lundi 2 décembre "Populaire ?", Les trésors des collections du Mucem mercredi 4 décembre Voyage à Paris jeudi 28 novembre Paradis Naturistes vendredi 13 décembre Visite commentée de l’atelier «Vitraux IMBERT» mardi 3 décembre Découverte et exploration des sens autour des accords thés et chocolats mercredi 5 février Théâtre : TAIRE
jeudi 24 janvier : "Les Singuliers" d’Anne Percin - "Vers la beauté" de David Foenkinos
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"Les Singuliers" d’Anne Percin - "Vers la beauté" de David Foenkinos
Les Singuliers d’Anne Percin
Dans les années 1888-90, un jeune peintre belge, Hugo Boch, en rupture avec ses origines bourgeoises, s'installe à Pont-Aven et y fait la rencontre de nombreux artistes, dont Gauguin. Ce dernier l'introduit dans l'avant-garde, dont Van Gogh est le maître scandaleux. Mêlant des personnages historiques et fictifs, ce roman épistolaire nous plonge de façon très vivante dans l'époque, par le biais de nombreux destins d'artistes…..
Vers la beauté de David Foenkinos
Antoine Duris est professeur aux Beaux-Arts de Lyon. Du jour au lendemain, il décide de tout quitter pour devenir gardien de salle au Musée d'Orsay. Mathilde Mattel, DRH du Musée, est rapidement frappée par la personnalité de cet homme taciturne, mystérieux, spécialiste de Modigliani, qui a choisi de s'effacer dans une fonction qui ne correspond pas à ses compétences reconnues. Antoine est affecté à la salle des Modigliani, et Mathilde le surprend parfois à parler à...
jeudi 28 février : "Les bijoux bleus" de Katharina Winkler - "Les petites chaises rouges" d'Edna O’ Brien
Les bijoux bleus de Katharina Winkler
S'appuyant sur des faits réels, ce roman bouleversant raconte le destin de Filiz, une jeune Kurde vivant dans un village reculé de Turquie. Mariée à 12 ans et mère à 13 ans, elle va vivre terrorisée sous la coupe d'un homme violent qui pense qu'une femme bien tenue par son mari doit toujours être ornée de "bijoux bleus" ...
Les petites chaises rouges d’Edna O’ Brien
Dès qu’il franchit le seuil de l’unique pub ouvert dans ce trou perdu d’Irlande, l’étranger suscite la fascination. Vladimir Dragan est originaire du Monténégro. Il entend s’établir comme guérisseur. On lui trouve un logement, un cabinet médical, et sa première cliente, une des quatre nonnes du lieu, sort de sa séance totalement régénérée. Rien d’étonnant à ce que Fidelma, très belle et mariée à un homme bien plus âgé qu’elle, tombe sous le charme….
jeudi 21 mars : "Journal d’Irlande" de Benoîte Groult - "Auprès de moi toujours" de Kazuo Ishiguro
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"Journal d’Irlande" de Benoîte Groult - "Auprès de moi toujours" de Kazuo Ishiguro
Journal d’Irlande de Benoîte Groult
Le dernier projet d’écrivaine de Benoîte Groult était de publier son « Journal d’Irlande ». Elle avait l’intention d’entrecroiser ses « Carnets de pêche » en Irlande où elle avait passé plus de vingt étés avec son mari Paul Guimard, et les passages de son Journal intime tenu conjointement. Elle avait commencé ce travail d’orfèvrerie littéraire, que la maladie et la mort l’ont empêchée de mener à son terme…..
Auprès de moi toujours de Kazuo Ishiguro
Kath, Ruth et Tommy ont été élèves à Hailsham dans les années quatre-vingt-dix; une école idyllique, nichée dans la campagne anglaise, où les enfants étaient protégés du monde extérieur et élevés dans l'idée qu'ils étaient des êtres à part, que leur bien-être personnel était essentiel, non seulement pour eux-mêmes, mais pour la société dans laquelle ils entreraient un jour. Mais pour quelles raisons les avait-on réunis là ? …
jeudi 25 avril : Autobiographies : « Une vie » de Simone Veil, « Passagère du silence » de Fabienne Verdier
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Autobiographies : « Une vie » de Simone Veil, « Passagère du silence » de Fabienne Verdier
Deux autobiographies :
« Une vie » de Simone Veil ou le destin d’une femme exceptionnelle . Elle raconte….. depuis son enfance heureuse à Nice, l’enfer des camps de concentration où disparurent les membres de sa famille , sa volonté de surmonter ses chagrins,sa carrière de magistrate, ses combats politiques. Vous découvrirez une femme libre dont les convictions sont dignes de la plus grande admiration.
« Passagère du silence » de Fabienne Verdier
Dix ans d’initiation en Chine
Autre parcours de vie ! Celui de cette étudiante aux Beaux Arts de Toulouse dans les années 1980 qui décide de tout quitter pour aller chercher seule au fond de la Chine communiste les secrets oubliés de l’art antique chinois. Dans un oubli total de l’occident, elle devient l’élève de très grands artistes qui l’initient à la calligraphie et à la fabrication des sceaux.
jeudi 23 mai : « Le sillon » de Valérie Manteau
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« Le sillon » de Valérie Manteau
Une jeune femme rejoint son amant à Istanbul . Alors que la ville se défait au rythme de ses contradictions et de la violence de l’État, d’aucuns luttent encore pour leur liberté. Elle-même découvre au fil de ses errances l’histoire du journaliste arménien de Turquie Hrant Dink, assassiné pour avoir défendu un idéal de liberté.
jeudi 13 juin : Autour de Jean Giono
Lectures en liberté
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Autour de Jean Giono
Avec peut-être une priorité pour la Trilogie de Pan : « Colline » - « Un de Baumugnes » - « Regain » mais « Les Ames Fortes » et « Le Hussard sur le toit » adaptés au cinéma peuvent aussi vous rappeler de bons souvenirs…..difficile de faire un choix parmi tous ces romans que vous avez certainement lus.
jeudi 19 septembre : "Mémoire de la douceur qui vient" d'Eric Semerdjian et "Parce qu'ils sont arméniens" de Pinar Selek
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"Mémoire de la douceur qui vient" d'Eric Semerdjian et "Parce qu'ils sont arméniens" de Pinar Selek
Mémoire de la douceur qui vientEn 1915, le premier génocide du XX° siècle perpétré par le gouvernement Jeune Turc inaugurait la création de la Turquie moderne sur le meurtre d'un million cinq cent mille Arméniens. Près d'un siècle plus tard, que reste-t-il, pour les survivants, de cette mémoire génocidaire ? A partir d'anecdotes de la vie quotidienne - une bague, un cartable, des vacances dans le Haut-Var, un accident vasculaire cérébral, une carte postale, un enterrement. . . -, quatre générations d'une même famille dialoguent, en écho, de la propagation de cette irradiation fondatrice qui trouve son origine dans l'escamotage des corps niés du génocide. La vie quotidienne nous parle en creux de notre fidélité à l'ordre perverti que nous entretenons avec la vie et la mort, la transmission, la filiation, le deuil, la séparation.
Parce qu'ils sont arméniensAvril 2015 marquera le centenaire du génocide arménien. Une page noire de l’Histoire turque, toujours controversée, toujours taboue. Quel regard peut porter sur cette communauté et sur cet épisode une Turque née dans les années 70 ? Pinar Selek répond avec ce récit personnel et engagé, tissé de ses souvenirs, observations et rencontres. Avec elle, nous apprenons de l’intérieur ce que signifie se construire en récitant à l’école des slogans proclamant la supériorité nationale, en étudiant sur des manuels mensongers, en côtoyant des camarades craintifs et silencieux, en sillonnant une ville où les noms arméniens ont été effacés des enseignes, en militant dans des mouvements d’extrême gauche ayant intégré le déni. Un témoignage sensible et polémique de la part d’une femme engagée dont la personnalité et les écrits continuent d’être marqués par la question arménienne.
jeudi 17 octobre : "L'ile des oubliés" de Victoria Hislop, "L'île des bienheureux" de Vea Kaiser
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"L'ile des oubliés" de Victoria Hislop, "L'île des bienheureux" de Vea Kaiser
"L'ile des oubliés"
L’été s’achève à Plaka, un village sur la côte nord de la Crète. Alexis, une jeune Anglaise diplômée d’archéologie, a choisi de s’y rendre parce que c’est là que sa mère est née et a vécu jusqu’à ses dix-huit ans. Une terrible découverte attend Alexis qui ignore tout de l’histoire de sa famille : de 1903 à 1957, Spinalonga, l’île qui fait face à Plaka et ressemble tant à un animal alangui allongé sur le dos, était une colonie de lépreux... et son arrière-grand-mère y aurait péri. Quels mystères effrayants recèle cette île que surplombent les ruines d’une forteresse vénitienne ? Pourquoi, Sophia, la mère d'Alexis, a-t-elle si violemment rompu avec son passé ? La jeune femme est bien décidée à lever le voile sur la déchirante destinée de ses aïeules et sur leurs sombres secrets... Bouleversant plaidoyer contre l'exclusion, L'Île des oubliés, traduit dans vingt-cinq pays et vendu à plus de deux millions d'exemplaires, a conquis le monde entier.
"L'île des bienheureux"
Tout commence dans un petit village divisé par la guerre, à la frontière gréco-albanaise. Yaya Maria, grand-mère et entremetteuse patentée, décide de marier sa petite-fille, Eleni, avec son cousin, Lefti, pour assurer la pérennité de sa famille. Mais ces derniers ne souhaitent qu'une chose : la première, faire sa propre révolution, le second, qu'on le laisse tranquille. Cependant, parce qu'elle a eu la mauvaise idée d'insulter le chef de la police locale, Eleni se trouve face à deux options : épouser Lefti et rentrer dans le droit chemin ou séjourner en prison pour une période indéterminée. Si les deux cousins sentent que Yaya Maria s'est trompée dans ses prédictions, ils ignorent en revanche que leur famille sera ainsi condamnée au malheur pour plusieurs générations. Endiablé, drôle et tendre, un roman qui parle de nostalgie, de renouveau et du grand amour – que l'on ne rencontre pas qu'une fois.
jeudi 21 novembre : "La nuit des béguines" de Aline Kiner
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"La nuit des béguines" de Aline Kiner
L'histoire se déroule entre 1310 et 1314. Si le royaume de France est encore le plus puissant de la chrétienté, les équilibres féodaux ont basculé. Le clergé tente donc de mettre au pas tous ceux qui échappent à son autorité et le statut des béguines va être condamné. Pour des centaines de femmes seules, pieuses mais laïques, cette institution offrait une alternative au mariage et au cloître. Ne subsisteront que quelques rares survivances dans les Flandres. Aline Kiner, née en Moselle et passionnée de Moyen Âge, fait de cette aventure un passionnant suspense. La dernière béguine est morte en 2013 à Courtrai.
jeudi 19 décembre : "Les chapeaux jaunes du pape" de Laurence Benveniste
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"Les chapeaux jaunes du pape" de Laurence Benveniste
3 avril 1789. Il s’appelle David. Il a vingt ans et vit à Carpentras dans un des quatre ghettos (carrièros) — Carpentras, Cavaillon, l’Isle-sur-la Sorgue — du Comtat Venaissin, et Avignon, possessions des papes en terre de France depuis cinq cents ans. Les membres de ces quatre communautés, nommés plus couramment « Juifs du Pape », sont astreints, entre autres humiliations, à porter un chapeau jaune afin qu’on ne les confonde pas avec les chrétiens. La Révolution française est en marche, mais le Comtat, ainsi qu’Avignon, dépendent de Rome et les lois ne sont pas régies par la France. Quoique « protégés » par la papauté (autorisation de pratiquer leur culte dans les carrièros, s’autogérer en partie, se pourvoir en justice en cas d’agression par des chrétiens), David et les siens vont-ils continuer à subir, dans ce cloaque pestilentiel de la rue de la Muse, les lois iniques érigées au fil des siècles contre « le peuple déicide » ? Les devoirs de David envers sa famille seront-ils plus forts que son désir de fuir en Amérique ? Succombera-t-il à l’amour de Marie, la jeune chrétienne, malgré la loi qui punit sévèrement les amours entre Juifs et chrétiens ? Choisira-t-il la vie des nantis de Versailles opportunément offerte par le biais de son oncle franc-maçon, ou bien retournera-t-il dans son ghetto étudier avec son grand-père, la Kabbale et l’Alchimie ? Enfin, David participera-t-il à la guerre fratricide entre Avignon et Carpentras, l’une se réclamant de la France révolutionnaire, l’autre de son attachement à Rome ?Et qu’adviendra-t-il du tristement célèbre chapeau jaune ?
Récit épique dont la construction s’apparente au scénario d’un film, « Les Chapeaux jaunes du Pape » entraîne le lecteur dans un univers où vérité et personnages historiques se mêlent au suspense haletant d’une fiction romanesque.