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"Populaire ?", Les trésors des collections du Mucem
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vendredi 13 décembre
Visite commentée de l’atelier «Vitraux IMBERT»
mardi 3 décembre
Découverte et exploration des sens autour des accords thés et chocolats
mercredi 5 février
Théâtre : TAIRE

Visites au Mucem 2022

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mercredi 12 janvier : VIH/sida, l’épidémie n’est pas finie !

commentée par Caroline CHENU, commissaire de l'exposition
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VIH/sida, l’épidémie n’est pas finie !

Memorial neerlandais, patchwork 2008 ©Mucem Yves Inchierman / Campagne SIDA 1988 ©C Samba Magnin Pompidou MNAM CCI Dist RMN Gd Palais     Cette exposition retrace l’histoire sociale et politique du sida. Posant un regard à la fois rétrospectif et contemporain sur l’épidémie comme sur les mobilisations qu’elle a engendrées, elle souhaite elle-même contribuer à la lutte. En effet, mettre le sida au musée, ce n’est pas l’enterrer ; c’est réaffirmer au contraire toute son actualité, comme le montre le titre de l’exposition qui reprend un slogan historique d’Act Up : « L’épidémie n’est pas finie ! »     L’épidémie est un choc pour la société. L’exposition revient sur l’impact de cet événement dans les trajectoires individuelles autant que collectives. Que ce soit à une échelle locale ou mondiale, la lutte contre le sida a concerné de nombreux aspects de l’épidémie : scientifiques et médicaux, mais aussi politiques et sociaux, pour revendiquer l’action et l’attention des pouvoirs publics et refuser la stigmatisation des malades et des communautés. La mise au point de traitements plus efficaces à partir de 1996 marque une rupture. Des années 1980 à nos jours, l’épidémie a suscité maintes hypothèses sur son origine et de nombreux discours sur les moyens de sa fin.      L’exposition interroge enfin l’héritage de l’épidémie, ce qu’elle a révélé, les avancées qu’elle a rendues possibles, principalement en termes de droits, mais également les reculs et les stagnations. Elle propose un bilan des luttes, de leurs victoires comme des obstacles toujours présents.      L’exposition « VIH/sida, l’épidémie n’est pas finie ! » offre l’occasion de valoriser l’exceptionnel fonds constitué au début des années 2000 par le Mucem sur le thème du VIH/sida. De nombreux prêts de particuliers viennent dialoguer avec cette collection pour permettre aux visiteurs de découvrir plus en détail l’histoire sociale de la lutte contre l’épidémie.


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vendredi 25 février : VIH/sida, l’épidémie n’est pas finie !

commentée par Caroline CHENU, commissaire de l'exposition
11_Bloc_23_memorial_neerlandais_patchwork_2008_Mucem©Mucem_Yves_Inchierman ok8_Cheri_Samba_campagne_SIDA_1988©C_Samba_Magnin_A_Pompidou_MNAM_CCI_Dist_RMN_Gd_Palais.gif

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VIH/sida, l’épidémie n’est pas finie !

Memorial neerlandais, patchwork 2008 ©Mucem Yves Inchierman / Campagne SIDA 1988 ©C Samba Magnin Pompidou MNAM CCI Dist RMN Gd Palais     Cette exposition retrace l’histoire sociale et politique du sida. Posant un regard à la fois rétrospectif et contemporain sur l’épidémie comme sur les mobilisations qu’elle a engendrées, elle souhaite elle-même contribuer à la lutte. En effet, mettre le sida au musée, ce n’est pas l’enterrer ; c’est réaffirmer au contraire toute son actualité, comme le montre le titre de l’exposition qui reprend un slogan historique d’Act Up : « L’épidémie n’est pas finie ! »     L’épidémie est un choc pour la société. L’exposition revient sur l’impact de cet événement dans les trajectoires individuelles autant que collectives. Que ce soit à une échelle locale ou mondiale, la lutte contre le sida a concerné de nombreux aspects de l’épidémie : scientifiques et médicaux, mais aussi politiques et sociaux, pour revendiquer l’action et l’attention des pouvoirs publics et refuser la stigmatisation des malades et des communautés. La mise au point de traitements plus efficaces à partir de 1996 marque une rupture. Des années 1980 à nos jours, l’épidémie a suscité maintes hypothèses sur son origine et de nombreux discours sur les moyens de sa fin.      L’exposition interroge enfin l’héritage de l’épidémie, ce qu’elle a révélé, les avancées qu’elle a rendues possibles, principalement en termes de droits, mais également les reculs et les stagnations. Elle propose un bilan des luttes, de leurs victoires comme des obstacles toujours présents.      L’exposition « VIH/sida, l’épidémie n’est pas finie ! » offre l’occasion de valoriser l’exceptionnel fonds constitué au début des années 2000 par le Mucem sur le thème du VIH/sida. De nombreux prêts de particuliers viennent dialoguer avec cette collection pour permettre aux visiteurs de découvrir plus en détail l’histoire sociale de la lutte contre l’épidémie.


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jeudi 24 mars : Une lecture historique de la Méditerranée aux XVIe et XVIIe siècles

Visite commentée par Adeline Joly* et Régis Bernard*, Amis du Mucem
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Une lecture historique de la Méditerranée aux XVIe et XVIIe siècles

* Adeline Joly, historienne, Université de Lyon et Régis Bernard, sociologue, Université de Lyon, Amis du Mucem.L'exposition Connectivités propose, en suivant l’approche de Fernand Braudel, une lecture historique de la Méditerranée à travers les connexions, échanges, métissages, rivalités et guerres entre ses villes phares au XVIe et XVIIe siècles, partagées entre deux blocs et leurs sphères d’influence : l’empire Ottoman (Istanbul, Alger et Venise) et l’empire Habsbourg (Séville, Lisbonne et Gênes).Ce relatif équilibre sera rompu lorsque d’autres routes maritimes s’ouvriront, donnant lieu à de nouveaux équilibres et de nouveaux pouvoirs.


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lundi 25 avril : Visite de l'exposition Abd el-Kader

commentée par Camille Faucourt, commissaire de l'exposition
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Visite de l'exposition Abd el-Kader

     L.J. Delton. Portrait d'Abd el-Kader à cheval, 1865  ©ANOM Aix en Provence      Emir de la résistance, saint combattant, fondateur de l’Etat algérien, précurseur de la codification du droit humanitaire moderne, guerrier, homme d’Etat, apôtre… Les épithètes – souvent impressionnantes, mais aussi contradictoires – affluent lorsqu’il s’agit d’évoquer l’émir Abd el-Kader, dont nous avons tous entendu parler. Mais connaît-on assez Abd el-Kader ibn Muhyî ed-Dîn ? A-t-on justement présenté celui qui inspira également de nombreux écrivains français, tels Victor Hugo qui l’appela « l’émir pensif, féroce et doux », Arthur Rimbaud qui le surnomma « le petit-fils de Jugurtha », ou encore le facétieux Gustave Flaubert qui indiquait qu’« “émir” ne se dit qu’en parlant d’Abd el-Kader » ?     L’exposition présentée au Mucem entend remettre en lumière la figure d’Abd el-Kader dans toute sa richesse et son importance historique et intellectuelle. A l’aide des recherches les plus récentes, de sources nouvelles et de collections inédites, elle déroule le fil chronologique de sa vie et explore certains aspects saillants de sa personnalité et de son action.  


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mardi 3 mai : Découverte au CCR* des coulisses des expositions

par Hervé Chadaillac, responsable des installations d'exposition au Mucem
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Découverte au CCR* des coulisses des expositions

* CCR : Centre de Conservation et de Ressources du Mucem Dans un premier temps, Hervé Chadaillac nous présentera son l'équipe, nous expliquera ce qu'est son métier d'installateur monteur d'objet d'art et de document (IMOAD).  Il nous présentera les enjeux et les techniques utilisées pour la prévention/conservation des collections du Mucem, les contraintes techniques. Il nous dévoilera comment on travaille les supports divers et variés : bois, mousse, carton, métal, tissus, ...De formation initiale « encadreur » au Musée du Louvre, il nous expliquera l'atelier de menuiserie en cadres.  Dans un deuxième temps, il y aura une mise en situation: vous deviendrez des installateurs/trices du MuCEM-CCR ; il vous présentera 2 objets, à vous de lui proposer une ou plusieurs solutions de sécurisation et de présentation. Pour avoir un contact avec la matière et un support, il vous présenta un objet(fictif) sur un support gainé,vous aurez devant vous les matériaux nécessaires ; après un temps de réflexion, vous aurez 3mns pour agir. " Prévoir sa matinée.


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jeudi 5 mai : Visite de l'exposition Abd el-Kader

commentée par Camille Faucourt, commissaire de l'exposition
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Visite de l'exposition Abd el-Kader

     L.J. Delton. Portrait d'Abd el-Kader à cheval, 1865  ©ANOM Aix en Provence      Emir de la résistance, saint combattant, fondateur de l’Etat algérien, précurseur de la codification du droit humanitaire moderne, guerrier, homme d’Etat, apôtre… Les épithètes – souvent impressionnantes, mais aussi contradictoires – affluent lorsqu’il s’agit d’évoquer l’émir Abd el-Kader, dont nous avons tous entendu parler. Mais connaît-on assez Abd el-Kader ibn Muhyî ed-Dîn ? A-t-on justement présenté celui qui inspira également de nombreux écrivains français, tels Victor Hugo qui l’appela « l’émir pensif, féroce et doux », Arthur Rimbaud qui le surnomma « le petit-fils de Jugurtha », ou encore le facétieux Gustave Flaubert qui indiquait qu’« “émir” ne se dit qu’en parlant d’Abd el-Kader » ?     L’exposition présentée au Mucem entend remettre en lumière la figure d’Abd el-Kader dans toute sa richesse et son importance historique et intellectuelle. A l’aide des recherches les plus récentes, de sources nouvelles et de collections inédites, elle déroule le fil chronologique de sa vie et explore certains aspects saillants de sa personnalité et de son action.  


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jeudi 9 juin : Jardins des migrations

Visite commentée par Catherine Millet et Agnès Westendorp, Amies du Mucem.
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Jardins des migrations

Le Jardin des migrations, qui relie le MUCEM et le fort Saint Jean, a été aménagé de 2011 à 2013 par l’agence APS de Valence (paysagistes, urbanistes et architectes). C’est un jardin méditerranéen de plus de12 000 m2 que les marseillais ont aussitôt adopté. Nous vous invitons à déambuler dans ce jardin unique, ouvert sur le large, hommage aux voyageurs qui ont naguère débarqué à Marseille et ont apporté avec eux des plantes de tout le pourtour de la Méditerranée. Qu’elles soient à usage domestique, aromatique, tinctorial, médicinal, ces plantes ont contribué à tisser des liens historiques entre les peuples. On en parle depuis l’Antiquité, que ce soit dans la mythologie, la Bible ou le Coran. Cette promenade à deux voix nous permettra de visiter les divers espaces de ce jardin, dont les plantes,souvent introduites par l'homme au cours des siècles, évoquent le brassage des cultures autour de la Méditerranée. Nous pourrons comprendre les pratiques de développement durable de ce jardin sec, qui sera peut-être un modèle pour les jardins du futur.


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jeudi 23 juin : Visite de l'exposition Abd el-Kader

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Visite de l'exposition Abd el-Kader

Dans le catalogue de l’exposition, Jean-François Chougnet, Président du Mucem écrit :«Abd el-Kader constitue plus que jamais une figure de référence importante entre la France et l’Algérie, deux pays marqués par une histoire et un destin communs mais dont les relations sont, comme on le constate chaque jour, faites d’amour et de tension, et de beaucoup d’incompréhensions.» Il poursuit en citant Victor Hugo (Orientale, Les châtiments, Jersey, 1852) :          Lui, le sultan né sous les palmes,          Le compagnon des lions roux,          Le  hadji farouche aux yeux calmes,          L'émir pensif, féroce et doux.Cette exposition a été conçue par Camille Faucourt et Florence Hudowicz, conseillées par Ahmed Bouyerdene et Christian Delorme.Cette visite sera animée par Adeline Joly, historienne et Amie du Mucem.


visite

vendredi 24 juin : Pharaons superstars

Visite commentée par Frédéric Mougenot, commissaire de l'exposition
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Pharaons superstars

     L’exposition " Pharaons Superstars " raconte comment quelques rois et reines de l’Égypte ancienne sont devenus, de nos jours, des icônes internationales, tandis que d’autres, qui ont connu leur heure de gloire dans l’Antiquité, sont presque tombés dans l’oubli.     Entre histoire et légende, ce parcours sur 5 000 ans mène le visiteur à la découverte des exploits et surtout de la notoriété posthume de ces personnages exotiques que sont les pharaons. Ces derniers peuvent servir de parabole pour illustrer la nature et les voies de la célébrité, rappelant que la renommée est éphémère, versatile et n’a pas toujours à voir avec le mérite historique.     Des hiéroglyphes égyptiens à la musique pop en passant par les enluminures médiévales et la peinture classique, l’originalité de cette exposition est de réunir une grande variété d’œuvres d’art, de documents historiques et d’objets de consommation contemporains. Tous témoignent de la popularité des pharaons, de leur nom ou de leur image, et en disent souvent davantage sur nos sociétés contemporaines, notre imaginaire et nos aspirations.     L’exposition présente près de 300 pièces issues des fonds du Mucem et des plus grandes collections françaises et européennes.


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lundi 27 juin : Visite de l'exposition Abd el-Kader

ABD EL KADER

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Visite de l'exposition Abd el-Kader

Dans le catalogue de l’exposition, Jean-François Chougnet, Président du Mucem écrit :«Abd el-Kader constitue plus que jamais une figure de référence importante entre la France et l’Algérie, deux pays marqués par une histoire et un destin communs mais dont les relations sont, comme on le constate chaque jour, faites d’amour et de tension, et de beaucoup d’incompréhensions.» Il poursuit en citant Victor Hugo (Orientale, Les châtiments, Jersey, 1852) :          Lui, le sultan né sous les palmes,          Le compagnon des lions roux,          Le  hadji farouche aux yeux calmes,          L'émir pensif, féroce et doux.Cette exposition a été conçue par Camille Faucourt et Florence Hudowicz, conseillées par Ahmed Bouyerdene et Christian Delorme.Cette visite sera animée par Adeline Joly, historienne et Amie du Mucem.


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lundi 4 juillet : Abd el-Kader : focus sur l'homme religieux

Présenté par Elisabeth LEFEBVRE et Brigitte PARENT, Amies du Mucem
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Abd el-Kader : focus sur l'homme religieux

L’émir Abd el-Kader ne fut pas seulement le héros prématuré d’une Algérie indépendante. Mystique extatique, rattaché à l’École doctrinale et à la pensée initiatique d’Ibn Arabî, il s’est imposé, pendant son exil à Damas, comme l'un des maîtres spirituels majeurs du soufisme contemporain.


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jeudi 7 juillet : Visite de l'abécédaire "Une autre Italie"

commentée par Raphael Bories, commissaire de l'exposition
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Visite de l'abécédaire "Une autre Italie"

     Cette exposition propose un abécédaire en 21 lettres (de l’alphabet italien !), composé à partir des collections du Mucem.     Depuis l’Antiquité, l’Italie exerce une influence et une fascination aussi durables que profondes en Europe et en Méditerranée. Des fastes ensevelis de Pompéi au prestige des cités de la Renaissance, et des canaux de Venise aux splendeurs de la Rome pontificale, peu de contrées suscitent un imaginaire aussi riche et foisonnant. Mais à côté de cette Italie aussi prestigieuse qu’elle est aujourd’hui touristique, il est possible d’en dessiner une autre, plus modeste mais tout aussi diverse et créative : celle du peuple, de son quotidien et de ses fêtes, de ses croyances et de ses coutumes, de ses costumes et de son artisanat.     De la Rome antique aux stades de football, de la céramique à l’orfèvrerie, et des Alpes à la Sicile : le Mucem vous mène à la découverte d’une autre Italie !


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vendredi 8 juillet : L'Atlas en mouvement

Visite commentée par l'artiste et commissaire Mathieu Pernot
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L'Atlas en mouvement

L’Atlas en mouvement présente les travaux réalisés depuis plus d’une dizaine d’années par Mathieu Pernot avec des personnes migrantes, et propose une nouvelle perspective dans la manière de les représenter. L’astronomie, la botanique, l’anatomie, la cartographie, l’histoire de l’écriture, la question de l’habitat sont convoquées dans cet atlas, comme un savoir commun à l’ensemble de l’humanité. Mêlant photographies, vidéos, supports manuscrits, cartes et objets trouvés, Mathieu Pernot propose une nouvelle forme de récit, où l’histoire partagée se raconte à plusieurs voix. De Mossoul à Alep, de Lesbos à Calais, en passant par Paris, L’Atlas en mouvement traverse les temps et les territoires de l’exil, et part à la rencontre de celles et ceux qui ont la force de l’espoir.


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samedi 9 juillet : Abd el-Kader : Focus « l’émir dans l’imagerie populaire »

Présenté par Alain Bourdy et Stéphane Jugnot - Amis du Mucem
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Abd el-Kader : Focus « l’émir dans l’imagerie populaire »

Avec les visites Focus, nous vous proposons de traverser les expositions en petit groupe en mettant l’accent sur des objets choisis ou une thématique particulière pour partager un regard d’Amis, une sensibilité, des centres d’intérêts particuliers. Cette visite Focus propose de suivre les grandes étapes de la vie d’Abd el-Kader à travers ses représentations dans l’imagerie populaire, essentiellement françaises, qui sont très nombreuses dans l’exposition : Dessins de presse, images d’Epinal, portraits, assiettes, cartes publicitaires, etc. Cette profusion des supports se développe après sa reddition en 1847 et, plus encore, après sa défense des chrétiens de Syrie, en 1860. Elle illustre combien cette forte personnalité a marqué ses contemporains. A chaque époque, une nouvelle facette : du combattant pieux au grand chef soumis ; de l’illustre prisonnier au défenseur des chrétiens ; du symbole, à son corps défendant, de la conquête de l’Algérie, à celui de la résistance au colonisateur.  


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vendredi 29 juillet : Pharaons superstars

Visite commentée par Frédéric Mougenot*, commissaire de l'exposition
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Pharaons superstars

     L’exposition " Pharaons Superstars " raconte comment quelques rois et reines de l’Égypte ancienne sont devenus, de nos jours, des icônes internationales, tandis que d’autres, qui ont connu leur heure de gloire dans l’Antiquité, sont presque tombés dans l’oubli.     Entre histoire et légende, ce parcours sur 5 000 ans mène le visiteur à la découverte des exploits et surtout de la notoriété posthume de ces personnages exotiques que sont les pharaons. Ces derniers peuvent servir de parabole pour illustrer la nature et les voies de la célébrité, rappelant que la renommée est éphémère, versatile et n’a pas toujours à voir avec le mérite historique.     Des hiéroglyphes égyptiens à la musique pop en passant par les enluminures médiévales et la peinture classique, l’originalité de cette exposition est de réunir une grande variété d’œuvres d’art, de documents historiques et d’objets de consommation contemporains. Tous témoignent de la popularité des pharaons, de leur nom ou de leur image, et en disent souvent davantage sur nos sociétés contemporaines, notre imaginaire et nos aspirations.     L’exposition présente près de 300 pièces issues des fonds du Mucem et des plus grandes collections françaises et européennes.


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jeudi 8 septembre : Visite de l'abécédaire "Une autre Italie"

commentée par Raphael Bories, commissaire de l'exposition
6_Ex_voto_representant_des_yeux_Naples_Italie_av1962©MNHN_photo_Mucem

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Visite de l'abécédaire "Une autre Italie"

     Cette exposition propose un abécédaire en 21 lettres (de l’alphabet italien !), composé à partir des collections du Mucem.     Depuis l’Antiquité, l’Italie exerce une influence et une fascination aussi durables que profondes en Europe et en Méditerranée. Des fastes ensevelis de Pompéi au prestige des cités de la Renaissance, et des canaux de Venise aux splendeurs de la Rome pontificale, peu de contrées suscitent un imaginaire aussi riche et foisonnant. Mais à côté de cette Italie aussi prestigieuse qu’elle est aujourd’hui touristique, il est possible d’en dessiner une autre, plus modeste mais tout aussi diverse et créative : celle du peuple, de son quotidien et de ses fêtes, de ses croyances et de ses coutumes, de ses costumes et de son artisanat.     De la Rome antique aux stades de football, de la céramique à l’orfèvrerie, et des Alpes à la Sicile : le Mucem vous mène à la découverte d’une autre Italie !


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mercredi 28 septembre : Pharaons superstars

Visite commentée par Enguerrand Lascols, conservateur au Mucem
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Pharaons superstars

     L’exposition " Pharaons Superstars " raconte comment quelques rois et reines de l’Égypte ancienne sont devenus, de nos jours, des icônes internationales, tandis que d’autres, qui ont connu leur heure de gloire dans l’Antiquité, sont presque tombés dans l’oubli.     Entre histoire et légende, ce parcours sur 5 000 ans mène le visiteur à la découverte des exploits et surtout de la notoriété posthume de ces personnages exotiques que sont les pharaons. Ces derniers peuvent servir de parabole pour illustrer la nature et les voies de la célébrité, rappelant que la renommée est éphémère, versatile et n’a pas toujours à voir avec le mérite historique.     Des hiéroglyphes égyptiens à la musique pop en passant par les enluminures médiévales et la peinture classique, l’originalité de cette exposition est de réunir une grande variété d’œuvres d’art, de documents historiques et d’objets de consommation contemporains. Tous témoignent de la popularité des pharaons, de leur nom ou de leur image, et en disent souvent davantage sur nos sociétés contemporaines, notre imaginaire et nos aspirations.     L’exposition présente près de 300 pièces issues des fonds du Mucem et des plus grandes collections françaises et européennes.


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vendredi 28 octobre : Amitiés, créativité collective

Visite commentée par Justine Bohbote, conservatrice au Mucem
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Amitiés, créativité collective

Que se produit-il dans l’art, lorsque «je» devient «nous» ? C'est à cette interrogation que tente de répondre l’exposition, en proposant un large panorama des œuvres coopératives les plus emblématiques de l’Histoire de l’art, de Klein à Tinguely, de Warhol à Basquiat, de Picasso à Picabia. Fruits de rencontres fortuites ou d’amitiés délibérées, ces productions souvent singulières ont su bousculer les codes esthétiques et s’affranchir davantage encore des normes établies. Depuis « les cadavres exquis» des surréalistes jusqu’aux œuvres collaboratives de l’art corporel, toutes ces énergies créatives ont su transcender la technique et dépasser les préoccupations esthétiques de leur époque. Cette exposition apporte une preuve que des philosophes, des écrivains, des musiciens, des cinéastes -tous genres confondus- ont également produit des oeuvres collectives expérimentales qui, par leur singularité même, mettent en jeu et en question l'échelle des "valeurs marchandes" et les codes esthétiques dominants. 117 œuvres sont réunies proposant -pour la première fois- différents types d’œuvres collaboratives provenant de collections publiques et privées. Exposition conçue et organisée par le Mucem en partenariat avec le Kunstmuseum de Wolfsburg.


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mercredi 23 novembre : Amitiés, créativité collective

Visite commentée par Justine Bohbote, conservatrice au Mucem
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Amitiés, créativité collective

Que se produit-il dans l’art, lorsque «je» devient «nous» ? C'est à cette interrogation que tente de répondre l’exposition, en proposant un large panorama des œuvres coopératives les plus emblématiques de l’Histoire de l’art, de Klein à Tinguely, de Warhol à Basquiat, de Picasso à Picabia. Fruits de rencontres fortuites ou d’amitiés délibérées, ces productions souvent singulières ont su bousculer les codes esthétiques et s’affranchir davantage encore des normes établies. Depuis « les cadavres exquis» des surréalistes jusqu’aux œuvres collaboratives de l’art corporel, toutes ces énergies créatives ont su transcender la technique et dépasser les préoccupations esthétiques de leur époque. Cette exposition apporte une preuve que des philosophes, des écrivains, des musiciens, des cinéastes -tous genres confondus- ont également produit des oeuvres collectives expérimentales qui, par leur singularité même, mettent en jeu et en question l'échelle des "valeurs marchandes" et les codes esthétiques dominants. 117 œuvres sont réunies proposant -pour la première fois- différents types d’œuvres collaboratives provenant de collections publiques et privées. Exposition conçue et organisée par le Mucem en partenariat avec le Kunstmuseum de Wolfsburg.


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vendredi 25 novembre : Terre de A à Z

commentée par Françoise Dallemagne, commissaire de l'exposition
10_Fabrication_des_jarres_Vallauris_1er_juin_1945_Mucem©Mucem_Guy_Moinet

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Terre de A à Z

     La terre est à la fois l'un des premiers et l'un des plus anciens matériaux mis à la disposition de l'homme : la céramique, dont le nom vient du grec ancien kéramos (signifiant "terre à potier" ou "argile"), fut le premier art du feu, bien avant le travail du verre ou du métal.      C'est avant tout la terre qui est au fondement du travail de la céramique ! Ensuite, à l'aide de l'eau, les mains de l'artisan la travaillent afin de la rendre plus malléable, de la modeler et de la mettre en forme. Puis l'air intervient et enveloppe les pièces lors du séchage. Enfin, le feu vient révéler les couleurs et les transparences, et apporte la touche finale aux céramiques, un résultat parfois surprenant... Parce qu'elle associe les quatre éléments, l'eau et la terre, le feu et l'air, la céramique s'est très tôt chargée d'une dimension symbolique.      Sur le principe de la vitrine "De la terre au pot" (autrefois présentée dans la galerie culturelle de l'ancien musée national des Arts et Traditions populaires), cette exposition explore les formes et leur permanence, les gestes et techniques, ainsi que la virtuosité des artisans.


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lundi 5 décembre : Connectivités : Focus sur « Venise la méditerranéenne »

par Adeline Joly, Historienne, Amie du Mucem
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Connectivités : Focus sur « Venise la méditerranéenne »

L’exposition Connectivités présente, en suivant l’approche de l’historien Fernand Braudel, une histoire des grandes cités portuaires de la Méditerranée des XVIe et XVIIe siècles : Istanbul, Alger, Venise, Gênes, Séville et Lisbonne, points stratégiques de pouvoir et d’échanges dans une Méditerranée encore dominante, alors que l’Europe s’ouvre aux nouveaux mondes. Arrêtons-nous ensemble pour une escale un peu plus longue à Venise, et observons ce qui a fait la spécificité de cette si singulière cité.


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vendredi 9 décembre : Terre de A à Z

commentée par Françoise Dallemagne, commissaire de l'exposition
10_Fabrication_des_jarres_Vallauris_1er_juin_1945_Mucem©Mucem_Guy_Moinet

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Terre de A à Z

     La terre est à la fois l'un des premiers et l'un des plus anciens matériaux mis à la disposition de l'homme : la céramique, dont le nom vient du grec ancien kéramos (signifiant "terre à potier" ou "argile"), fut le premier art du feu, bien avant le travail du verre ou du métal.      C'est avant tout la terre qui est au fondement du travail de la céramique ! Ensuite, à l'aide de l'eau, les mains de l'artisan la travaillent afin de la rendre plus malléable, de la modeler et de la mettre en forme. Puis l'air intervient et enveloppe les pièces lors du séchage. Enfin, le feu vient révéler les couleurs et les transparences, et apporte la touche finale aux céramiques, un résultat parfois surprenant... Parce qu'elle associe les quatre éléments, l'eau et la terre, le feu et l'air, la céramique s'est très tôt chargée d'une dimension symbolique.      Sur le principe de la vitrine "De la terre au pot" (autrefois présentée dans la galerie culturelle de l'ancien musée national des Arts et Traditions populaires), cette exposition explore les formes et leur permanence, les gestes et techniques, ainsi que la virtuosité des artisans.


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vendredi 9 décembre : Exposition Ghada Amer

commentée par sa commissaire Hélia Paukner
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Exposition Ghada Amer

                                Ghada Amer : Self Portrait in Black and White 2020©Ghada Amer Lekpkowski      Déployée sur trois lieux (Mucem, FRAC et Centre de la Vieille Charité), l'exposition réunit les différents modes d’expression plastique de l’artiste franco-égyptienne, depuis ses débuts jusqu’à ses créations les plus récentes.     Née au Caire en 1963, Ghada Amer et sa famille s’installe à Nice en 1974 où elle s’y formera à la villa Arson avant d'intégrer l’Institut des hautes études en arts plastiques à Paris. Révoltée par la difficulté de s’affirmer comme peintre dans les années 1980 – et a fortiori comme femme peintre –, Ghada Amer élabore une œuvre de toiles et d’installations brodées ainsi que de sculptures et de jardins, à travers lesquels la peinture s’affirme progressivement.      La broderie, la peinture, la céramique, le bronze et la création de sculptures-jardins sont autant de techniques par lesquelles Ghada Amer s’affirme aujourd’hui comme une voix majeure des enjeux postcoloniaux et féministes de la création contemporaine. Au gré de son parcours entre ce qu’on appelle l’Orient et l’Occident, Ghada Amer interroge d’une culture à l’autre les représentations, les rapports de domination, les processus d’assimilation ou d’opposition.     La visite se poursuivra au FRAC ; nous nous y rendrons à pied après la visite de l'exposition. Hélia Paukner nous y accompagnera et nous commentera les oeuvres de Ghada Amer exposés au FRAC.  Enfin, elle dira quelques mots sur celles exposées à la Vieille Charité , mais nous laissera y aller en visite libre.


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lundi 12 décembre : Une lecture historique de la Méditerranée aux XVIe et XVIIe siècles

Visite commentée par Adeline Joly* et Régis Bernard*, Amis du Mucem
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Une lecture historique de la Méditerranée aux XVIe et XVIIe siècles

* Adeline Joly, historienne, Université de Lyon et Régis Bernard, sociologue, Université de Lyon, Amis du Mucem.L'exposition Connectivités propose, en suivant l’approche de Fernand Braudel, une lecture historique de la Méditerranée à travers les connexions, échanges, métissages, rivalités et guerres entre ses villes phares au XVIe et XVIIe siècles, partagées entre deux blocs et leurs sphères d’influence : l’empire Ottoman (Istanbul, Alger et Venise) et l’empire Habsbourg (Séville, Lisbonne et Gênes).Ce relatif équilibre sera rompu lorsque d’autres routes maritimes s’ouvriront, donnant lieu à de nouveaux équilibres et de nouveaux pouvoirs.