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lundi 2 décembre
"Populaire ?", Les trésors des collections du Mucem
mercredi 4 décembre
Voyage à Paris
jeudi 28 novembre
Paradis Naturistes
vendredi 13 décembre
Visite commentée de l’atelier «Vitraux IMBERT»
mardi 3 décembre
Découverte et exploration des sens autour des accords thés et chocolats
mercredi 5 février
Théâtre : TAIRE

Visites au Mucem 2024

visite

jeudi 11 janvier : "Une autre histoire du monde" racontée par les cartes

Visite-focus par Jean-Louis Maltret, Ami du Mucem
Ptolemy_World_Map chine-routes

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"Une autre histoire du monde" racontée par les cartes

  Comment voir et raconter le monde ? Les cartes présentées dans l'exposition "Une autre histoire du monde" montrent diverses représentations de régions, de pays ou de la Terre au cours de l'Histoire. La cartographie, qu'elle soit scientifique, militaire, politique ou sacrée, montre et raconte à la fois une partie de la réalité mais aussi des éléments de civilisations. A travers des exemples méditerranéens, arabes, asiatiques ou américains on peut faire le tour des visions que chaque époque a portées sur le monde qui l'entourait.  


visite

vendredi 12 janvier : "Populaire ?", Les trésors des collections du Mucem

Commentée par Caroline Chenu et Amélie Lavin, co-commissaire de l'exposition
Albanie_2010©Endri_Dani

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"Populaire ?", Les trésors des collections du Mucem

Cette exposition permanente souhaite présenter sa collection dans toute sa diversité. Elle réunit en effet les fonds historiques du Musée national des arts et traditions populaires, les collections européennes du Musée de l’Homme et celles acquises depuis le début des années 2000 dans une volonté d’ouverture vers la Méditerranée et le monde contemporain. Le parcours général propose un cheminement au gré de grandes catégories empruntées au vocabulaire de l’histoire des arts et des techniques (" peinture ", " sculpture ", " arts du métal ", " céramique ", etc.). Un parcours qui fait émerger les particularités de la collection du Mucem en rompant avec la hiérarchisation habituelle entre beaux-arts et arts populaires. On passe ainsi d’objets attendus dans un musée (par exemple des tableaux, des ex-voto, des icônes, etc.) à des éléments plus surprenants (comme des portes de ruche décorées), et d’objets familiers du grand public à des éléments plus inattendus voire mystérieux de prime abord.


visite

lundi 15 janvier : Exposition René Perrot (1912-1979) Mon pauvre coeur est un hibou

commentée par Raphaël Bories et Marie Charlotte Calafat, commissaires de l'exposition
Faisan dore-Tapisserie dAubusson La_Chant_Auvergne

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Exposition René Perrot (1912-1979) Mon pauvre coeur est un hibou

xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxFaisan doré-Tapisserie d'Aubusson xxxxxxxxxxxxxxxxx La Chant (Auvergne), 1944. Dessin. Mucem © ADAGP, Paris 2022 ; xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxphoto : © RMN-Grand Palais (Mucem) / Franck Raux      Cette exposition propose de redécouvrir l’étendue, la richesse et la sensibilité du travail de René Perrot (1912-1979). Près de quatre-cents de ses peintures et gravures sont conservées au Mucem. Profondément pacifiste, sa production est marquée par l’histoire de son temps.      René Perrot a été un artiste prolifique, expérimentant sans cesse de nouveaux styles et de nouvelles techniques. Il est particulièrement connu pour ses tapisseries, fruit de commandes publiques destinées à orner bâtiments officiels, ministères ...     Antimilitariste convaincu, il dénonce l’absurdité de la guerre à laquelle il participe dans des gravures. Après la défaite française, il enquête pour le musée des Arts et Traditions populaires, portant un regard artistique sur les campagnes françaises. Cette protection du musée lui évite d’être trop inquiété par le régime de Vichy.      Après cette expérience sur le terrain, il consacre l’essentiel de son travail à la tapisserie et à l’enseignement. René Perrot est profondément attaché à la nature et aux animaux, qui finissent par remplacer presque complètement dans sa production artistique les humains qui peut-être l’ont déçu. Il réalise plus de quatre cents cartons de tapisseries à partir desquels sont exécutées des tapisseries par les Manufactures de Felletin, d’Aubusson ou des Gobelins.


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mardi 16 janvier : Voyage au coeur des réserves du Centre de Conservation et de Ressources

accompagné par Hervé Chadaillac*, chef d'équipe, installateur au CCR
Grosses têtes-P1030535 manège-P1030529 loterie Nat-P1030588

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Voyage au coeur des réserves du Centre de Conservation et de Ressources

                                                                  Grandes réserves © Mucem / Marianne KuhnLe Mucem qui se définit comme un “musée de société”,  gère aujourd’hui une collection plurielle et originale, composée notamment de plus de 250 000 objets, 350 000 photographies, 200 000 affiches, estampes et cartes postales, 150 000 ouvrages… cadenas en forme de coeur, chevaux de manège en bois, vinyles de Dalida, sacs en papier kraft ou plastique ornés de logos disparus et autres curiosités: c’est une collection insolite et très riche qui nous invite à mieux comprendre le monde dans lequel nous vivons en explorant ce qu’on nomme les “arts et traditions populaires”. Ces objets sont conservés dans des réserves qui se trouvent au CCR (Centre de Conservation et de Ressources) dans le quartier de la Belle de Mai, face aux archives municipales. Cette visite se fera en deux temps. D'une part nous visiterons les Grandes Réserves qui ont été spécialement concues pour les objets de très grandes tailles. Elles ne sont ouvertes au public qu'aux journées du patrimoine. D'autre part, nous visiterons l'exposition "La vie secrète des collections" qui s’attache à raconter la vie du CCR et des objets de la collection à travers le regard de ceux qui l’ont constituée, étudiée, conservée et valorisée : toute l’équipe scientifique du Mucem s’est réunie autour de ce projet pour partager son amour des objets et nous en retracer les histoires pleines d’humanité. * Dans cette visite, nous aurons la chance d'être accompagné par Hervé Chadaillac, chef installateur au Mucem, qui avec son équipe s’emploient à  les manipuler, les présenter, les transporter et les conserver avec d’infinies précautions.


visite

jeudi 25 janvier : Une autre histoire du monde

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Une autre histoire du monde

                                      Cheri Samba ; carte du monde 2011 ; ©Galerie MAGNIN ; photo F. Kleinefenn L’Europe raconte l’histoire du monde comme un processus continu qui, depuis la Grèce antique, aurait conduit à la prééminence de la civilisation occidentale, fondée sur l’invention de la démocratie, des libertés individuelles et des droits de l’homme, de l’économie capitaliste.. Une autre histoire du monde nous engage à nous affranchir de cette vision européocentrée et à faire un pas de côté, en portant notre regard vers le point de vue et les récits des autres sociétés qui peuplent le monde. C’est ce pas de côté que nous vous proposons d’entreprendre, en vous accompagnant, par nos commentaires, dans la visite de cette riche exposition.  Cette visite sera animée par Adeline Joly et Régis Bernard, Amis du Mucem.


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lundi 29 janvier : Une autre histoire du monde

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Une autre histoire du monde

                                      Cheri Samba ; carte du monde 2011 ; ©Galerie MAGNIN ; photo F. Kleinefenn L’Europe raconte l’histoire du monde comme un processus continu qui, depuis la Grèce antique, aurait conduit à la prééminence de la civilisation occidentale, fondée sur l’invention de la démocratie, des libertés individuelles et des droits de l’homme, de l’économie capitaliste.. Une autre histoire du monde nous engage à nous affranchir de cette vision européocentrée et à faire un pas de côté, en portant notre regard vers le point de vue et les récits des autres sociétés qui peuplent le monde. C’est ce pas de côté que nous vous proposons d’entreprendre, en vous accompagnant, par nos commentaires, dans la visite de cette riche exposition.  Cette visite sera animée par Adeline Joly et Régis Bernard, Amis du Mucem.


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mardi 30 janvier : La Fabrique de l'espoir

Fêtes et Réjouissances publques à Marseille du XVII-XXeme siècle
PHOTO LA FABRIQUE 1 PHOTO LA FABRIQUE 2

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La Fabrique de l'espoir

Les fêtes et réjouissances publiques, sont très liées et dépendantes de la temporalité et du souvenir. Phénomène collectif d'identification et de résilience, elles marquent et concrétisent l'espoir d'un avenir meilleur, que ce soit après une crise ou à l'occasion d'un évènement heureux : la venue de Marie de Médecis... Par ailleurs, suivant l'évolution de la société, les fêtes publiques sont entièrement liées à la question et à l'affirmation de l'identité, de l'appartenance à un groupe ainsi qu'au développement du lien social dont elles sont le paroxysme, en mettant en avant les notions de joie, de convivialité et d'amitié. Une exposition riche en symbolique qui montre l'importance de ces manifestations dans l'espace public où les groupes religieux, laîcs ou sportifs induisent la mise en oeuvre de mécanisme de pouvoir.  Les archives nous en révèlent bien des témoignages.


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jeudi 1 février : Une autre histoire du monde

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Une autre histoire du monde

                                      Cheri Samba ; carte du monde 2011 ; ©Galerie MAGNIN ; photo F. Kleinefenn L’Europe raconte l’histoire du monde comme un processus continu qui, depuis la Grèce antique, aurait conduit à la prééminence de la civilisation occidentale, fondée sur l’invention de la démocratie, des libertés individuelles et des droits de l’homme, de l’économie capitaliste.. Une autre histoire du monde nous engage à nous affranchir de cette vision européocentrée et à faire un pas de côté, en portant notre regard vers le point de vue et les récits des autres sociétés qui peuplent le monde. C’est ce pas de côté que nous vous proposons d’entreprendre, en vous accompagnant, par nos commentaires, dans la visite de cette riche exposition.  Cette visite sera animée par Adeline Joly et Régis Bernard, Amis du Mucem.


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lundi 5 février : "Une autre histoire du monde" racontée par les cartes

Visite-focus par Jean-Louis Maltret, Ami du Mucem
Ptolemy_World_Map chine-routes

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"Une autre histoire du monde" racontée par les cartes

  Comment voir et raconter le monde ? Les cartes présentées dans l'exposition "Une autre histoire du monde" montrent diverses représentations de régions, de pays ou de la Terre au cours de l'Histoire. La cartographie, qu'elle soit scientifique, militaire, politique ou sacrée, montre et raconte à la fois une partie de la réalité mais aussi des éléments de civilisations. A travers des exemples méditerranéens, arabes, asiatiques ou américains on peut faire le tour des visions que chaque époque a portées sur le monde qui l'entourait.  


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lundi 12 février : Exposition René Perrot (1912-1979) Mon pauvre coeur est un hibou

commentée par Raphaël Bories et Marie Charlotte Calafat, commissaires de l'exposition
Faisan dore-Tapisserie dAubusson La_Chant_Auvergne

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Exposition René Perrot (1912-1979) Mon pauvre coeur est un hibou

xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxFaisan doré-Tapisserie d'Aubusson xxxxxxxxxxxxxxxxx La Chant (Auvergne), 1944. Dessin. Mucem © ADAGP, Paris 2022 ; xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxphoto : © RMN-Grand Palais (Mucem) / Franck Raux      Cette exposition propose de redécouvrir l’étendue, la richesse et la sensibilité du travail de René Perrot (1912-1979). Près de quatre-cents de ses peintures et gravures sont conservées au Mucem. Profondément pacifiste, sa production est marquée par l’histoire de son temps.      René Perrot a été un artiste prolifique, expérimentant sans cesse de nouveaux styles et de nouvelles techniques. Il est particulièrement connu pour ses tapisseries, fruit de commandes publiques destinées à orner bâtiments officiels, ministères ...     Antimilitariste convaincu, il dénonce l’absurdité de la guerre à laquelle il participe dans des gravures. Après la défaite française, il enquête pour le musée des Arts et Traditions populaires, portant un regard artistique sur les campagnes françaises. Cette protection du musée lui évite d’être trop inquiété par le régime de Vichy.      Après cette expérience sur le terrain, il consacre l’essentiel de son travail à la tapisserie et à l’enseignement. René Perrot est profondément attaché à la nature et aux animaux, qui finissent par remplacer presque complètement dans sa production artistique les humains qui peut-être l’ont déçu. Il réalise plus de quatre cents cartons de tapisseries à partir desquels sont exécutées des tapisseries par les Manufactures de Felletin, d’Aubusson ou des Gobelins.


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jeudi 15 février : "Une autre histoire du monde" racontée par les cartes

Visite-focus par Jean-Louis Maltret, Ami du Mucem
Ptolemy_World_Map chine-routes

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"Une autre histoire du monde" racontée par les cartes

  Comment voir et raconter le monde ? Les cartes présentées dans l'exposition "Une autre histoire du monde" montrent diverses représentations de régions, de pays ou de la Terre au cours de l'Histoire. La cartographie, qu'elle soit scientifique, militaire, politique ou sacrée, montre et raconte à la fois une partie de la réalité mais aussi des éléments de civilisations. A travers des exemples méditerranéens, arabes, asiatiques ou américains on peut faire le tour des visions que chaque époque a portées sur le monde qui l'entourait.  


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jeudi 7 mars : Une autre histoire du monde

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Une autre histoire du monde

                                      Cheri Samba ; carte du monde 2011 ; ©Galerie MAGNIN ; photo F. Kleinefenn L’Europe raconte l’histoire du monde comme un processus continu qui, depuis la Grèce antique, aurait conduit à la prééminence de la civilisation occidentale, fondée sur l’invention de la démocratie, des libertés individuelles et des droits de l’homme, de l’économie capitaliste.. Une autre histoire du monde nous engage à nous affranchir de cette vision européocentrée et à faire un pas de côté, en portant notre regard vers le point de vue et les récits des autres sociétés qui peuplent le monde. C’est ce pas de côté que nous vous proposons d’entreprendre, en vous accompagnant, par nos commentaires, dans la visite de cette riche exposition.  Cette visite sera animée par Adeline Joly et Régis Bernard, Amis du Mucem.


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jeudi 21 mars : Jardins des migrations

Visite commentée par Catherine Millet et Agnès Westendorp, Amies du Mucem.
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Jardins des migrations

Le Jardin des migrations, qui relie le MUCEM et le fort Saint Jean, a été aménagé de 2011 à 2013 par l’agence APS de Valence (paysagistes, urbanistes et architectes). C’est un jardin méditerranéen de plus de12 000 m2 que les marseillais ont aussitôt adopté. Nous vous invitons à déambuler dans ce jardin unique, ouvert sur le large, hommage aux voyageurs qui ont naguère débarqué à Marseille et ont apporté avec eux des plantes de tout le pourtour de la Méditerranée. Qu’elles soient à usage domestique, aromatique, tinctorial, médicinal, ces plantes ont contribué à tisser des liens historiques entre les peuples. On en parle depuis l’Antiquité, que ce soit dans la mythologie, la Bible ou le Coran. Cette promenade à deux voix nous permettra de visiter les divers espaces de ce jardin, dont les plantes,souvent introduites par l'homme au cours des siècles, évoquent le brassage des cultures autour de la Méditerranée. Nous pourrons comprendre les pratiques de développement durable de ce jardin sec, qui sera peut-être un modèle pour les jardins du futur.


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vendredi 22 mars : "Populaire ?", Les trésors des collections du Mucem

Commentée par Caroline Chenu et Amélie Lavin, co-commissaire de l'exposition
Albanie_2010©Endri_Dani

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"Populaire ?", Les trésors des collections du Mucem

Cette exposition permanente souhaite présenter sa collection dans toute sa diversité. Elle réunit en effet les fonds historiques du Musée national des arts et traditions populaires, les collections européennes du Musée de l’Homme et celles acquises depuis le début des années 2000 dans une volonté d’ouverture vers la Méditerranée et le monde contemporain. Le parcours général propose un cheminement au gré de grandes catégories empruntées au vocabulaire de l’histoire des arts et des techniques (" peinture ", " sculpture ", " arts du métal ", " céramique ", etc.). Un parcours qui fait émerger les particularités de la collection du Mucem en rompant avec la hiérarchisation habituelle entre beaux-arts et arts populaires. On passe ainsi d’objets attendus dans un musée (par exemple des tableaux, des ex-voto, des icônes, etc.) à des éléments plus surprenants (comme des portes de ruche décorées), et d’objets familiers du grand public à des éléments plus inattendus voire mystérieux de prime abord.


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lundi 8 avril : Le Grand Mezzé

Visite commentée par Edouard de Laubrie, commissaire de l'exposition
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Le Grand Mezzé

J. Bassano Lazare et le mauvais riche XVIIe Marseille ©Mucem-Marianne    Matériel rituel de la fabrication de bière en Géorgie ©musées du Mans      Cette exposition semi-permanente devrait prendre fin prochainement, et Edouard de Laubrie nous propose une dernière visite du "Grand Mezzé". Cette exposition aborde les traditions grecques et moyen-orientales de l'alimentation dont s'est inspiré le dernier slogan à la mode "manger cinq fruits et légumes par jour", recommandation empruntée au "régime crétois" aussi appelé "diète méditerranéenne". Ce concept a été inscrit en 2010 par l'Unesco sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l'humanité      L'alimentation méditerranéenne s'est toujours enrichie d'apports extérieurs au cours de l'histoire. Aujourd'hui, se pose la question de la réappropriation en Méditerranée de sa production comme de sa cuisine. Comment définir et préserver une authenticité culinaire, géographique et culturelle, tout en la partageant avec le plus grand nombre ?. Comment protéger un régime alimentaire sans l'empêcher d'évoluer ? Comment rester perméable tout en restant authentique ?. Pour le savoir, l'exposition le "Grand Mezzé" nous mène du champ à l'assiette, et des savoirs-faire culinaires traditionnels de Méditerranée aux chaînes de restaurants mondialisées. A la manière d'un grand repas aux mets et aux saveurs variés, le "Grand Mezzé" présente une sélection de 550 objets et documents patrimoniaux.


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lundi 6 mai : Passions partagées De Basquiat à Edith Piaf, la Collection Lambert

Commentée par Marie-Charlotte Calafat, co-commissaire de l'exposition
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Passions partagées De Basquiat à Edith Piaf, la Collection Lambert

                                                                              Piège Camargue, 1860 ©Mucem/Marianne_Kuhn     Un dialogue inédit entre les collections d’Yvon Lambert et les collections du Mucem. L'exposition suit le parcours d’Yvon Lambert, à commencer par son lien avec les cultures provençales et méditerranéennes, pour s’attarder ensuite sur quelques thématiques autour desquelles dialoguent les deux collections : le populaire et le quotidien, l’homme et la nature, la poésie et la littérature, l’intime et l’existence.      La rencontre entre la Collection Lambert et les collections du Mucem présentées lors de cette exposition est bien plus qu’une juxtaposition de collections exogènes. Des fils sensibles tissent spontanément leur toile par résonances formelles et poétiques entre les œuvres d’art et celles issues de cultures populaires. Par affinité réciproque de récits et de formes, le dialogue entre ces deux collections patrimoniales exceptionnelles est une tentative de voyage au centre d’un regard singulier, celui d’une personnalité majeure de l’art contemporain, et invite les visiteurs du Mucem au jeu des coïncidences, de la libre interprétation et des associations poétiques empreintes du charme et des passions tenaces qui ont été les ferments de ces deux grands musées.


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mercredi 12 juin : Des exploits des chefs d'œuvre "Trophées et Reliques"

Visite commentée par Jean-Fabien Philippy - Conservateur au Mucem
PHORO EXPO TROPHEES 2

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Des exploits des chefs d'œuvre "Trophées et Reliques"

L'art aujourd'hui, ne peut que prendre en compte le sport, véritable fond d'écran de nos sociétés contemporaines. A l'initiative du FRAC Sud -Cité de l'art contemporain et à l'invitation de sa directrice Muriel Enjalran, le commissaire et critique d'art Jean-Marc Huitorel est invité à concevoir une exposition dans trois institutions culturelles de la Région Sud et de la Ville de Marseille. Des exploits, des chefs d'oeuvre,  se propose d'interroger la relation de l'art au sport à travers plus de 350 oeuvres de près de 100 artistes français et étrangers sur trois lieux, où cohabitent fascination, critique et humour. Au Mucem, avec Trophées et Reliques" on verra que le sport, comme l'art, s'inscrivent dans un certain nombre de croyances, la plupart fort anciennes, où se côtoient formes savantes et vernaculaires (savantes à leur heure) et que leur expérience est inséparable d'un ensemble d'artefacts dont l'efficacité repose assez largement sur la foi qu'on leur accorde. L'art se trouve alors au carrefour de l'adoration des reliques et du fétichisme attaché aux objets contemporains, qu'ils appartiennent à des stars ou à des obscurs qu'on veut ainsi distinguer.


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mercredi 19 juin : "Populaire ?", Les trésors des collections du Mucem

Commentée par Julia Ferloni
Albanie_2010©Endri_Dani

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"Populaire ?", Les trésors des collections du Mucem

Cette exposition permanente souhaite présenter sa collection dans toute sa diversité. Elle réunit en effet les fonds historiques du Musée national des arts et traditions populaires, les collections européennes du Musée de l’Homme et celles acquises depuis le début des années 2000 dans une volonté d’ouverture vers la Méditerranée et le monde contemporain. Le parcours général propose un cheminement au gré de grandes catégories empruntées au vocabulaire de l’histoire des arts et des techniques (" peinture ", " sculpture ", " arts du métal ", " céramique ", etc.). Un parcours qui fait émerger les particularités de la collection du Mucem en rompant avec la hiérarchisation habituelle entre beaux-arts et arts populaires. On passe ainsi d’objets attendus dans un musée (par exemple des tableaux, des ex-voto, des icônes, etc.) à des éléments plus surprenants (comme des portes de ruche décorées), et d’objets familiers du grand public à des éléments plus inattendus voire mystérieux de prime abord.


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jeudi 20 juin : Visite Mucem : Méditerranées

commentée par Enguerand Lascol et Raphael Bories
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Visite Mucem : Méditerranées

                                      Jules Migonney Tamaroud-Kabylie 1910 © Mucem Marianne Khun      Les imaginaires de la Méditerranée sont multiples. Cette exposition s’interroge sur la manière dont se sont formés et diffusés ces imaginaires, et notamment sur le rôle des musées dans la création de ces « images » de la Méditerranée, toutes relatives et toutes construites.      Dans les musées de beaux-arts, ce sont les civilisations du passé, en particulier celles de l’Antiquité, qui sont mises en valeur et qui construisent une Méditerranée rêvée nourrie de l’Odyssée d’Homère, de temples grecs et de récits sur Rome et Palmyre.      Les musées d’ethnographie, qui apparaissent durant la période coloniale, s’intéressent pour leur part aux sociétés géographiquement ou culturellement « lointaines ». La sincérité de l’intérêt scientifique et humain pour l’Autre y côtoie les intérêts et les entreprises des puissances coloniales.      Les musées de beaux-arts et les musées d’ethnographie se distinguent par les objets qu’ils conservent et les disciplines qui les étudient. Le Mucem souhaite aujourd’hui dépasser ces frontières et mettre en évidence les parallèles et les influences mutuelles qui existent entre ces deux types de musée. Suivant cette idée, « Méditerranées » mêle différents modèles muséographiques historiques.      L’exposition présente plus de 300 objets et documents ; les dépôts proviennent d’une vingtaine d’institutions.


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mercredi 26 juin : Passions partagées De Basquiat à Edith Piaf, la Collection Lambert

Commentée par Marie-Charlotte Calafat, co-commissaire de l'exposition
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Passions partagées De Basquiat à Edith Piaf, la Collection Lambert

                                                                              Piège Camargue, 1860 ©Mucem/Marianne_Kuhn     Un dialogue inédit entre les collections d’Yvon Lambert et les collections du Mucem. L'exposition suit le parcours d’Yvon Lambert, à commencer par son lien avec les cultures provençales et méditerranéennes, pour s’attarder ensuite sur quelques thématiques autour desquelles dialoguent les deux collections : le populaire et le quotidien, l’homme et la nature, la poésie et la littérature, l’intime et l’existence.      La rencontre entre la Collection Lambert et les collections du Mucem présentées lors de cette exposition est bien plus qu’une juxtaposition de collections exogènes. Des fils sensibles tissent spontanément leur toile par résonances formelles et poétiques entre les œuvres d’art et celles issues de cultures populaires. Par affinité réciproque de récits et de formes, le dialogue entre ces deux collections patrimoniales exceptionnelles est une tentative de voyage au centre d’un regard singulier, celui d’une personnalité majeure de l’art contemporain, et invite les visiteurs du Mucem au jeu des coïncidences, de la libre interprétation et des associations poétiques empreintes du charme et des passions tenaces qui ont été les ferments de ces deux grands musées.


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jeudi 27 juin : Visite Mucem : Méditerranées

commentée par Enguerand Lascol et Camille Faucourt
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Visite Mucem : Méditerranées

                                      Jules Migonney Tamaroud-Kabylie 1910 © Mucem Marianne Khun      Les imaginaires de la Méditerranée sont multiples. Cette exposition s’interroge sur la manière dont se sont formés et diffusés ces imaginaires, et notamment sur le rôle des musées dans la création de ces « images » de la Méditerranée, toutes relatives et toutes construites.      Dans les musées de beaux-arts, ce sont les civilisations du passé, en particulier celles de l’Antiquité, qui sont mises en valeur et qui construisent une Méditerranée rêvée nourrie de l’Odyssée d’Homère, de temples grecs et de récits sur Rome et Palmyre.      Les musées d’ethnographie, qui apparaissent durant la période coloniale, s’intéressent pour leur part aux sociétés géographiquement ou culturellement « lointaines ». La sincérité de l’intérêt scientifique et humain pour l’Autre y côtoie les intérêts et les entreprises des puissances coloniales.      Les musées de beaux-arts et les musées d’ethnographie se distinguent par les objets qu’ils conservent et les disciplines qui les étudient. Le Mucem souhaite aujourd’hui dépasser ces frontières et mettre en évidence les parallèles et les influences mutuelles qui existent entre ces deux types de musée. Suivant cette idée, « Méditerranées » mêle différents modèles muséographiques historiques.      L’exposition présente plus de 300 objets et documents ; les dépôts proviennent d’une vingtaine d’institutions.


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mercredi 11 septembre : Passions partagées De Basquiat à Edith Piaf, la Collection Lambert

Commentée par Marie-Charlotte Calafat, co-commissaire de l'exposition
2_Piege_Camargue_1860©Mucem_Marianne_Kuhn

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Passions partagées De Basquiat à Edith Piaf, la Collection Lambert

                                                                              Piège Camargue, 1860 ©Mucem/Marianne_Kuhn     Un dialogue inédit entre les collections d’Yvon Lambert et les collections du Mucem. L'exposition suit le parcours d’Yvon Lambert, à commencer par son lien avec les cultures provençales et méditerranéennes, pour s’attarder ensuite sur quelques thématiques autour desquelles dialoguent les deux collections : le populaire et le quotidien, l’homme et la nature, la poésie et la littérature, l’intime et l’existence.      La rencontre entre la Collection Lambert et les collections du Mucem présentées lors de cette exposition est bien plus qu’une juxtaposition de collections exogènes. Des fils sensibles tissent spontanément leur toile par résonances formelles et poétiques entre les œuvres d’art et celles issues de cultures populaires. Par affinité réciproque de récits et de formes, le dialogue entre ces deux collections patrimoniales exceptionnelles est une tentative de voyage au centre d’un regard singulier, celui d’une personnalité majeure de l’art contemporain, et invite les visiteurs du Mucem au jeu des coïncidences, de la libre interprétation et des associations poétiques empreintes du charme et des passions tenaces qui ont été les ferments de ces deux grands musées.


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vendredi 13 septembre : Paradis Naturistes

Commentée par Amélie Lavin, commissaire de l'exposition.
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Paradis Naturistes

Raphaël Chatelain, Nu dans les criques levantines, juin 2021 © Raphaël Chatelain. Un nouvel engouement se manifeste aujourd’hui pour les pratiques de nudité dans la nature, engouement qui va de pair avec la recherche d’une alimentation saine, végétarienne, ou encore le recours aux thérapeutiques naturelles, à la méditation ou au yoga en plein air. Ces modes de vie, mais aussi le rejet des diktats qui pèsent sur nos corps, sont autant de clés de lectures contemporaines pour comprendre les enjeux des naturismes d’hier et d’aujourd’hui. Alors, vivre nu en communauté pour communier avec la nature serait-il le secret du bonheur et de la santé ? Pourquoi et comment la France est-elle devenue un « paradis naturiste » ? Mais au fait, naturisme et nudisme, est-ce la même chose ? En tant que musée de société implanté à Marseille, cité méditerranéenne autour de laquelle plusieurs lieux naturistes importants se sont développés, il semblait naturel que le Mucem cherche à explorer ce phénomène singulier et fédérateur qu’est le naturisme, ou plutôt les naturismes, car ils sont pluriels.Dans une scénographie solaire conçue par l’agence Trafik, l’exposition « Paradis naturistes » réunit 600 photographies, films, revues, objets quotidiens, peintures, dessins, livres, estampes et sculptures.


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mardi 17 septembre : Exposition "Vues sur Mer" Musée Regards de Provence

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Exposition "Vues sur Mer" Musée Regards de Provence

Le Musée Regards de Provence présente l'exposition «Vues sur Mer» qui réunit 25 peintres, photographes, sculpteurs et vidéastes contemporains de la Région Provence-Alpes-Côte d'Azur qui nous donnent une autre vision de la Méditerranée.   Les travaux exposés, toutes générations confondues, nous permettent de nous questionner  sur l’écologie, l’avenir de nos plages, de notre littoral. La plage, lieu de détente, de plaisir, de délassement, quel avenir lui préparons-nous ?, le soleil, si bénéfique à notre bonheur est-il toujours bon pour nous ? Pour les artistes tous ces éléments mer, plage, fonds marins sont la source d’une inspiration d’urgence écologique, il faut protéger ce monde marin et son environnement. 


visite

mercredi 2 octobre : Visite Mucem : Méditerranées

commentée par Enguerand Lascol et Camille Faucourt
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Visite Mucem : Méditerranées

                                      Jules Migonney Tamaroud-Kabylie 1910 © Mucem Marianne Khun      Les imaginaires de la Méditerranée sont multiples. Cette exposition s’interroge sur la manière dont se sont formés et diffusés ces imaginaires, et notamment sur le rôle des musées dans la création de ces « images » de la Méditerranée, toutes relatives et toutes construites.      Dans les musées de beaux-arts, ce sont les civilisations du passé, en particulier celles de l’Antiquité, qui sont mises en valeur et qui construisent une Méditerranée rêvée nourrie de l’Odyssée d’Homère, de temples grecs et de récits sur Rome et Palmyre.      Les musées d’ethnographie, qui apparaissent durant la période coloniale, s’intéressent pour leur part aux sociétés géographiquement ou culturellement « lointaines ». La sincérité de l’intérêt scientifique et humain pour l’Autre y côtoie les intérêts et les entreprises des puissances coloniales.      Les musées de beaux-arts et les musées d’ethnographie se distinguent par les objets qu’ils conservent et les disciplines qui les étudient. Le Mucem souhaite aujourd’hui dépasser ces frontières et mettre en évidence les parallèles et les influences mutuelles qui existent entre ces deux types de musée. Suivant cette idée, « Méditerranées » mêle différents modèles muséographiques historiques.      L’exposition présente plus de 300 objets et documents ; les dépôts proviennent d’une vingtaine d’institutions.


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vendredi 18 octobre : Jardins des migrations

Visite commentée par Catherine Millet et Agnès Westendorp, Amies du Mucem.
Jardin_des_migrations

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Jardins des migrations

Le Jardin des migrations, qui relie le MUCEM et le fort Saint Jean, a été aménagé de 2011 à 2013 par l’agence APS de Valence (paysagistes, urbanistes et architectes). C’est un jardin méditerranéen de plus de12 000 m2 que les marseillais ont aussitôt adopté. Nous vous invitons à déambuler dans ce jardin unique, ouvert sur le large, hommage aux voyageurs qui ont naguère débarqué à Marseille et ont apporté avec eux des plantes de tout le pourtour de la Méditerranée. Qu’elles soient à usage domestique, aromatique, tinctorial, médicinal, ces plantes ont contribué à tisser des liens historiques entre les peuples. On en parle depuis l’Antiquité, que ce soit dans la mythologie, la Bible ou le Coran. Cette promenade à deux voix nous permettra de visiter les divers espaces de ce jardin, dont les plantes,souvent introduites par l'homme au cours des siècles, évoquent le brassage des cultures autour de la Méditerranée. Nous pourrons comprendre les pratiques de développement durable de ce jardin sec, qui sera peut-être un modèle pour les jardins du futur.


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jeudi 24 octobre : Visite Mucem : Revenir

Commentée par Camille Faucourt
Taysir Batniji_ Sans titre_ 2007-2014_ trousseau de cles en verre © Taysir Batniji

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Visite Mucem : Revenir

Taysir Batniji, Sans titre, 2007-2014, trousseau de cles en verre © Taysir Batniji Cette exposition s’intéresse à la question des migrations en Méditerranée sous l’angle peu connu du « retour ». À travers des objets, des œuvres d’art et des parcours de vie, elle souhaite approcher la complexité des expériences du « revenir », prises entre déracinements et enracinements, pratiques et imaginaires, gouvernances nationales et aspirations individuelles. Il s’agit de questionner ces réalités plurielles, circulatoires, non linéaires, parfois empêchées, parfois détournées, qui engagent le chez-soi, sa reconnaissance et sa transposition, sans omettre les mémoires et les rêves qui y sont intimement liés.  L’exposition rend compte de ces possibles dans un parcours où s’entremêlent des œuvres conservées en collections publiques, des objets intimes et documents familiaux, ainsi que des créations d’artistes contemporains dont la pratique fait écho à leur expérience personnelle de l’exil et du retour.  Tout au long du parcours, nous verrons que le retour prend des formes différentes selon les trajectoires migratoires, les générations, les rapports entretenus avec l’espace natal ou ancestral et les politiques étatiques. Dès lors, le revenir est l’expression d’un devenir – un projet ou un mouvement – qui esquisse la géographie de l’appartenance dans ses expériences (im)possibles. 


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vendredi 25 octobre : Visite Mucem : Revenir

Commentée par Camille Faucourt
Taysir Batniji_ Sans titre_ 2007-2014_ trousseau de cles en verre © Taysir Batniji

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Visite Mucem : Revenir

Taysir Batniji, Sans titre, 2007-2014, trousseau de cles en verre © Taysir Batniji Cette exposition s’intéresse à la question des migrations en Méditerranée sous l’angle peu connu du « retour ». À travers des objets, des œuvres d’art et des parcours de vie, elle souhaite approcher la complexité des expériences du « revenir », prises entre déracinements et enracinements, pratiques et imaginaires, gouvernances nationales et aspirations individuelles. Il s’agit de questionner ces réalités plurielles, circulatoires, non linéaires, parfois empêchées, parfois détournées, qui engagent le chez-soi, sa reconnaissance et sa transposition, sans omettre les mémoires et les rêves qui y sont intimement liés.  L’exposition rend compte de ces possibles dans un parcours où s’entremêlent des œuvres conservées en collections publiques, des objets intimes et documents familiaux, ainsi que des créations d’artistes contemporains dont la pratique fait écho à leur expérience personnelle de l’exil et du retour.  Tout au long du parcours, nous verrons que le retour prend des formes différentes selon les trajectoires migratoires, les générations, les rapports entretenus avec l’espace natal ou ancestral et les politiques étatiques. Dès lors, le revenir est l’expression d’un devenir – un projet ou un mouvement – qui esquisse la géographie de l’appartenance dans ses expériences (im)possibles. 


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mercredi 13 novembre : Paradis Naturistes

Commentée par Amélie Lavin, commissaire de l'exposition.
Mucem_PN_Digital-1300_975

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Paradis Naturistes

Raphaël Chatelain, Nu dans les criques levantines, juin 2021 © Raphaël Chatelain. Un nouvel engouement se manifeste aujourd’hui pour les pratiques de nudité dans la nature, engouement qui va de pair avec la recherche d’une alimentation saine, végétarienne, ou encore le recours aux thérapeutiques naturelles, à la méditation ou au yoga en plein air. Ces modes de vie, mais aussi le rejet des diktats qui pèsent sur nos corps, sont autant de clés de lectures contemporaines pour comprendre les enjeux des naturismes d’hier et d’aujourd’hui. Alors, vivre nu en communauté pour communier avec la nature serait-il le secret du bonheur et de la santé ? Pourquoi et comment la France est-elle devenue un « paradis naturiste » ? Mais au fait, naturisme et nudisme, est-ce la même chose ? En tant que musée de société implanté à Marseille, cité méditerranéenne autour de laquelle plusieurs lieux naturistes importants se sont développés, il semblait naturel que le Mucem cherche à explorer ce phénomène singulier et fédérateur qu’est le naturisme, ou plutôt les naturismes, car ils sont pluriels.Dans une scénographie solaire conçue par l’agence Trafik, l’exposition « Paradis naturistes » réunit 600 photographies, films, revues, objets quotidiens, peintures, dessins, livres, estampes et sculptures.


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jeudi 28 novembre : Paradis Naturistes

Commentée par Amélie Lavin, commissaire de l'exposition.
Mucem_PN_Digital-1300_975

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Paradis Naturistes

Raphaël Chatelain, Nu dans les criques levantines, juin 2021 © Raphaël Chatelain. Un nouvel engouement se manifeste aujourd’hui pour les pratiques de nudité dans la nature, engouement qui va de pair avec la recherche d’une alimentation saine, végétarienne, ou encore le recours aux thérapeutiques naturelles, à la méditation ou au yoga en plein air. Ces modes de vie, mais aussi le rejet des diktats qui pèsent sur nos corps, sont autant de clés de lectures contemporaines pour comprendre les enjeux des naturismes d’hier et d’aujourd’hui. Alors, vivre nu en communauté pour communier avec la nature serait-il le secret du bonheur et de la santé ? Pourquoi et comment la France est-elle devenue un « paradis naturiste » ? Mais au fait, naturisme et nudisme, est-ce la même chose ? En tant que musée de société implanté à Marseille, cité méditerranéenne autour de laquelle plusieurs lieux naturistes importants se sont développés, il semblait naturel que le Mucem cherche à explorer ce phénomène singulier et fédérateur qu’est le naturisme, ou plutôt les naturismes, car ils sont pluriels.Dans une scénographie solaire conçue par l’agence Trafik, l’exposition « Paradis naturistes » réunit 600 photographies, films, revues, objets quotidiens, peintures, dessins, livres, estampes et sculptures.


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lundi 2 décembre : "Populaire ?", Les trésors des collections du Mucem

Commentée par Mireille Jacotin.
Albanie_2010©Endri_Dani

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"Populaire ?", Les trésors des collections du Mucem

Cette exposition permanente souhaite présenter sa collection dans toute sa diversité. Elle réunit en effet les fonds historiques du Musée national des arts et traditions populaires, les collections européennes du Musée de l’Homme et celles acquises depuis le début des années 2000 dans une volonté d’ouverture vers la Méditerranée et le monde contemporain. Le parcours général propose un cheminement au gré de grandes catégories empruntées au vocabulaire de l’histoire des arts et des techniques (" peinture ", " sculpture ", " arts du métal ", " céramique ", etc.). Un parcours qui fait émerger les particularités de la collection du Mucem en rompant avec la hiérarchisation habituelle entre beaux-arts et arts populaires. On passe ainsi d’objets attendus dans un musée (par exemple des tableaux, des ex-voto, des icônes, etc.) à des éléments plus surprenants (comme des portes de ruche décorées), et d’objets familiers du grand public à des éléments plus inattendus voire mystérieux de prime abord.