jeudi 6 mars Lectures Gourmandes "le quatrième mur " - Sorj Chalandon jeudi 23 janvier Lectures gourmandes "Mur Méditerranée" jeudi 6 février Lectures Gourmandes "La lionne Blanche" - Henning Mankel mardi 14 janvier Conférence UTL : « Méditerranées : regards contemporains » lundi 20 janvier Visite de l'exposition « La Navale » mercredi 4 décembre Voyage à Paris
mercredi 6 janvier : Soirée exceptionnelle de finissage de l'exposition : « Nous l'avons tant aimée, la révolution » au [mac]
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Soirée exceptionnelle de finissage de l'exposition : « Nous l'avons tant aimée, la révolution » au [mac]
La Société des Amis du MuCEM a le plaisir de vous convier au Musée d'Art Contemporain de Marseille [mac] pour une visite privée et commentée de lexposition « Nous lavons tant aimée, la révolution » par Thierry Ollat, commissaire de l'expositionSpécialement conçu pour le musée dart contemporain de Marseille, le projet « Nous lavons tant aimée, la révolution » reprend le concept du précédent Abbiamo amato tanto la rivoluzione présenté à la Fondazione Merz de Turin en 2013. Le titre de lexposition est inspiré du livre éponyme de 1986 par Daniel Cohn-Bendit, dans lequel lauteur interview des militants et des intellectuels du mouvement de 1968 partout dans le monde. De même, Alfredo Jaar a sélectionné des oeuvres de plus de trente artistes qui, dans les années 60, 70, et 80, ont également cherché à changer le monde. Parmi eux Daniel Buren, Hans Haacke, Joseph Kosuth, Valie Export, Öyvind Fahlström, Michelangelo Pistoletto, Niele Toroni, Yoko Ono, Luis Camnitzer, Giuseppe Penone, Glenn Ligon, Nancy Spero, Ana Mendieta, Alighiero e Boetti, Lawrence Wiener, Cildo Meireles, Shomei Tomatsu, et Mierle Laderman Ukeles entre autres. Elles sont présentées avec les propres oeuvres de Jaar dans la perspective de son installation spécifique faite de néon et de débris de verre.Le Musée dArt Contemporain de Marseille se réjouit daccueillir cette première grande exposition dAlfredo Jaar dans un musée Français
samedi 23 janvier : Visite de l'exposition « Vies silencieuses » au Musée Regards de Provence
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Visite de l'exposition « Vies silencieuses » au Musée Regards de Provence
Regards de Provence propose, avec « Vies silencieuses », une exposition dune centaine de natures mortes, du XVIIème au XXIème siècle, tirées pour lessentiel de ses collections.Vies silencieuses, cest ainsi que les anglo-saxons parlent des natures mortes. Il y a, entre ces deux expressions, comme un paradoxe, celui-là même que soulève Lamartine quand il sexclame : « Objets inanimés, avez-vous donc une âme, qui sattache à notre âme et la force daimer ?» (Milly ou la terre natale). Cette âme, est-ce celle du peintre animant les objets quil met en scène ? Est-ce la nôtre, projetée sur le tableau contemplé ? Est-ce celle des objets eux-mêmes, témoins de leur époque et de la société à laquelle ils appartiennent ?Nous tenterons, tout au long de la visite de lexposition, de partager cette réflexion sur la vie que le peintre donne aux objets, mais aussi sur la finitude de toute vie, puisque les natures mortes sont toujours, plus ou moins, des vanités.Visite commentée par Régis Bernard (sociologue) et Adeline JOLY (historienne), amis du MUCEM.
mardi 2 février : Exposition « André Masson, de Marseille à lexil américain » au Musée Cantini
Visite commentée par Christine Poullain, Conservateur en chef du patrimoine et Directrice des Musées de Marseille
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Exposition « André Masson, de Marseille à lexil américain » au Musée Cantini
Artiste majeur du vingtième siècle, membre du groupe surréaliste dès 1924, André Masson est lauteur dune oeuvre placée sous le double signe de lexpérience de la guerre et de la découverte dune dimension lyrique et onirique du réel. Considéré comme un artiste dégénéré par le régime nazi, marié à une juive, André Masson se réfugie à Marseille en 1940. Il fera partie des intellectuels, écrivains, artistes et militants antinazis, qui se retrouvent à la villa Air-Bel autour notamment dAndré Breton, et qui seront tous exfiltrés en 1941 dEurope grâce à Varian Fry, créateur du "Comité américain de secours aux intellectuels". Il fut en contact avec de nombreux écrivains tels que Georges Bataille, Michel Leiris, Antonin Artaud, Georges Limbour, participa aux revues Le Minotaure et Acéphale, et fut lun des acteurs les plus importants de la diffusion de la pensée et de la vision surréaliste aux États-Unis entre 1941 et 1944. Son influence sur des artistes tels que Jackson Pollock et Arshile Gorky fut déterminante. Installé dans le Connecticut de 1941 à 1945, André Masson peint quelques-uns de ses plus grands chefs doeuvre, dont le tableau "Antille", réalisé en 1943 et conservé au Musée Cantini. Lexposition présentera, pour la première fois, le très beau dessin préparatoire de cette oeuvre.
mardi 23 février : Architectures et patrimoines de Marseille
Parcours de la voie historique et visite de lexposition « Le coeur dune ville »
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Architectures et patrimoines de Marseille
Notre rendez-vous du mardi 23 février prochain nous permettra de découvrir ou redécouvrir la « voie historique » de Marseille avec les commentaires nécessaires à la compréhension urbaine, historique et patrimoniale de ce parcours. Celui-ci conduit du musée dhistoire de la ville de Marseille jusquau MuCEM, en onze étapes qui racontent la construction et le développement de la cité au travers de sites et dimmeubles conservés qui illustrent les 26 siècles de son existence. Ce parcours sera suivi de la visite de lexposition « le coeur dune ville » présentée au Musée dHistoire. Elle sera commentée par Thierry Durousseau, architecte-urbaniste, commissaire de lexposition et lun des plus fins connaisseurs de larchitecture, de lurbanisme et du patrimoine de Marseille. « Lexposition propose une lecture historique du paysage urbain du centre-ville de Marseille. Elle invite à une redécouverte sensible de ses patrimoines et des caractéristiques de son architecture, évoque lévolution de ses tracés urbains et de sa topographie. Au travers de représentations figurées de la ville et de ses monuments, de maquettes, déchantillons de matériaux et de supports numériques, lexposition permet de révéler les couleurs et la richesse de la matière de la ville, de plonger le regard dans ce coeur de ville et de redécouvrir sa diversité ».
mardi 8 mars : Visite de l'exposition « Vies silencieuses » au Musée Regards de Provence
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Visite de l'exposition « Vies silencieuses » au Musée Regards de Provence
Regards de Provence propose, avec « Vies silencieuses », une exposition dune centaine de natures mortes, du XVIIème au XXIème siècle, tirées pour lessentiel de ses collections.Vies silencieuses, cest ainsi que les anglo-saxons parlent des natures mortes. Il y a, entre ces deux expressions, comme un paradoxe, celui-là même que soulève Lamartine quand il sexclame : « Objets inanimés, avez-vous donc une âme, qui sattache à notre âme et la force daimer ?» (Milly ou la terre natale). Cette âme, est-ce celle du peintre animant les objets quil met en scène ? Est-ce la nôtre, projetée sur le tableau contemplé ? Est-ce celle des objets eux-mêmes, témoins de leur époque et de la société à laquelle ils appartiennent ?Nous tenterons, tout au long de la visite de lexposition, de partager cette réflexion sur la vie que le peintre donne aux objets, mais aussi sur la finitude de toute vie, puisque les natures mortes sont toujours, plus ou moins, des vanités.Visite commentée par Régis Bernard (sociologue) et Adeline JOLY (historienne), amis du MUCEM.
mercredi 9 mars : Visite guidée et commentée sur le Street-Art
par Alexandra Blanc Véa, guide conférencière spécialisée en Art Contemporain
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Visite guidée et commentée sur le Street-Art
Le Street Art est un des derniers grands mouvements artistiques de la 2ème moitié du 20ème siècle. Cette visite guidée vous mènera dans les ruelles du cours Julien, découvrir les multiples interventions artistiques présentes dans ce quartier branché de Marseille.Tout au long de cette promenade visuelle, nous étudierons les origines et lhistoire de ce mouvement né aux Etats- Unis dans les années 1970. Puis, nous observerons les outils, les supports et les techniques utilisés par ces artistes urbains, ainsi que la démarche artistique poursuivie.Paradoxalement, en utilisant les murs de la ville comme une galerie à ciel ouvert ; le Street Art est aussi devenu un mouvement répréhensible aux yeux de la loi. Parler de ce mouvement, cest aussi: dune part, aborder les lois anti graffiti et les moyens mis en place par létat pour le combattre ; dautre part, observer les solutions trouvées par les artistes pour contourner la loi et par les villes pour mettre en avant le talent de certains graffeurs.
jeudi 24 mars : Visite commentée de lexposition « Les collections du Prince de Liechtenstein »
Centre dart Caumont à Aix-en-Provence.
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Visite commentée de lexposition « Les collections du Prince de Liechtenstein »
Grands amateurs d'art et mécènes depuis le XVIe siècle, les princes ont constitué un fonds exceptionnel, parmi les plus importants conservés en mains privées. Et, loin de vivre sur l'acquis de cet héritage, l'actuel prince souverain Hans Adam II, poursuit une politique d'acquisitions régulières.Le commissaire de lexposition est Johann Kräftner, directeur des collections princières de Vaduz et Vienne.Nous découvrirons cette magistrale collection avec quelques temps extrêmement forts : un très beau portrait de Raphael, une Vénus de Cranach de 1531, des toiles du XVIIème siècle de tout premier ordre de Van Dyck, Rubens et quelques merveilles du XVIIIème siècle français à travers 50 pièces magnifiques.Une opportunité de réviser ses classiques dans un hôtel particulier du XVIIIème siècle.
samedi 26 mars : Visite commentée de lexposition « Les collections du Prince de Liechtenstein »
Centre dart Caumont à Aix-en-Provence.
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Visite commentée de lexposition « Les collections du Prince de Liechtenstein »
Grands amateurs d'art et mécènes depuis le XVIe siècle, les princes ont constitué un fonds exceptionnel, parmi les plus importants conservés en mains privées. Et, loin de vivre sur l'acquis de cet héritage, l'actuel prince souverain Hans Adam II, poursuit une politique d'acquisitions régulières.Le commissaire de lexposition est Johann Kräftner, directeur des collections princières de Vaduz et Vienne.Nous découvrirons cette magistrale collection avec quelques temps extrêmement forts : un très beau portrait de Raphael, une Vénus de Cranach de 1531, des toiles du XVIIème siècle de tout premier ordre de Van Dyck, Rubens et quelques merveilles du XVIIIème siècle français à travers 50 pièces magnifiques.Une opportunité de réviser ses classiques dans un hôtel particulier du XVIIIème siècle.
jeudi 31 mars : Une journée à Sète autour de lart contemporain : Visites du CRAC et du MIAM
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Une journée à Sète autour de lart contemporain : Visites du CRAC et du MIAM
Sète est une ville « les pieds dans leau », bâtie entre létang de Thau et la Méditerranée mais dominée par le mont Saint-Clair qui culmine à 182 mètres. Paul Valéry lappelait « lîle singulière ». Cette île a donné des poètes : Paul Valéry bien sûr mais aussi Georges Brassens ou encore Jean Vilar ; elle a aussi donné des artistes comme Manitas de Plata ou encore les frères Di Rosa. Elle en accueille dautres comme Pierre Soulages qui y a un atelier.Le site est connu et occupé depuis lâge du bronze mais le développement de la ville remonte à 1666 quand Louis XIV décide den faire le port qui manque sur la côte languedocienne, bien placé au débouché du Canal du Midi, lequel sera prolongé par la suite jusquau Rhône par le canal du Rhône à Sète. La mer, létang, les canaux, ont profondément marqué le paysage de cette ville ainsi que son économie : pêche et conchyliculture dans létang de Thau, pêche en mer côté sud, Sète est devenue le premier port de pêche français en Méditerranée, fortement imprégné dimmigration italienne et espagnole. Sète a également été un grand port vinicole du temps des importations massives de vin dAlgérie.Ce nest donc pas un hasard si le Centre régional dArt contemporain (CRAC) a trouvé place au coeur de la ville, mais également au coeur du port de pêche, dans un ancien centre de congélation et de conservation du poisson, quai Aspirant Herbert. Ce grand bâtiment « brut de décoffrage », délaissé pour des installations plus modernes et plus accessibles, offrait de grands volumes intérieurs, liés à la typologie industrielle, parfaitement adaptés à la présentation de lart contemporain. La Ville de Sète, la Région et lÉtat décidèrent en 1993 du lancement du projet confié, après concours, à larchitecte-scénographe Laurent Piqueras. Le centre a ouvert ses portes en 1997 avec à sa tête Noëlle Tissier qui en est toujours directrice aujourdhui et qui nous y accueillera le 31 mars prochain.Les espaces sont adaptés pour présenter des séries de monographies, des grandes expositions thématiques ou collectives, organiser des rencontres et des conférences et accueillir des groupes importants.Le 31 mars nous visiterons trois expositions monographiques : Philippe Ramette, « Promenades irrationnelles »
(artiste présent dans lexposition « Jaime les panoramas »), Philippe Durand, « Vallée des Merveilles 2 » et Olga
Kisseleva, « Sea view » ainsi quun « project room », (travaux en recherche), « Suivre ma voix », de Emma Dusong.
Laprès-midi, après une découverte rapide de quelques paysages symboliques de Sète (mont Saint-Clair, cimetière
marin) nous visiterons un lieu radicalement différent, le « Musée international des Arts modestes », le MIAM.
Lui aussi au coeur de la ville, lui aussi en bordure de quai, il a été fondé en 2000, dans le but daccueillir les collections
dart modeste du peintre Hervé Di Rosa et de Bernard Belluc, également artiste-plasticien, mais surtout doffrir un
refuge pour les formes dart marginales et mal-aimées. Depuis quinze ans, le MIAM a présenté les oeuvres de 400
artistes français et étrangers, de toutes les générations, dans des expositions qui ont été à lavant-garde du
questionnement sur les frontières de lart contemporain. Nous y serons accueillis par Bernard Belluc, lun des deux
fondateurs du musée. Celui-ci, aménagé dans un ancien chai à vin, autre symbole de léconomie sétoise a été conçu
par larchitecte Patrick Bouchain.
vendredi 1 avril : LE CLOU Exposition en deux volets - co-production Rond-Point Projects, le MuCEM et le FRAC
Visite privée au CCR et au FRAC avec Damien Airault commissaire dexposition et Emilie Girard, conservatrice du CCR
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LE CLOU Exposition en deux volets - co-production Rond-Point Projects, le MuCEM et le FRAC
Parmi les innombrables objets conservés dans les collections du MuCEM, on recense plus de quatre mille clous, mais aussi des objets qui détournent cet outil rudimentaire et familier dune manière étonnante. Pour lexposition Le Clou, le critique dart et curateur Damien Airault imagine un display qui joue des codes de la muséographie et de laccrochage dart contemporain pour faire dialoguer quelques-uns de ces trésors insoupçonnés avec des oeuvres dart moderne et contemporain provenant de collections publiques et privées ou produites pour loccasion. Symbole par excellence du geste daccrochage, le clou devient loutil dune méditation poétique et insolite sur la manière dont lexposition transforme notre regard sur les objets.
mardi 31 mai : LA CIOTAT : Visite commentée des Chantiers Navals et de lEden Théâtre
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LA CIOTAT : Visite commentée des Chantiers Navals et de lEden Théâtre
Visite des Chantiers NavalsCette visite se fait en deux parties : Une première partie à la maison de la Construction Navale sous la forme dun diaporama retraçant lhistoire des Chantiers navals de leur origine jusquà la reconversion actuelle, suivie dun film sur la grande époque des CNC. Une seconde partie a lieu sur le site lui-même en 4 étapes (cale de lancement 1, grand forme, site moyenne plaisance et site de haute plaisance) Toute cette visite sur le site seffectue en bus. La présence à La Ciotat des premiers ateliers de construction maritime remonte, selon la plupart des historiens, à la fin du XVème siècle, avec une production artisanale et familiale destinée à la pêche, puis assez rapidement destinée aux grandes unités commerciales.A partir du XIX ème siècle, les nouvelles possessions d'outremer ouvrent de nouveaux marchés et l'essor de la navigation à vapeur offre de nouvelles opportunités industrielles. En 1835 Louis Benet, fils d'un riche armateur ciotaden, reprend le petit chantier de construction de voiliers dirigé par le maître charpentier Joseph Vence, pour le transformer en une entreprise moderne. C'est aussi en 1835 que lon double la capacité du port en construisant la jetée du Bérouard. Louis Benet fait venir dAngleterre ingénieurs et systèmes de propulsion, et lance avec Vence, en 1836, le premier paquebot à vapeur français de la Méditerranée : le Phocéen. La grande crise industrielle des années 1848-1851, conduira Louis Benet à vendre son entreprise aux Messageries Nationales, sans que cela modifie les perspectives d'avenir des chantiers de La Ciotat, qui ne cesseront d'accroître leurs activités et leurs compétences, malgré de fréquents changements d'actionnaires majoritaires, et donc dénomination. En 1916, après l'effacement des Messageries Maritimes, il devient chantier de la Société Provençale de Constructions navales (SPCN), puis, en 1940, après la faillite de cette société et son rachat par Jean-Marie Terrin, les Chantiers Navals de la Ciotat, (CNC) jusqu'en 1982, date à laquelle les CNC, les chantiers de Dunkerque et ceux La Seyne sont réunis dans une même société, la Société des Chantiers du Nord et de la Méditerranée, dite la NORMED. Le plan de restructuration tenté avec la NORMED n'empêche pas la fermeture des chantiers en 1987, dûe à la concurrence internationale accrue, aux baisses des subventions de l'Etat et aux nouvelles directives européennes. L'entreprise se trouve alors occupée jours et nuit pendant plusieurs années par plus d'une centaine de salariés qui empêchent la reconversion du site et le transfert du matériel. Leur persévérance a permis le maintien de toutes les infrastructures et le développement du pôle de haute plaisance que l'on connaît actuellement à La Ciotat.Visite de l'Eden-ThéâtreLEden Théâtre est un cinéma et un théâtre, Inauguré le 16 juin 1899, cest le plus vieux cinéma et théâtre encore existant au monde. Classé aux Monuments Historiques en 1996, lEden Théâtre fait partie intégrante du patrimoine du 7e Art1. Il a fait lobjet de travaux de réhabilitation de mars 2007 à octobre 2013 sous légide d'un comité de soutien présidé par Bertrand Tavernier. Il devient une salle d'art et dessai sa rénovation sinspire très fortement de létat de la salle à son ouverture. Elle est de style italien et compte 142 fauteuils. Les architectes Nicolas Masson (agence NJMH Architectes) et André Stern sont les auteurs de la réhabilitation de l'Eden. LEden est classé, depuis le 12 février 1996, en annexe de l'inventaire des monuments historiques ; il appartient à la ville de La Ciotat depuis 1992. Initialement, l'Eden était une salle de spectacles, inaugurée le 16 juin 1889, qui accueillait des spectacles de variété (théâtre, concerts), mais aussi des galas sportifs (boxe, lutte gréco-romaine, etc.). En 1895 sy déroula la première projection cinématographique privée organisée par les frères Lumière1. La première projection a été L'Arrivée d'un train en gare de La Ciotat ; certains spectateurs seraient sortis de la salle en courant, de peur que le train leur fonce dessus. À partir du 21 mars 1899, un artisan ambulant sy installe avec son propre projecteur et y diffuse des films, en alternance avec dautres programmes de divertissement (saltimbanques, variétés)[réf. nécessaire]. Sur la scène de LEden se produisirent de jeunes artistes qui y feront leurs premiers pas, parmi eux Bernard Blier ou encore Marc Sined, pseudonyme de Fernand Contandin, qui deviendra célèbre sous celui de Fernandel.
vendredi 3 juin : VISITE PRIVEE DU FRAC POUR LES AMIS DU MUCEM
A l'invitation de et par Pascal Neuveux, Directeur
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VISITE PRIVEE DU FRAC POUR LES AMIS DU MUCEM
Présentation du Fonds Régional dArt Contemporain et du bâtiment de Kengo Kuma, inauguré en mars 2013
Visite des réserves en principe non accessibles au public : plus de 1000 oeuvres achetées en plus de 30 ans sont exposées au sous-sol et font lobjet denviron 800 prêts par an
Visite de lexposition de et par Lieven de Boeck : « IMAGE NOT FOUND »
mardi 7 juin : Balade d'une journée à l'Estaque, sur les pas des peintres
Commentée par Geneviève Blanc, auteur du livre « L'Estaque, Art et Patrimoine, Chronique d'une double histoire »
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Balade d'une journée à l'Estaque, sur les pas des peintres
Depuis Cézanne et les Fauves, le nom de LEstaque résonne partout dans lart et dans le monde. Son site est inséparable de la naissance de lart moderne, du cubisme en particulier. Mais autour de ces oeuvres qui ont fait la célébrité du lieu, quen était-il alors de la vie à LEstaque, de son urbanisme, de ses quartiers, de ses usines, de ses habitants et de ses travailleurs ? Et que reste-t-il de ses sites représentés sur des tableaux dans le monde entier et partout reproduits ? La balade sarticule autour de tableaux (période 1870-1920), tous peints à l'Estaque. Le tableau est étudié en tant qu'oeuvre d'art et le motif comparé à des cartes anciennes, des documents d'archives ou des photos récentes. Les peintres sont principalement Cézanne, Braque, Dufy, Derain, Friesz, Marquet... Parallèlement, chaque site est un point de départ pour raconter L'Estaque, son histoire, ses usines chimiques, ses cimenteries, ses tuileries, sa population, ses grands travaux.
mardi 14 juin : UNE JOURNEE A AIX EN PROVENCE Musée Granet et Centre dArt Caumont
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UNE JOURNEE A AIX EN PROVENCE Musée Granet et Centre dArt Caumont
Visite commentée de lexposition « CAMOIN DANS SA LUMIERE » au musée Granet Charles Camoin né en 1879 à Marseille appartient à cette génération d'artistes qui font la charnière entre le XIXe et le XXe, époque de tous les bouleversements qu'ils soient techniques, philosophiques ou artistiques. Proche de Matisse, Mangin et Marquet. Camoin est associé au fauvisme et il est le seul des fauves à avoir noué une relation forte avec Cézanne. Certains ont pu dire que Camoin était le plus cézannien des fauves... L'exposition rassemble des oeuvres de Camoin, dont certaines montrées pour la première fois, mais également plus de 60 oeuvres d'artistes ayant eu un rôle dans sa vie, ce sur plus de 700 m2 d'espace d'exposition.Visite commentée de lexposition « TURNER ET LA COULEUR » au centre dart CaumontConçue et organisée en partenariat avec le Turner Contemporary de Margate (Angleterre), lexposition Turner et la couleur bénéficie du concours extraordinaire de la Tate Gallery de Londres, qui a mis à disposition plus de trente chefs-doeuvre légués à lEtat anglais par lartiste. Riche de plus de 100 aquarelles, gouaches et huiles sur toile provenant de prestigieux musées anglais et internationaux, tels la Royal Academy de Londres, lAshmolean Museum dOxford et le Musée dart de Dallas, cette grande monographie est également loccasion de découvrir des oeuvres inédites appartenant à des collections particulières, ainsi que des ensembles daquarelles réunis aujourdhui pour la première fois. Dans un parcours à la fois chronologique, thématique et géographique, vous êtes invités à suivre les évolutions de la palette de Turner.
jeudi 30 juin : Frédéric Bazille, la jeunesse de limpressionnisme Une journée au musée Fabre, Montpellier
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Frédéric Bazille, la jeunesse de limpressionnisme Une journée au musée Fabre, Montpellier
Cette journée à Montpellier permettra aux Amis du Mucem qui le souhaitent de simmerger dans lun des plus beaux musées de France, le musée Fabre. Au programme : la découverte commentée de lexposition temporaire autour du peintre originaire de Montpellier, Frédéric Bazille, la visite guidée de lHôtel de Cabrières-Sabatier dEspeyran, partie du musée Fabre consacrée aux arts décoratifs et, au choix, la visite libre des collections permanentes du musée ou la visite libre de la vieille ville de Montpellier.Le musée Fabre tient son nom de son premier grand donateur, François-Xavier Fabre (1766-1837), peintre et
collectionneur, qui en 1824 propose à la ville de Montpellier de lui faire don de lensemble de ses collections, tableaux
et bibliothèques. La ville accepte le don et construit pour recevoir ces collections lhôtel de Massilian qui constitue
encore lune des ailes de lactuel musée.
En 1868, un autre mécène-collectionneur, Alfred Bruyas, ami de Gustave Courbet, offre également à la ville sa riche
collection de tableaux de peintres contemporains qui viendra heureusement compléter celle de Fabre. Par ailleurs, le
musée continue denrichir ses collections par des achats ou des dépôts. Le dernier donateur en date sera Pierre
Soulages qui fait don au musée dune vingtaine de toiles.
Fin des années 1990, le maire de Montpellier, Georges Frêche, décide de transférer la bibliothèque municipale qui
occupait une partie de lhôtel de Massilian et, surtout lancien collège des jésuites attenant, dans un nouveau bâtiment
et de restructurer lensemble pour donner au musée lampleur justifiée par la richesse des collections.
Le nouveau musée Fabre dont la surface dexposition est portée à 7 000 m2 est ouvert en 2007. Il comprend
notamment une aile neuve destinée à accueillir les toiles de Pierre Soulages.
Les architectes choisis après concours pour concevoir ce projet complexe sont les bordelais Emmanuel Lajus, Christine
Pueyo, Olivier Brochet et le montpelliérain Emmanuel Nebout.
Frédéric Bazille, la jeunesse de limpressionnisme (25 juin-16 octobre 2016) : le musée Fabre est à linitiative dune
rétrospective internationale consacrée à lune des figures majeures du pré-impressionnisme, Frédéric Bazille (1841-
1870). Lexposition est organisée avec le musée dOrsay à Paris et la National Gallery of Art de Washington.
À cette occasion, la majorité des oeuvres de lartiste seront rassemblées, évènement majeur compte-tenu de leur
dispersion à travers le monde (New-York, Washington, Chicago, Berlin, Paris). Lexposition présente les travaux de ses
contemporains (Delacroix, Courbet, Corot, Manet, Monet, Renoir, Sisley), en même temps quelle insiste sur lévolution
et loriginalité de sa peinture.
Lhôtel de Cabrières-Sabatier dEspeyran : dans les années 1990, le musée Fabre sest enrichi de cet hôtel particulier
situé à quelques mètres du musée, dont la famille a fait don à la ville de Montpellier. Construit en 1872 par la famille
de Cabrières et resté dans la même famille depuis, il est intact et a conservé toute sa décoration intérieure et tout son
mobilier, riche notamment de tapisseries dAubusson, des Gobelins, de vases de Sèvres, de tableaux, etc. Il peut se
comparer, dans le principe de sa conservation et de sa présentation au public, au musée Grobet-Labadié de Marseille.
samedi 10 septembre : Balade urbaine, en passant par Saint Victor
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Balade urbaine, en passant par Saint Victor
Depuis la colline de Notre-Dame de la Garde on promènera dans quelques coins cachés de ce quartier, avant de
découvrir l'Abbaye millénaire de Jean Cassien et Guillaume de Grimoard. De sa fondation à son déclin, à travers
son architecture ou son cartulaire, ce sont des pages de l'histoire médiévale européenne qu'on déroulera. On
terminera par l'évocation d'un monument emblématique de Marseille, le pont transbordeur.Balade guidée et commentée par Jean-Louis Maltret, Ami du MuCEM.
lundi 26 septembre : Balade urbaine, en passant par Saint Victor
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Balade urbaine, en passant par Saint Victor
Depuis la colline de Notre-Dame de la Garde on promènera dans quelques coins cachés de ce quartier, avant de
découvrir l'Abbaye millénaire de Jean Cassien et Guillaume de Grimoard. De sa fondation à son déclin, à travers
son architecture ou son cartulaire, ce sont des pages de l'histoire médiévale européenne qu'on déroulera. On
terminera par l'évocation d'un monument emblématique de Marseille, le pont transbordeur.Balade guidée et commentée par Jean-Louis Maltret, Ami du MuCEM.
mercredi 12 octobre : Une journée à Lyon au Musée des Confluences
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Une journée à Lyon au Musée des Confluences
Le parcours permanent du Mudée des Confluences sattache à montrer et décrire linfinie variété de lhistoire humaine, en posant un regard fondamentalement transversal sur les collections du musée, qui rassemblent des objets venus de tous les mondes, ceux de la nature, de la manufacture et de la création artistique, recueillis auprès de toutes les civilisations.Il se compose de quatre expositions :Origines, les récits du monde qui explore la question des origines de lunivers et de lhomme sous deux formes dexplication du monde, lune scientifique, lautre symboliqueEspèces, la maille du vivant qui traite de lHomo sapiens en tant quespèce animale évoluant la maille complexe de la biodiversitéSociétés, le théâtre des hommes qui propose des histoires dici et dailleurs, du passé et du présentÉternités, visions de lau-delà qui problématise la question de la mort dans les sociétés.Quant aux expositions temporaires, elles seront en octobre au nombre de trois :Antartica, pour découvrir lextraordinaire biodiversité du continent blancPotières dAfrique, qui propose un voyage à la rencontre des potières dAfrique de lOuestÀ vos pieds, une centaine de paires de chaussures qui témoignent de nos modes de vie et de nos identités.
vendredi 14 octobre : Théâtre : « La Mouette » au Théâtre de La Criée
mardi 25 octobre : Theatre: « Lenfant caché dans lencrier» au Théâtre du Jeu de Paume (Aix en Pce)
mardi 8 novembre : Découverte de deux entreprises familiales : Malongo et la Maison Fragonard
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Découverte de deux entreprises familiales : Malongo et la Maison Fragonard
MALONGO, une histoire avant tout fondée sur les valeurs humaines A loccasion de lexposition temporaire du Mucem « Café In » qui se tiendra du 26 octobre 2016 au 23 janvier 2017, la Fondation Malongo, membre du cercle entreprises, invite les Amis du Mucem à découvrir lhistoire de Malongo, lidentité dune marque qui sest forgée au gré de rencontres fortes, entre des personnages passionnés et déterminés qui lui ont insufflé ce supplément daudace, doriginalité et d «âme ». FRAGONARD, une histoire, une famille
Fragonard, membre des Amis du Mucem, nous propose : une visite guidée de leur usine Historique par lune de leurs guides et la découverte des produits de parfumerie dans leur salon de vente, puis la découverte accompagnée par Eva Lorenzini, conservatrice, du Musée du Flacon, du Musée du Costume et de Bijou, du Musée JH Fragonard.
vendredi 18 novembre : Theatre : « Ceux qui errent ne se trompent pas » au théâtre du Gymnase
lundi 21 novembre : Exposition « Le rêve » au Musée Cantini
Visite privée commentée par Guillaume Theulière, co-commissaire de lexposition
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Exposition « Le rêve » au Musée Cantini
Dès l'antiquité, l'homme s'intéressait aux mystères du rêve avec des analyses, mythes et croyances sur les visions prémonitoires, présages, messages et avertissements des cieux... Au XXe siècle les écrits de Freud, révélaient la voie de l'accès à linconscient et des artistes tels que Picasso, Matisse, Brauner, Ernst se sont alors aventurés à la rencontre de leur dialogue intérieur, de leurs fantasmes, de ces territoires inconnus, constructions de limagination, théâtre des symboles, qui échappent aux contraintes du réel, pour les représenter.
Au fil des arcanes du Jeu de Marseille, lexposition est une voie intérieure, un rêve.
jeudi 24 novembre : Une journée à Villeneuve-lès-Avignon
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Une journée à Villeneuve-lès-Avignon
La Chartreuse du Val de Bénédiction, implantée au pied du mont Andaon que domine le fort Saint-André, fait étroitement corps avec lancienne cité cardinalice de Villeneuve-lès-Avignon. Ses trois cloîtres autour desquels se répartissent sur près de trois hectares les bâtiments conventuels en firent la plus vaste de France après la Grande Chartreuse de Grenoble. Elle doit tout à la magnificence des papes dAvignon et aux nombreuses implantations de cardinaux sur le territoire de la petite ville.Afin den favoriser lutilisation et lanimation, lÉtat y a implanté dans les années 70 un Centre culturel de rencontres, le CIRCA (Centre international de recherche, de création et danimation), devenu aujourdhui le Centre national des écritures du spectacle (CNES). Celui-ci a notamment pour mission daccueillir des artistes, plus particulièrement des écrivains, en résidence et de les accompagner, éventuellement, dans la réalisation de spectacles.
La visite permettra de découvrir ou de redécouvrir cet ensemble monumental impressionnant, de comprendre le mode de vie des chartreux et de sinitier à la nouvelle vocation du lieu en écoutant, peut-être, un écrivain parler de son travail décriture.
Nous visiterons enfin le petit musée Pierre-de-Luxembourg, petit par la taille et par le nombre duvres exposées mais très grand par la qualité de certaines de ses uvres comme lextraordinaire « Couronnement de la Vierge » (1453) dEnguerrand Quarton, lune des plus belles peintures françaises du XVème siècle, commandée par la communauté de la Chartreuse et qui figurait dans la chapelle de la Trinité de labbatiale, là où se trouve le tombeau du fondateur de la Chartreuse, le pape Innocent VI.
samedi 26 novembre : Theatre : « Slavas Snowshow» au Grand Théâtre de Provence (Aix en Pce)
dimanche 27 novembre : Visite de lexposition « Merveilles de lOrientalisme» Au Musée Regards de Provence
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Visite de lexposition « Merveilles de lOrientalisme» Au Musée Regards de Provence
Le Musée Regards de Provence met à lhonneur une nouvelle exposition consacrée aux Merveilles de lOrientalisme à travers le regard dartistes provençaux, italiens, espagnols ou algériens des XIXème et XXème siècles.Poèmes orientaux, romans et récits de voyage décrivains, ou encore découvertes de certains peintres-voyageurs constituent lessentiel de linspiration de ce style « orientaliste » qui connut un succès fulgurant au XIXème siècle. Cest un orient réel ou fantasmé qui nous est proposé dans ces quelques quatre vingt tableaux et sculptures, issus de la collection de la Fondation Regards de Provence, de divers musées et de collections privées.
Mais au fond, quest ce que lOrientalisme ? Un mouvement artistique ou bien le rêve dun autre monde ?
Visite commentée par Adeline JOLY (historienne) et Régis BERNARD (sociologue), Amis du MUCEM.
mardi 6 décembre : Visite de lexposition « Merveilles de lOrientalisme» Au Musée Regards de Provence
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Visite de lexposition « Merveilles de lOrientalisme» Au Musée Regards de Provence
Le Musée Regards de Provence met à lhonneur une nouvelle exposition consacrée aux Merveilles de lOrientalisme à travers le regard dartistes provençaux, italiens, espagnols ou algériens des XIXème et XXème siècles.Poèmes orientaux, romans et récits de voyage décrivains, ou encore découvertes de certains peintres-voyageurs constituent lessentiel de linspiration de ce style « orientaliste » qui connut un succès fulgurant au XIXème siècle. Cest un orient réel ou fantasmé qui nous est proposé dans ces quelques quatre vingt tableaux et sculptures, issus de la collection de la Fondation Regards de Provence, de divers musées et de collections privées.
Mais au fond, quest ce que lOrientalisme ? Un mouvement artistique ou bien le rêve dun autre monde ?
Visite commentée par Adeline JOLY (historienne) et Régis BERNARD (sociologue), Amis du MUCEM.
jeudi 15 décembre : Visite de lexposition « Merveilles de lOrientalisme» Au Musée Regards de Provence
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Visite de lexposition « Merveilles de lOrientalisme» Au Musée Regards de Provence
Le Musée Regards de Provence met à lhonneur une nouvelle exposition consacrée aux Merveilles de lOrientalisme à travers le regard dartistes provençaux, italiens, espagnols ou algériens des XIXème et XXème siècles.Poèmes orientaux, romans et récits de voyage décrivains, ou encore découvertes de certains peintres-voyageurs constituent lessentiel de linspiration de ce style « orientaliste » qui connut un succès fulgurant au XIXème siècle. Cest un orient réel ou fantasmé qui nous est proposé dans ces quelques quatre vingt tableaux et sculptures, issus de la collection de la Fondation Regards de Provence, de divers musées et de collections privées.
Mais au fond, quest ce que lOrientalisme ? Un mouvement artistique ou bien le rêve dun autre monde ?
Visite commentée par Adeline JOLY (historienne) et Régis BERNARD (sociologue), Amis du MUCEM.