mercredi 22 janvier "Taste the World" - A Monthly Culinary Adventure! mercredi 26 mars Jardins des migrations vendredi 14 mars Une journée en Dracénie vendredi 24 janvier Visite Mucem : Méditerranées jeudi 16 janvier Visite Mucem : En piste ! Clowns, pitres et saltimbanques lundi 27 janvier Visite Mucem : En piste ! Clowns, pitres et saltimbanques
Visite commentée par Catherine Millet et Agnès Westendorp, Amies du Mucem.
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Jardins des migrations
Le Jardin des migrations, qui relie le MUCEM et le fort Saint Jean, a été aménagé de 2011 à 2013 par l’agence APS de Valence (paysagistes, urbanistes et architectes). C’est un jardin méditerranéen de plus de12 000 m2 que les marseillais ont aussitôt adopté.
Nous vous invitons à déambuler dans ce jardin unique, ouvert sur le large, hommage aux voyageurs qui ont naguère débarqué à Marseille et ont apporté avec eux des plantes de tout le pourtour de la Méditerranée. Qu’elles soient à usage domestique, aromatique, tinctorial, médicinal, ces plantes ont contribué à tisser des liens historiques entre les peuples. On en parle depuis l’Antiquité, que ce soit dans la mythologie, la Bible ou le Coran.
Cette promenade à deux voix nous permettra de visiter les divers espaces de ce jardin, dont les plantes,souvent introduites par l'homme au cours des siècles, évoquent le brassage des cultures autour de la Méditerranée. Nous pourrons comprendre les pratiques de développement durable de ce jardin sec, qui sera peut-être un modèle pour les jardins du futur.
jeudi 3 juin : DEFLAGRATIONS, Dessins d’enfants et violences de masse
Visite commentée par Natacha Cauvin, Pôle édition, chargée du catalogue de l'exposition
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DEFLAGRATIONS, Dessins d’enfants et violences de masse
L’exposition « Déflagrations » est un hommage à un geste de création très singulier : celui des enfants qui, après avoir côtoyé la mort dans des situations de guerres ou de crimes de masse, ont repris les crayons de couleur pour se raconter. Dans les camps de réfugiés, dans les villes bombardées, les écoles, les centres de soins, les ateliers, ils ont créé, tracé, joué, et rêvé aussi, en s’emparant de ce langage à la fois universel et infiniment personnel qu’est l’expression graphique. Ils ont vu les règles qui régissent l’humain saccagées, mais face à nous, se tient toute la puissance de ce geste de dessiner avec ce qu’il porte de résistance. Sur plus d’un siècle traversé, ces images nous montrent à la fois le soleil et la déflagration. L’exposition présente plus de 150 dessins provenant de musées, bibliothèques nationales et universitaires, institutions internationales et ONG, ou encore d’archives de psychiatres, de psychologues et de correspondants de guerre. Invités, des artistes et des écrivains, aux côtés de Françoise Héritier, offrent autant d’échos à ces traces déposées dans l’histoire. Parmi eux, Enki Bilal, est l’artiste associé, compagnon du projet depuis ses débuts.Commissariat : Zérane S. Girardeau, commissaire, productrice et directrice artistique, fondatrice de l'association Déflagrations
jeudi 3 juin : Jardins des migrations
Visite commentée par Catherine Millet et Agnès Westendorp, Amies du Mucem.
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Jardins des migrations
Le Jardin des migrations, qui relie le MUCEM et le fort Saint Jean, a été aménagé de 2011 à 2013 par l’agence APS de Valence (paysagistes, urbanistes et architectes). C’est un jardin méditerranéen de plus de12 000 m2 que les marseillais ont aussitôt adopté.
Nous vous invitons à déambuler dans ce jardin unique, ouvert sur le large, hommage aux voyageurs qui ont naguère débarqué à Marseille et ont apporté avec eux des plantes de tout le pourtour de la Méditerranée. Qu’elles soient à usage domestique, aromatique, tinctorial, médicinal, ces plantes ont contribué à tisser des liens historiques entre les peuples. On en parle depuis l’Antiquité, que ce soit dans la mythologie, la Bible ou le Coran.
Cette promenade à deux voix nous permettra de visiter les divers espaces de ce jardin, dont les plantes,souvent introduites par l'homme au cours des siècles, évoquent le brassage des cultures autour de la Méditerranée. Nous pourrons comprendre les pratiques de développement durable de ce jardin sec, qui sera peut-être un modèle pour les jardins du futur.
jeudi 10 juin : Civilization, Quelle époque
Visite commentée par Helia Paukner, conservatrice au Mucem
jeudi 17 juin : DEFLAGRATIONS, Dessins d’enfants et violences de masse
Visite commentée par Natacha Cauvin, Pôle édition, chargée du catalogue de l'exposition
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DEFLAGRATIONS, Dessins d’enfants et violences de masse
L’exposition « Déflagrations » est un hommage à un geste de création très singulier : celui des enfants qui, après avoir côtoyé la mort dans des situations de guerres ou de crimes de masse, ont repris les crayons de couleur pour se raconter. Dans les camps de réfugiés, dans les villes bombardées, les écoles, les centres de soins, les ateliers, ils ont créé, tracé, joué, et rêvé aussi, en s’emparant de ce langage à la fois universel et infiniment personnel qu’est l’expression graphique. Ils ont vu les règles qui régissent l’humain saccagées, mais face à nous, se tient toute la puissance de ce geste de dessiner avec ce qu’il porte de résistance. Sur plus d’un siècle traversé, ces images nous montrent à la fois le soleil et la déflagration. L’exposition présente plus de 150 dessins provenant de musées, bibliothèques nationales et universitaires, institutions internationales et ONG, ou encore d’archives de psychiatres, de psychologues et de correspondants de guerre. Invités, des artistes et des écrivains, aux côtés de Françoise Héritier, offrent autant d’échos à ces traces déposées dans l’histoire. Parmi eux, Enki Bilal, est l’artiste associé, compagnon du projet depuis ses débuts.Commissariat : Zérane S. Girardeau, commissaire, productrice et directrice artistique, fondatrice de l'association Déflagrations
lundi 21 juin : Le Grand Mezzé
Visite commentée par Edouard de Laubrie, commissaire de l'exposition
vendredi 25 juin : Jeff Koons Mucem. Œuvres de la Collection Pinault
visite commentée par sa commissaire, Emilie Girard*
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Jeff Koons Mucem. Œuvres de la Collection Pinault
L’exposition conçue en étroite collaboration avec l’artiste américain, présentera certaines de ses œuvres les plus célèbres, et explorera la relation entre ces œuvres et les objets du quotidien, photographies et documents de l’immense collection du Mucem, référence dans le domaine des arts populaires. Artiste incontournable de la fin du XXe siècle et de ce début de XXIe siècle, Jeff Koons puise son inspiration dans le quotidien, dans des objets banals, familiers, issus bien souvent de la culture américaine. En réinterprétant le concept de Readymade de Marcel Duchamp, Koons interroge l’idée même d’œuvre d’art. La variété des sujets auxquels il s’intéresse, les références continuellement présentes à l’histoire de l’art ou au monde de la publicité ainsi que le large spectre des techniques auxquelles il a recours ont contribué à faire entrer son travail dans notre imaginaire collectif, en offrant un nouveau regard sur notre relation au quotidien et aux objets qui nous entourent. Cet intérêt pour l’objet usuel fait de la rencontre entre l’artiste et la collection du Mucem un terrain de jeu parfait. Grâce au prêt exceptionnel de 19 œuvres issues de la Collection Pinault, c’est une véritable plongée dans le travail de l’artiste, jalonnée par ses œuvres phares, sculptures (comme Balloon Dog, 1994-2000, ou Lobster, 2007-2012), et peintures (comme Backyard, 2002, ou Dutch Couple, 2007) qui est proposée. L’originalité de l’exposition tient à la rencontre des œuvres de Koons avec les collections d’art populaire du Mucem. Commissaires : Elena Geuna, commissaire d’exposition indépendante, auteure et conseillère artistiqueÉmilie Girard, conservatrice en chef du patrimoine, directrice scientifique et des collections du Mucem
jeudi 1 juillet : Jeff Koons Mucem. Œuvres de la Collection Pinault
visite par sa commissaire, Emilie Girard*
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Jeff Koons Mucem. Œuvres de la Collection Pinault
L’exposition conçue en étroite collaboration avec l’artiste américain, présentera certaines de ses œuvres les plus célèbres, et explorera la relation entre ces œuvres et les objets du quotidien, photographies et documents de l’immense collection du Mucem, référence dans le domaine des arts populaires. Artiste incontournable de la fin du XXe siècle et de ce début de XXIe siècle, Jeff Koons puise son inspiration dans le quotidien, dans des objets banals, familiers, issus bien souvent de la culture américaine. En réinterprétant le concept de Readymade de Marcel Duchamp, Koons interroge l’idée même d’œuvre d’art. La variété des sujets auxquels il s’intéresse, les références continuellement présentes à l’histoire de l’art ou au monde de la publicité ainsi que le large spectre des techniques auxquelles il a recours ont contribué à faire entrer son travail dans notre imaginaire collectif, en offrant un nouveau regard sur notre relation au quotidien et aux objets qui nous entourent. Cet intérêt pour l’objet usuel fait de la rencontre entre l’artiste et la collection du Mucem un terrain de jeu parfait. Grâce au prêt exceptionnel de 19 œuvres issues de la Collection Pinault, c’est une véritable plongée dans le travail de l’artiste, jalonnée par ses œuvres phares, sculptures (comme Balloon Dog, 1994-2000, ou Lobster, 2007-2012), et peintures (comme Backyard, 2002, ou Dutch Couple, 2007) qui est proposée. L’originalité de l’exposition tient à la rencontre des œuvres de Koons avec les collections d’art populaire du Mucem. Commissaires : Elena Geuna, commissaire d’exposition indépendante, auteure et conseillère artistiqueÉmilie Girard, conservatrice en chef du patrimoine, directrice scientifique et des collections du Mucem
vendredi 2 juillet : Le Grand Mezzé
Visite commentée par Edouard de Laubrie, commissaire de l'exposition
mercredi 15 septembre : Jeff Koons Mucem. Œuvres de la Collection Pinault
visite commentée par Jean-Fabien Philippy*
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Jeff Koons Mucem. Œuvres de la Collection Pinault
L’exposition conçue en étroite collaboration avec l’artiste américain, présentera certaines de ses œuvres les plus célèbres, et explorera la relation entre ces œuvres et les objets du quotidien, photographies et documents de l’immense collection du Mucem, référence dans le domaine des arts populaires. Artiste incontournable de la fin du XXe siècle et de ce début de XXIe siècle, Jeff Koons puise son inspiration dans le quotidien, dans des objets banals, familiers, issus bien souvent de la culture américaine. En réinterprétant le concept de Readymade de Marcel Duchamp, Koons interroge l’idée même d’œuvre d’art. La variété des sujets auxquels il s’intéresse, les références continuellement présentes à l’histoire de l’art ou au monde de la publicité ainsi que le large spectre des techniques auxquelles il a recours ont contribué à faire entrer son travail dans notre imaginaire collectif, en offrant un nouveau regard sur notre relation au quotidien et aux objets qui nous entourent. Cet intérêt pour l’objet usuel fait de la rencontre entre l’artiste et la collection du Mucem un terrain de jeu parfait. Grâce au prêt exceptionnel de 19 œuvres issues de la Collection Pinault, c’est une véritable plongée dans le travail de l’artiste, jalonnée par ses œuvres phares, sculptures (comme Balloon Dog, 1994-2000, ou Lobster, 2007-2012), et peintures (comme Backyard, 2002, ou Dutch Couple, 2007) qui est proposée. L’originalité de l’exposition tient à la rencontre des œuvres de Koons avec les collections d’art populaire du Mucem. Commissaires : Elena Geuna, commissaire d’exposition indépendante, auteure et conseillère artistiqueÉmilie Girard, conservatrice en chef du patrimoine, directrice scientifique et des collections du Mucem
jeudi 16 septembre : Le Grand Mezzé
Visite commentée par Edouard de Laubrie, commissaire de l'exposition
Visite commentée par Catherine Millet et Agnès Westendorp, Amies du Mucem.
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Jardins des migrations
Le Jardin des migrations, qui relie le MUCEM et le fort Saint Jean, a été aménagé de 2011 à 2013 par l’agence APS de Valence (paysagistes, urbanistes et architectes). C’est un jardin méditerranéen de plus de12 000 m2 que les marseillais ont aussitôt adopté.
Nous vous invitons à déambuler dans ce jardin unique, ouvert sur le large, hommage aux voyageurs qui ont naguère débarqué à Marseille et ont apporté avec eux des plantes de tout le pourtour de la Méditerranée. Qu’elles soient à usage domestique, aromatique, tinctorial, médicinal, ces plantes ont contribué à tisser des liens historiques entre les peuples. On en parle depuis l’Antiquité, que ce soit dans la mythologie, la Bible ou le Coran.
Cette promenade à deux voix nous permettra de visiter les divers espaces de ce jardin, dont les plantes,souvent introduites par l'homme au cours des siècles, évoquent le brassage des cultures autour de la Méditerranée. Nous pourrons comprendre les pratiques de développement durable de ce jardin sec, qui sera peut-être un modèle pour les jardins du futur.
mercredi 27 octobre : CCR CICRP
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CCR CICRP
Le Centre de Conservation et de Ressource (CCR), constitue le troisième pôle du Mucem avec le Fort St Jean et le J4. Ce sont les « coulisses du Mucem », c’est-à-dire le site où l’on a rassemblé la totalité des collections de documents, d’oeuvres et d’objets qui constituent les fonds du musée.La visite proposée aux Amis du Mucem a pour but d’en savoir plus sur la construction de ce bâtiment, confié à Corinne Vezzoni, récompensée du Prix de la Femme Architecte de l’année 2015 par l’association pour la Recherche sur la Ville et l'Habitat. Avec une visite possible de l’« appartement témoin »
Le CICRP est géré par un groupement d’intérêt public constitué du ministère de la culture, de la ville de Marseille, des conseils régional et départemental. C’est un exemple unique en France de coopération sur ce thème de la restauration du patrimoine.
lundi 15 novembre : Je signe, donc je suis
Visite commentée par Marie-Charlotte Calafat, conservatrice et commissaire de l'exposition
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Je signe, donc je suis
Les objets d’art populaire présentés arborent tous la signature de leur auteur, signe d’authenticité et d’unicité d’une œuvre. Signer, c’est signifier un statut social et artistique. Que l’on soit ferronnier, santonnier, pastelliste, ou graffeur. On verra qu’ici, l’utile est beau et bien réalisé : une terrine, un éventail, un coffre… On constatera la minutie du travail manuel d’un horloger, la patience des brodeuses travaillant durant des centaines d’heures à leur ouvrage, ... La diversité des matériaux employés est elle aussi mise à l’honneur : terre, zinc, or, ou même ... cheveux. Cette exposition fait sortir de l’anonymat des femmes et hommes du XVIIe siècle à nos jours. Au-delà de leurs créations, elle donne à voir leurs portraits et leurs archives. Elle témoigne de leur apprentissage ainsi que de leur démarche créatrice et innovante. Pour l’abécédaire « Je signe donc je suis » les riches collections d’art populaire du musée sont convoquées pour valoriser les métiers d’art et les savoir-faire qui embellissent notre quotidien. Loin de la hiérarchie des genres, elle interroge la nature de l’artiste-artisan.
mercredi 1 décembre : Salammbô. Fureur! Passion! Eléphants
par Myriame Morel-Deledalle co-commissaire de l'exposition
Visite commentée par Marie-Charlotte Calafat, conservatrice et commissaire de l'exposition
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Je signe, donc je suis
Les objets d’art populaire présentés arborent tous la signature de leur auteur, signe d’authenticité et d’unicité d’une œuvre. Signer, c’est signifier un statut social et artistique. Que l’on soit ferronnier, santonnier, pastelliste, ou graffeur. On verra qu’ici, l’utile est beau et bien réalisé : une terrine, un éventail, un coffre… On constatera la minutie du travail manuel d’un horloger, la patience des brodeuses travaillant durant des centaines d’heures à leur ouvrage, ... La diversité des matériaux employés est elle aussi mise à l’honneur : terre, zinc, or, ou même ... cheveux. Cette exposition fait sortir de l’anonymat des femmes et hommes du XVIIe siècle à nos jours. Au-delà de leurs créations, elle donne à voir leurs portraits et leurs archives. Elle témoigne de leur apprentissage ainsi que de leur démarche créatrice et innovante. Pour l’abécédaire « Je signe donc je suis » les riches collections d’art populaire du musée sont convoquées pour valoriser les métiers d’art et les savoir-faire qui embellissent notre quotidien. Loin de la hiérarchie des genres, elle interroge la nature de l’artiste-artisan.
jeudi 16 décembre : Une lecture historique de la Méditerranée aux XVIe et XVIIe siècles
Visite commentée par Adeline Joly* et Régis Bernard*, Amis du Mucem
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Une lecture historique de la Méditerranée aux XVIe et XVIIe siècles
* Adeline Joly, historienne, Université de Lyon et Régis Bernard, sociologue, Université de Lyon, Amis du Mucem.L'exposition Connectivités propose, en suivant l’approche de Fernand Braudel, une lecture historique de la Méditerranée à travers les connexions, échanges, métissages, rivalités et guerres entre ses villes phares au XVIe et XVIIe siècles, partagées entre deux blocs et leurs sphères d’influence : l’empire Ottoman (Istanbul, Alger et Venise) et l’empire Habsbourg (Séville, Lisbonne et Gênes).Ce relatif équilibre sera rompu lorsque d’autres routes maritimes s’ouvriront, donnant lieu à de nouveaux équilibres et de nouveaux pouvoirs.