équilibre sera rompu lorsque d’autres routes maritimes s’ouvriront, donnant lieu à de nouveaux équilibres et de nouveaux pouvoirs.Dans la dernière partie de l’exposition, artistes et spécialistes contemporains interrogent l’urbanisme : Istanbul, Le Caire, Marseille, Casablanca, mégapoles ou métropoles ?