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mercredi 19 juin
"Populaire ?", Les trésors des collections du Mucem
jeudi 20 juin
Visite Mucem : Méditerranées
jeudi 27 juin
Visite Mucem : Méditerranées
lundi 6 mai
Passions partagées De Basquiat à Edith Piaf, la Collection Lambert
jeudi 6 juin
Une journée à Lyon: la Croix-Rousse des Canuts
vendredi 17 mai
Conférence UTL : « Les Canuts : maîtres-tisseurs, maîtres-penseurs »

Sorties 2016

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mercredi 6 janvier : Soirée exceptionnelle de finissage de l'exposition : « Nous l'avons tant aimée, la révolution » au [mac]

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Soirée exceptionnelle de finissage de l'exposition : « Nous l'avons tant aimée, la révolution » au [mac]

La Société des Amis du MuCEM a le plaisir de vous convier au Musée d'Art Contemporain de Marseille [mac] pour une visite privée et commentée de l’exposition « Nous l’avons tant aimée, la révolution » par Thierry Ollat, commissaire de l'expositionSpécialement conçu pour le musée d’art contemporain de Marseille, le projet « Nous l’avons tant aimée, la révolution » reprend le concept du précédent Abbiamo amato tanto la rivoluzione présenté à la Fondazione Merz de Turin en 2013. Le titre de l’exposition est inspiré du livre éponyme de 1986 par Daniel Cohn-Bendit, dans lequel l’auteur interview des militants et des intellectuels du mouvement de 1968 partout dans le monde. De même, Alfredo Jaar a sélectionné des oeuvres de plus de trente artistes qui, dans les années 60, 70, et 80, ont également cherché à changer le monde. Parmi eux Daniel Buren, Hans Haacke, Joseph Kosuth, Valie Export, Öyvind Fahlström, Michelangelo Pistoletto, Niele Toroni, Yoko Ono, Luis Camnitzer, Giuseppe Penone, Glenn Ligon, Nancy Spero, Ana Mendieta, Alighiero e Boetti, Lawrence Wiener, Cildo Meireles, Shomei Tomatsu, et Mierle Laderman Ukeles entre autres. Elles sont présentées avec les propres oeuvres de Jaar dans la perspective de son installation spécifique faite de néon et de débris de verre.Le Musée d’Art Contemporain de Marseille se réjouit d’accueillir cette première grande exposition d’Alfredo Jaar dans un musée Français


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samedi 23 janvier : Visite de l'exposition « Vies silencieuses » au Musée Regards de Provence

  Visite de l'exposition « Vies silencieuses » au Musée Regards de Provence : galerie photos
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Visite de l'exposition « Vies silencieuses » au Musée Regards de Provence

Regards de Provence propose, avec « Vies silencieuses », une exposition d’une centaine de natures mortes, du XVIIème au XXIème siècle, tirées pour l’essentiel de ses collections.Vies silencieuses, c’est ainsi que les anglo-saxons parlent des natures mortes. Il y a, entre ces deux expressions, comme un paradoxe, celui-là même que soulève Lamartine quand il s’exclame : « Objets inanimés, avez-vous donc une âme, qui s’attache à notre âme et la force d’aimer ?» (Milly ou la terre natale). Cette âme, est-ce celle du peintre animant les objets qu’il met en scène ? Est-ce la nôtre, projetée sur le tableau contemplé ? Est-ce celle des objets eux-mêmes, témoins de leur époque et de la société à laquelle ils appartiennent ?Nous tenterons, tout au long de la visite de l’exposition, de partager cette réflexion sur la vie que le peintre donne aux objets, mais aussi sur la finitude de toute vie, puisque les natures mortes sont toujours, plus ou moins, des vanités.Visite commentée par Régis Bernard (sociologue) et Adeline JOLY (historienne), amis du MUCEM.


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mardi 2 février : Exposition « André Masson, de Marseille à l’exil américain » au Musée Cantini

Visite commentée par Christine Poullain, Conservateur en chef du patrimoine et Directrice des Musées de Marseille
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Exposition « André Masson, de Marseille à l’exil américain » au Musée Cantini

Artiste majeur du vingtième siècle, membre du groupe surréaliste dès 1924, André Masson est l’auteur d’une oeuvre placée sous le double signe de l’expérience de la guerre et de la découverte d’une dimension lyrique et onirique du réel. Considéré comme un artiste dégénéré par le régime nazi, marié à une juive, André Masson se réfugie à Marseille en 1940. Il fera partie des intellectuels, écrivains, artistes et militants antinazis, qui se retrouvent à la villa Air-Bel autour notamment d’André Breton, et qui seront tous exfiltrés en 1941 d’Europe grâce à Varian Fry, créateur du "Comité américain de secours aux intellectuels". Il fut en contact avec de nombreux écrivains tels que Georges Bataille, Michel Leiris, Antonin Artaud, Georges Limbour, participa aux revues Le Minotaure et Acéphale, et fut l’un des acteurs les plus importants de la diffusion de la pensée et de la vision surréaliste aux États-Unis entre 1941 et 1944. Son influence sur des artistes tels que Jackson Pollock et Arshile Gorky fut déterminante. Installé dans le Connecticut de 1941 à 1945, André Masson peint quelques-uns de ses plus grands chefs d’oeuvre, dont le tableau "Antille", réalisé en 1943 et conservé au Musée Cantini. L’exposition présentera, pour la première fois, le très beau dessin préparatoire de cette oeuvre.


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mardi 23 février : Architectures et patrimoines de Marseille

Parcours de la voie historique et visite de l’exposition « Le coeur d’une ville »
Patrimoine

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Architectures et patrimoines de Marseille

Notre rendez-vous du mardi 23 février prochain nous permettra de découvrir ou redécouvrir la « voie historique » de Marseille avec les commentaires nécessaires à la compréhension urbaine, historique et patrimoniale de ce parcours. Celui-ci conduit du musée d’histoire de la ville de Marseille jusqu’au MuCEM, en onze étapes qui racontent la construction et le développement de la cité au travers de sites et d’immeubles conservés qui illustrent les 26 siècles de son existence. Ce parcours sera suivi de la visite de l’exposition « le coeur d’une ville » présentée au Musée d’Histoire. Elle sera commentée par Thierry Durousseau, architecte-urbaniste, commissaire de l’exposition et l’un des plus fins connaisseurs de l’architecture, de l’urbanisme et du patrimoine de Marseille. « L’exposition propose une lecture historique du paysage urbain du centre-ville de Marseille. Elle invite à une redécouverte sensible de ses patrimoines et des caractéristiques de son architecture, évoque l’évolution de ses tracés urbains et de sa topographie. Au travers de représentations figurées de la ville et de ses monuments, de maquettes, d’échantillons de matériaux et de supports numériques, l’exposition permet de révéler les couleurs et la richesse de la matière de la ville, de plonger le regard dans ce coeur de ville et de redécouvrir sa diversité ».


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mardi 8 mars : Visite de l'exposition « Vies silencieuses » au Musée Regards de Provence

  Visite de l'exposition « Vies silencieuses » au Musée Regards de Provence : galerie photos
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Visite de l'exposition « Vies silencieuses » au Musée Regards de Provence

Regards de Provence propose, avec « Vies silencieuses », une exposition d’une centaine de natures mortes, du XVIIème au XXIème siècle, tirées pour l’essentiel de ses collections.Vies silencieuses, c’est ainsi que les anglo-saxons parlent des natures mortes. Il y a, entre ces deux expressions, comme un paradoxe, celui-là même que soulève Lamartine quand il s’exclame : « Objets inanimés, avez-vous donc une âme, qui s’attache à notre âme et la force d’aimer ?» (Milly ou la terre natale). Cette âme, est-ce celle du peintre animant les objets qu’il met en scène ? Est-ce la nôtre, projetée sur le tableau contemplé ? Est-ce celle des objets eux-mêmes, témoins de leur époque et de la société à laquelle ils appartiennent ?Nous tenterons, tout au long de la visite de l’exposition, de partager cette réflexion sur la vie que le peintre donne aux objets, mais aussi sur la finitude de toute vie, puisque les natures mortes sont toujours, plus ou moins, des vanités.Visite commentée par Régis Bernard (sociologue) et Adeline JOLY (historienne), amis du MUCEM.


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mercredi 9 mars : Visite guidée et commentée sur le Street-Art

  Visite guidée et commentée sur le Street-Art : galerie photos
par Alexandra Blanc Véa, guide conférencière spécialisée en Art Contemporain
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Visite guidée et commentée sur le Street-Art

Le Street Art est un des derniers grands mouvements artistiques de la 2ème moitié du 20ème siècle. Cette visite guidée vous mènera dans les ruelles du cours Julien, découvrir les multiples interventions artistiques présentes dans ce quartier branché de Marseille.Tout au long de cette promenade visuelle, nous étudierons les origines et l’histoire de ce mouvement né aux Etats- Unis dans les années 1970. Puis, nous observerons les outils, les supports et les techniques utilisés par ces artistes urbains, ainsi que la démarche artistique poursuivie.Paradoxalement, en utilisant les murs de la ville comme une galerie à ciel ouvert ; le Street Art est aussi devenu un mouvement répréhensible aux yeux de la loi. Parler de ce mouvement, c’est aussi: d’une part, aborder les lois anti graffiti et les moyens mis en place par l’état pour le combattre ; d’autre part, observer les solutions trouvées par les artistes pour contourner la loi et par les villes pour mettre en avant le talent de certains graffeurs.


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jeudi 24 mars : Visite commentée de l’exposition « Les collections du Prince de Liechtenstein »

  Visite commentée de l’exposition « Les collections du Prince de Liechtenstein » : galerie photos
Centre d’art Caumont à Aix-en-Provence.
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Visite commentée de l’exposition « Les collections du Prince de Liechtenstein »

Grands amateurs d'art et mécènes depuis le XVIe siècle, les princes ont constitué un fonds exceptionnel, parmi les plus importants conservés en mains privées. Et, loin de vivre sur l'acquis de cet héritage, l'actuel prince souverain Hans Adam II, poursuit une politique d'acquisitions régulières.Le commissaire de l’exposition est Johann Kräftner, directeur des collections princières de Vaduz et Vienne.Nous découvrirons cette magistrale collection avec quelques temps extrêmement forts : un très beau portrait de Raphael, une Vénus de Cranach de 1531, des toiles du XVIIème siècle de tout premier ordre de Van Dyck, Rubens et quelques merveilles du XVIIIème siècle français à travers 50 pièces magnifiques.Une opportunité de réviser ses classiques dans un hôtel particulier du XVIIIème siècle.


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samedi 26 mars : Visite commentée de l’exposition « Les collections du Prince de Liechtenstein »

  Visite commentée de l’exposition « Les collections du Prince de Liechtenstein » : galerie photos
Centre d’art Caumont à Aix-en-Provence.
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Visite commentée de l’exposition « Les collections du Prince de Liechtenstein »

Grands amateurs d'art et mécènes depuis le XVIe siècle, les princes ont constitué un fonds exceptionnel, parmi les plus importants conservés en mains privées. Et, loin de vivre sur l'acquis de cet héritage, l'actuel prince souverain Hans Adam II, poursuit une politique d'acquisitions régulières.Le commissaire de l’exposition est Johann Kräftner, directeur des collections princières de Vaduz et Vienne.Nous découvrirons cette magistrale collection avec quelques temps extrêmement forts : un très beau portrait de Raphael, une Vénus de Cranach de 1531, des toiles du XVIIème siècle de tout premier ordre de Van Dyck, Rubens et quelques merveilles du XVIIIème siècle français à travers 50 pièces magnifiques.Une opportunité de réviser ses classiques dans un hôtel particulier du XVIIIème siècle.


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jeudi 31 mars : Une journée à Sète autour de l’art contemporain : Visites du CRAC et du MIAM

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Une journée à Sète autour de l’art contemporain : Visites du CRAC et du MIAM

Sète est une ville « les pieds dans l’eau », bâtie entre l’étang de Thau et la Méditerranée mais dominée par le mont Saint-Clair qui culmine à 182 mètres. Paul Valéry l’appelait « l’île singulière ». Cette île a donné des poètes : Paul Valéry bien sûr mais aussi Georges Brassens ou encore Jean Vilar ; elle a aussi donné des artistes comme Manitas de Plata ou encore les frères Di Rosa. Elle en accueille d’autres comme Pierre Soulages qui y a un atelier.Le site est connu et occupé depuis l’âge du bronze mais le développement de la ville remonte à 1666 quand Louis XIV décide d’en faire le port qui manque sur la côte languedocienne, bien placé au débouché du Canal du Midi, lequel sera prolongé par la suite jusqu’au Rhône par le canal du Rhône à Sète. La mer, l’étang, les canaux, ont profondément marqué le paysage de cette ville ainsi que son économie : pêche et conchyliculture dans l’étang de Thau, pêche en mer côté sud, Sète est devenue le premier port de pêche français en Méditerranée, fortement imprégné d’immigration italienne et espagnole. Sète a également été un grand port vinicole du temps des importations massives de vin d’Algérie.Ce n’est donc pas un hasard si le Centre régional d’Art contemporain (CRAC) a trouvé place au coeur de la ville, mais également au coeur du port de pêche, dans un ancien centre de congélation et de conservation du poisson, quai Aspirant Herbert. Ce grand bâtiment « brut de décoffrage », délaissé pour des installations plus modernes et plus accessibles, offrait de grands volumes intérieurs, liés à la typologie industrielle, parfaitement adaptés à la présentation de l’art contemporain. La Ville de Sète, la Région et l’État décidèrent en 1993 du lancement du projet confié, après concours, à l’architecte-scénographe Laurent Piqueras. Le centre a ouvert ses portes en 1997 avec à sa tête Noëlle Tissier qui en est toujours directrice aujourd’hui et qui nous y accueillera le 31 mars prochain.Les espaces sont adaptés pour présenter des séries de monographies, des grandes expositions thématiques ou collectives, organiser des rencontres et des conférences et accueillir des groupes importants.Le 31 mars nous visiterons trois expositions monographiques : Philippe Ramette, « Promenades irrationnelles » (artiste présent dans l’exposition « J’aime les panoramas »), Philippe Durand, « Vallée des Merveilles 2 » et Olga Kisseleva, « Sea view » ainsi qu’un « project room », (travaux en recherche), « Suivre ma voix », de Emma Dusong. L’après-midi, après une découverte rapide de quelques paysages symboliques de Sète (mont Saint-Clair, cimetière marin) nous visiterons un lieu radicalement différent, le « Musée international des Arts modestes », le MIAM. Lui aussi au coeur de la ville, lui aussi en bordure de quai, il a été fondé en 2000, dans le but d’accueillir les collections d’art modeste du peintre Hervé Di Rosa et de Bernard Belluc, également artiste-plasticien, mais surtout d’offrir un refuge pour les formes d’art marginales et mal-aimées. Depuis quinze ans, le MIAM a présenté les oeuvres de 400 artistes français et étrangers, de toutes les générations, dans des expositions qui ont été à l’avant-garde du questionnement sur les frontières de l’art contemporain. Nous y serons accueillis par Bernard Belluc, l’un des deux fondateurs du musée. Celui-ci, aménagé dans un ancien chai à vin, autre symbole de l’économie sétoise a été conçu par l’architecte Patrick Bouchain.


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vendredi 1 avril : LE CLOU Exposition en deux volets - co-production Rond-Point Projects, le MuCEM et le FRAC

  LE CLOU Exposition en deux volets - co-production Rond-Point Projects, le MuCEM et le FRAC : galerie photos
Visite privée au CCR et au FRAC avec Damien Airault commissaire d’exposition et Emilie Girard, conservatrice du CCR
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LE CLOU Exposition en deux volets - co-production Rond-Point Projects, le MuCEM et le FRAC

Parmi les innombrables objets conservés dans les collections du MuCEM, on recense plus de quatre mille clous, mais aussi des objets qui détournent cet outil rudimentaire et familier d’une manière étonnante. Pour l’exposition Le Clou, le critique d’art et curateur Damien Airault imagine un display qui joue des codes de la muséographie et de l’accrochage d’art contemporain pour faire dialoguer quelques-uns de ces trésors insoupçonnés avec des oeuvres d’art moderne et contemporain provenant de collections publiques et privées ou produites pour l’occasion. Symbole par excellence du geste d’accrochage, le clou devient l’outil d’une méditation poétique et insolite sur la manière dont l’exposition transforme notre regard sur les objets.


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mardi 31 mai : LA CIOTAT : Visite commentée des Chantiers Navals et de l’Eden Théâtre

  LA CIOTAT : Visite commentée des Chantiers Navals et de l’Eden Théâtre : galerie photos
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LA CIOTAT : Visite commentée des Chantiers Navals et de l’Eden Théâtre

Visite des Chantiers NavalsCette visite se fait en deux parties : Une première partie à la maison de la Construction Navale sous la forme d’un diaporama retraçant l’histoire des Chantiers navals de leur origine jusqu’à la reconversion actuelle, suivie d’un film sur la grande époque des CNC. Une seconde partie a lieu sur le site lui-même en 4 étapes (cale de lancement 1, grand forme, site moyenne plaisance et site de haute plaisance) Toute cette visite sur le site s’effectue en bus. La présence à La Ciotat des premiers ateliers de construction maritime remonte, selon la plupart des historiens, à la fin du XVème siècle, avec une production artisanale et familiale destinée à la pêche, puis assez rapidement destinée aux grandes unités commerciales.A partir du XIX ème siècle, les nouvelles possessions d'outremer ouvrent de nouveaux marchés et l'essor de la navigation à vapeur offre de nouvelles opportunités industrielles. En 1835 Louis Benet, fils d'un riche armateur ciotaden, reprend le petit chantier de construction de voiliers dirigé par le maître charpentier Joseph Vence, pour le transformer en une entreprise moderne. C'est aussi en 1835 que l’on double la capacité du port en construisant la jetée du Bérouard. Louis Benet fait venir d’Angleterre ingénieurs et systèmes de propulsion, et lance avec Vence, en 1836, le premier paquebot à vapeur français de la Méditerranée : le Phocéen. La grande crise industrielle des années 1848-1851, conduira Louis Benet à vendre son entreprise aux Messageries Nationales, sans que cela modifie les perspectives d'avenir des chantiers de La Ciotat, qui ne cesseront d'accroître leurs activités et leurs compétences, malgré de fréquents changements d'actionnaires majoritaires, et donc dénomination. En 1916, après l'effacement des Messageries Maritimes, il devient chantier de la Société Provençale de Constructions navales (SPCN), puis, en 1940, après la faillite de cette société et son rachat par Jean-Marie Terrin, les Chantiers Navals de la Ciotat, (CNC) jusqu'en 1982, date à laquelle les CNC, les chantiers de Dunkerque et ceux La Seyne sont réunis dans une même société, la Société des Chantiers du Nord et de la Méditerranée, dite la NORMED. Le plan de restructuration tenté avec la NORMED n'empêche pas la fermeture des chantiers en 1987, dûe à la concurrence internationale accrue, aux baisses des subventions de l'Etat et aux nouvelles directives européennes. L'entreprise se trouve alors occupée jours et nuit pendant plusieurs années par plus d'une centaine de salariés qui empêchent la reconversion du site et le transfert du matériel. Leur persévérance a permis le maintien de toutes les infrastructures et le développement du pôle de haute plaisance que l'on connaît actuellement à La Ciotat.Visite de l'Eden-ThéâtreL’Eden Théâtre est un cinéma et un théâtre, Inauguré le 16 juin 1899, c’est le plus vieux cinéma et théâtre encore existant au monde. Classé aux Monuments Historiques en 1996, l’Eden Théâtre fait partie intégrante du patrimoine du 7e Art1. Il a fait l’objet de travaux de réhabilitation de mars 2007 à octobre 2013 sous l’égide d'un comité de soutien présidé par Bertrand Tavernier. Il devient une salle d'art et d’essai sa rénovation s’inspire très fortement de l’état de la salle à son ouverture. Elle est de style italien et compte 142 fauteuils. Les architectes Nicolas Masson (agence NJMH Architectes) et André Stern sont les auteurs de la réhabilitation de l'Eden. L’Eden est classé, depuis le 12 février 1996, en annexe de l'inventaire des monuments historiques ; il appartient à la ville de La Ciotat depuis 1992. Initialement, l'Eden était une salle de spectacles, inaugurée le 16 juin 1889, qui accueillait des spectacles de variété (théâtre, concerts), mais aussi des galas sportifs (boxe, lutte gréco-romaine, etc.). En 1895 s’y déroula la première projection cinématographique privée organisée par les frères Lumière1. La première projection a été L'Arrivée d'un train en gare de La Ciotat ; certains spectateurs seraient sortis de la salle en courant, de peur que le train leur fonce dessus. À partir du 21 mars 1899, un artisan ambulant s’y installe avec son propre projecteur et y diffuse des films, en alternance avec d’autres programmes de divertissement (saltimbanques, variétés)[réf. nécessaire]. Sur la scène de L’Eden se produisirent de jeunes artistes qui y feront leurs premiers pas, parmi eux Bernard Blier ou encore Marc Sined, pseudonyme de Fernand Contandin, qui deviendra célèbre sous celui de Fernandel.


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vendredi 3 juin : VISITE PRIVEE DU FRAC POUR LES AMIS DU MUCEM

  VISITE PRIVEE DU FRAC POUR LES AMIS DU MUCEM : galerie photos
A l'invitation de et par Pascal Neuveux, Directeur
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VISITE PRIVEE DU FRAC POUR LES AMIS DU MUCEM

Présentation du Fonds Régional d’Art Contemporain et du bâtiment de Kengo Kuma, inauguré en mars 2013 Visite des réserves en principe non accessibles au public : plus de 1000 oeuvres achetées en plus de 30 ans sont exposées au sous-sol et font l’objet d’environ 800 prêts par an Visite de l’exposition de et par Lieven de Boeck : « IMAGE NOT FOUND »


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mardi 7 juin : Balade d'une journée à l'Estaque, sur les pas des peintres

  Balade d'une journée à l'Estaque, sur les pas des peintres : galerie photos
Commentée par Geneviève Blanc, auteur du livre « L'Estaque, Art et Patrimoine, Chronique d'une double histoire »
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Balade d'une journée à l'Estaque, sur les pas des peintres

Depuis Cézanne et les Fauves, le nom de L’Estaque résonne partout dans l’art et dans le monde. Son site est inséparable de la naissance de l’art moderne, du cubisme en particulier. Mais autour de ces oeuvres qui ont fait la célébrité du lieu, qu’en était-il alors de la vie à L’Estaque, de son urbanisme, de ses quartiers, de ses usines, de ses habitants et de ses travailleurs ? Et que reste-t-il de ses sites représentés sur des tableaux dans le monde entier et partout reproduits ? La balade s’articule autour de tableaux (période 1870-1920), tous peints à l'Estaque. Le tableau est étudié en tant qu'oeuvre d'art et le motif comparé à des cartes anciennes, des documents d'archives ou des photos récentes. Les peintres sont principalement Cézanne, Braque, Dufy, Derain, Friesz, Marquet... Parallèlement, chaque site est un point de départ pour raconter L'Estaque, son histoire, ses usines chimiques, ses cimenteries, ses tuileries, sa population, ses grands travaux.


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mardi 14 juin : UNE JOURNEE A AIX EN PROVENCE Musée Granet et Centre d’Art Caumont

  UNE JOURNEE A AIX EN PROVENCE Musée Granet et Centre d’Art Caumont : galerie photos
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UNE JOURNEE A AIX EN PROVENCE Musée Granet et Centre d’Art Caumont

Visite commentée de l’exposition « CAMOIN DANS SA LUMIERE » au musée Granet Charles Camoin né en 1879 à Marseille appartient à cette génération d'artistes qui font la charnière entre le XIXe et le XXe, époque de tous les bouleversements qu'ils soient techniques, philosophiques ou artistiques. Proche de Matisse, Mangin et Marquet. Camoin est associé au fauvisme et il est le seul des fauves à avoir noué une relation forte avec Cézanne. Certains ont pu dire que Camoin était le plus cézannien des fauves... L'exposition rassemble des oeuvres de Camoin, dont certaines montrées pour la première fois, mais également plus de 60 oeuvres d'artistes ayant eu un rôle dans sa vie, ce sur plus de 700 m2 d'espace d'exposition.Visite commentée de l’exposition « TURNER ET LA COULEUR » au centre d’art CaumontConçue et organisée en partenariat avec le Turner Contemporary de Margate (Angleterre), l’exposition Turner et la couleur bénéficie du concours extraordinaire de la Tate Gallery de Londres, qui a mis à disposition plus de trente chefs-d’oeuvre légués à l’Etat anglais par l’artiste. Riche de plus de 100 aquarelles, gouaches et huiles sur toile provenant de prestigieux musées anglais et internationaux, tels la Royal Academy de Londres, l’Ashmolean Museum d’Oxford et le Musée d’art de Dallas, cette grande monographie est également l’occasion de découvrir des oeuvres inédites appartenant à des collections particulières, ainsi que des ensembles d’aquarelles réunis aujourd’hui pour la première fois. Dans un parcours à la fois chronologique, thématique et géographique, vous êtes invités à suivre les évolutions de la palette de Turner.


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jeudi 30 juin : Frédéric Bazille, la jeunesse de l’impressionnisme Une journée au musée Fabre, Montpellier

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Frédéric Bazille, la jeunesse de l’impressionnisme Une journée au musée Fabre, Montpellier

Cette journée à Montpellier permettra aux Amis du Mucem qui le souhaitent de s’immerger dans l’un des plus beaux musées de France, le musée Fabre. Au programme : la découverte commentée de l’exposition temporaire autour du peintre originaire de Montpellier, Frédéric Bazille, la visite guidée de l’Hôtel de Cabrières-Sabatier d’Espeyran, partie du musée Fabre consacrée aux arts décoratifs et, au choix, la visite libre des collections permanentes du musée ou la visite libre de la vieille ville de Montpellier.Le musée Fabre tient son nom de son premier grand donateur, François-Xavier Fabre (1766-1837), peintre et collectionneur, qui en 1824 propose à la ville de Montpellier de lui faire don de l’ensemble de ses collections, tableaux et bibliothèques. La ville accepte le don et construit pour recevoir ces collections l’hôtel de Massilian qui constitue encore l’une des ailes de l’actuel musée. En 1868, un autre mécène-collectionneur, Alfred Bruyas, ami de Gustave Courbet, offre également à la ville sa riche collection de tableaux de peintres contemporains qui viendra heureusement compléter celle de Fabre. Par ailleurs, le musée continue d’enrichir ses collections par des achats ou des dépôts. Le dernier donateur en date sera Pierre Soulages qui fait don au musée d’une vingtaine de toiles. Fin des années 1990, le maire de Montpellier, Georges Frêche, décide de transférer la bibliothèque municipale qui occupait une partie de l’hôtel de Massilian et, surtout l’ancien collège des jésuites attenant, dans un nouveau bâtiment et de restructurer l’ensemble pour donner au musée l’ampleur justifiée par la richesse des collections. Le nouveau musée Fabre dont la surface d’exposition est portée à 7 000 m2 est ouvert en 2007. Il comprend notamment une aile neuve destinée à accueillir les toiles de Pierre Soulages. Les architectes choisis après concours pour concevoir ce projet complexe sont les bordelais Emmanuel Lajus, Christine Pueyo, Olivier Brochet et le montpelliérain Emmanuel Nebout. Frédéric Bazille, la jeunesse de l’impressionnisme (25 juin-16 octobre 2016) : le musée Fabre est à l’initiative d’une rétrospective internationale consacrée à l’une des figures majeures du pré-impressionnisme, Frédéric Bazille (1841- 1870). L’exposition est organisée avec le musée d’Orsay à Paris et la National Gallery of Art de Washington. À cette occasion, la majorité des oeuvres de l’artiste seront rassemblées, évènement majeur compte-tenu de leur dispersion à travers le monde (New-York, Washington, Chicago, Berlin, Paris). L’exposition présente les travaux de ses contemporains (Delacroix, Courbet, Corot, Manet, Monet, Renoir, Sisley), en même temps qu’elle insiste sur l’évolution et l’originalité de sa peinture. L’hôtel de Cabrières-Sabatier d’Espeyran : dans les années 1990, le musée Fabre s’est enrichi de cet hôtel particulier situé à quelques mètres du musée, dont la famille a fait don à la ville de Montpellier. Construit en 1872 par la famille de Cabrières et resté dans la même famille depuis, il est intact et a conservé toute sa décoration intérieure et tout son mobilier, riche notamment de tapisseries d’Aubusson, des Gobelins, de vases de Sèvres, de tableaux, etc. Il peut se comparer, dans le principe de sa conservation et de sa présentation au public, au musée Grobet-Labadié de Marseille.


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samedi 10 septembre : Balade urbaine, en passant par Saint Victor

  Balade urbaine, en passant par Saint Victor : galerie photos
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Balade urbaine, en passant par Saint Victor

Depuis la colline de Notre-Dame de la Garde on promènera dans quelques coins cachés de ce quartier, avant de découvrir l'Abbaye millénaire de Jean Cassien et Guillaume de Grimoard. De sa fondation à son déclin, à travers son architecture ou son cartulaire, ce sont des pages de l'histoire médiévale européenne qu'on déroulera. On terminera par l'évocation d'un monument emblématique de Marseille, le pont transbordeur.Balade guidée et commentée par Jean-Louis Maltret, Ami du MuCEM.


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lundi 26 septembre : Balade urbaine, en passant par Saint Victor

  Balade urbaine, en passant par Saint Victor : galerie photos
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Balade urbaine, en passant par Saint Victor

Depuis la colline de Notre-Dame de la Garde on promènera dans quelques coins cachés de ce quartier, avant de découvrir l'Abbaye millénaire de Jean Cassien et Guillaume de Grimoard. De sa fondation à son déclin, à travers son architecture ou son cartulaire, ce sont des pages de l'histoire médiévale européenne qu'on déroulera. On terminera par l'évocation d'un monument emblématique de Marseille, le pont transbordeur.Balade guidée et commentée par Jean-Louis Maltret, Ami du MuCEM.


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mercredi 12 octobre : Une journée à Lyon au Musée des Confluences

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Une journée à Lyon au Musée des Confluences

Le parcours permanent du Mudée des Confluences s’attache à montrer et décrire l’infinie variété de l’histoire humaine, en posant un regard fondamentalement transversal sur les collections du musée, qui rassemblent des objets venus de tous les mondes, ceux de la nature, de la manufacture et de la création artistique, recueillis auprès de toutes les civilisations.Il se compose de quatre expositions :Origines, les récits du monde qui explore la question des origines de l’univers et de l’homme sous deux formes d’explication du monde, l’une scientifique, l’autre symboliqueEspèces, la maille du vivant qui traite de l’Homo sapiens en tant qu’espèce animale évoluant la maille complexe de la biodiversitéSociétés, le théâtre des hommes qui propose des histoires d’ici et d’ailleurs, du passé et du présentÉternités, visions de l’au-delà qui problématise la question de la mort dans les sociétés.Quant aux expositions temporaires, elles seront en octobre au nombre de trois :Antartica, pour découvrir l’extraordinaire biodiversité du continent blancPotières d’Afrique, qui propose un voyage à la rencontre des potières d’Afrique de l’OuestÀ vos pieds, une centaine de paires de chaussures qui témoignent de nos modes de vie et de nos identités.


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vendredi 14 octobre : Théâtre : « La Mouette » au Théâtre de La Criée


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mardi 25 octobre : Theatre: « L’enfant caché dans l’encrier» au Théâtre du Jeu de Paume (Aix en Pce)


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mardi 8 novembre : Découverte de deux entreprises familiales : Malongo et la Maison Fragonard

  Découverte  de deux entreprises familiales : Malongo et la Maison Fragonard : galerie photos
Malongo Fragonard

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Découverte de deux entreprises familiales : Malongo et la Maison Fragonard

MALONGO, une histoire avant tout fondée sur les valeurs humaines A l’occasion de l’exposition temporaire du Mucem « Café In » qui se tiendra du 26 octobre 2016 au 23 janvier 2017, la Fondation Malongo, membre du cercle entreprises, invite les Amis du Mucem à découvrir l’histoire de Malongo, l’identité d’une marque qui s’est forgée au gré de rencontres fortes, entre des personnages passionnés et déterminés qui lui ont insufflé ce supplément d’audace, d’originalité et d’ «âme ». FRAGONARD, une histoire, une famille Fragonard, membre des Amis du Mucem, nous propose : une visite guidée de leur usine Historique par l’une de leurs guides et la découverte des produits de parfumerie dans leur salon de vente, puis la découverte accompagnée par Eva Lorenzini, conservatrice, du Musée du Flacon, du Musée du Costume et de Bijou, du Musée JH Fragonard.


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vendredi 18 novembre : Theatre : « Ceux qui errent ne se trompent pas » au théâtre du Gymnase


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lundi 21 novembre : Exposition « Le rêve » au Musée Cantini

  Exposition « Le rêve » au Musée Cantini : galerie photos
Visite privée commentée par Guillaume Theulière, co-commissaire de l’exposition
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Exposition « Le rêve » au Musée Cantini

Dès l'antiquité, l'homme s'intéressait aux mystères du rêve avec des analyses, mythes et croyances sur les visions prémonitoires, présages, messages et avertissements des cieux... Au XXe siècle les écrits de Freud, révélaient la voie de l'accès à l’inconscient et des artistes tels que Picasso, Matisse, Brauner, Ernst se sont alors aventurés à la rencontre de leur dialogue intérieur, de leurs fantasmes, de ces territoires inconnus, constructions de l’imagination, théâtre des symboles, qui échappent aux contraintes du réel, pour les représenter. Au fil des arcanes du Jeu de Marseille, l’exposition est une voie intérieure, un rêve.


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jeudi 24 novembre : Une journée à Villeneuve-lès-Avignon

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Une journée à Villeneuve-lès-Avignon

La Chartreuse du Val de Bénédiction, implantée au pied du mont Andaon que domine le fort Saint-André, fait étroitement corps avec l’ancienne cité cardinalice de Villeneuve-lès-Avignon. Ses trois cloîtres – autour desquels se répartissent sur près de trois hectares les bâtiments conventuels – en firent la plus vaste de France après la Grande Chartreuse de Grenoble. Elle doit tout à la magnificence des papes d’Avignon et aux nombreuses implantations de cardinaux sur le territoire de la petite ville.Afin d’en favoriser l’utilisation et l’animation, l’État y a implanté dans les années 70 un Centre culturel de rencontres, le CIRCA (Centre international de recherche, de création et d’animation), devenu aujourd’hui le Centre national des écritures du spectacle (CNES). Celui-ci a notamment pour mission d’accueillir des artistes, plus particulièrement des écrivains, en résidence et de les accompagner, éventuellement, dans la réalisation de spectacles. La visite permettra de découvrir ou de redécouvrir cet ensemble monumental impressionnant, de comprendre le mode de vie des chartreux et de s’initier à la nouvelle vocation du lieu en écoutant, peut-être, un écrivain parler de son travail d’écriture. Nous visiterons enfin le petit musée Pierre-de-Luxembourg, petit par la taille et par le nombre d’œuvres exposées mais très grand par la qualité de certaines de ses œuvres comme l’extraordinaire « Couronnement de la Vierge » (1453) d’Enguerrand Quarton, l’une des plus belles peintures françaises du XVème siècle, commandée par la communauté de la Chartreuse et qui figurait dans la chapelle de la Trinité de l’abbatiale, là où se trouve le tombeau du fondateur de la Chartreuse, le pape Innocent VI.


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samedi 26 novembre : Theatre : « Slava’s Snowshow» au Grand Théâtre de Provence (Aix en Pce)


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dimanche 27 novembre : Visite de l’exposition « Merveilles de l’Orientalisme» Au Musée Regards de Provence

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Visite de l’exposition « Merveilles de l’Orientalisme» Au Musée Regards de Provence

Le Musée Regards de Provence met à l’honneur une nouvelle exposition consacrée aux Merveilles de l’Orientalisme à travers le regard d’artistes provençaux, italiens, espagnols ou algériens des XIXème et XXème siècles.Poèmes orientaux, romans et récits de voyage d’écrivains, ou encore découvertes de certains peintres-voyageurs constituent l’essentiel de l’inspiration de ce style « orientaliste » qui connut un succès fulgurant au XIXème siècle. C’est un orient réel ou fantasmé qui nous est proposé dans ces quelques quatre vingt tableaux et sculptures, issus de la collection de la Fondation Regards de Provence, de divers musées et de collections privées. Mais au fond, qu’est ce que l’Orientalisme ? Un mouvement artistique ou bien le rêve d’un autre monde ? Visite commentée par Adeline JOLY (historienne) et Régis BERNARD (sociologue), Amis du MUCEM.


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mardi 6 décembre : Visite de l’exposition « Merveilles de l’Orientalisme» Au Musée Regards de Provence

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Visite de l’exposition « Merveilles de l’Orientalisme» Au Musée Regards de Provence

Le Musée Regards de Provence met à l’honneur une nouvelle exposition consacrée aux Merveilles de l’Orientalisme à travers le regard d’artistes provençaux, italiens, espagnols ou algériens des XIXème et XXème siècles.Poèmes orientaux, romans et récits de voyage d’écrivains, ou encore découvertes de certains peintres-voyageurs constituent l’essentiel de l’inspiration de ce style « orientaliste » qui connut un succès fulgurant au XIXème siècle. C’est un orient réel ou fantasmé qui nous est proposé dans ces quelques quatre vingt tableaux et sculptures, issus de la collection de la Fondation Regards de Provence, de divers musées et de collections privées. Mais au fond, qu’est ce que l’Orientalisme ? Un mouvement artistique ou bien le rêve d’un autre monde ? Visite commentée par Adeline JOLY (historienne) et Régis BERNARD (sociologue), Amis du MUCEM.


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jeudi 15 décembre : Visite de l’exposition « Merveilles de l’Orientalisme» Au Musée Regards de Provence

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Visite de l’exposition « Merveilles de l’Orientalisme» Au Musée Regards de Provence

Le Musée Regards de Provence met à l’honneur une nouvelle exposition consacrée aux Merveilles de l’Orientalisme à travers le regard d’artistes provençaux, italiens, espagnols ou algériens des XIXème et XXème siècles.Poèmes orientaux, romans et récits de voyage d’écrivains, ou encore découvertes de certains peintres-voyageurs constituent l’essentiel de l’inspiration de ce style « orientaliste » qui connut un succès fulgurant au XIXème siècle. C’est un orient réel ou fantasmé qui nous est proposé dans ces quelques quatre vingt tableaux et sculptures, issus de la collection de la Fondation Regards de Provence, de divers musées et de collections privées. Mais au fond, qu’est ce que l’Orientalisme ? Un mouvement artistique ou bien le rêve d’un autre monde ? Visite commentée par Adeline JOLY (historienne) et Régis BERNARD (sociologue), Amis du MUCEM.