lundi 2 décembre "Populaire ?", Les trésors des collections du Mucem mercredi 4 décembre Voyage à Paris jeudi 28 novembre Paradis Naturistes vendredi 13 décembre Visite commentée de l’atelier «Vitraux IMBERT» mardi 3 décembre Découverte et exploration des sens autour des accords thés et chocolats mercredi 5 février Théâtre : TAIRE
jeudi 19 janvier : Connectivités : Focus sur « Venise la méditerranéenne »
par Adeline Joly, Historienne, Amie du Mucem
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Connectivités : Focus sur « Venise la méditerranéenne »
L’exposition Connectivités présente, en suivant l’approche de l’historien Fernand Braudel, une histoire des grandes cités portuaires de la Méditerranée des XVIe et XVIIe siècles : Istanbul, Alger, Venise, Gênes, Séville et Lisbonne, points stratégiques de pouvoir et d’échanges dans une Méditerranée encore dominante, alors que l’Europe s’ouvre aux nouveaux mondes.
Arrêtons-nous ensemble pour une escale un peu plus longue à Venise, et observons ce qui a fait la spécificité de cette si singulière cité.
vendredi 27 janvier : Connectivités : Focus sur « Les Jésuites et la mondialisation »
Visite-focus animée par Régis Bernard, Ami du Mucem
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Connectivités : Focus sur « Les Jésuites et la mondialisation »
Un des fils rouges de Connectivités nous raconte comment, au XVIème siècle, la Méditerranée - « cœur vivant de la civilisation occidentale » pour Fernand Braudel – s’ouvre au monde entier et engendre ainsi ce que les historiens considèrent aujourd’hui comme la première mondialisation.Les acteurs en furent nombreux : navigateurs, conquistadors, marchands... Mais aussi missionnaires - catholiques dans un premier temps – et, parmi eux, plus particulièrement les Jésuites.Notre visite s’intéressera aux moments de l’exposition qui évoquent le rôle majeur que joua la Compagnie de Jésus dans la construction de la modernité.
lundi 27 février : Une lecture historique de la Méditerranée aux XVIe et XVIIe siècles
Visite commentée par Adeline Joly* et Régis Bernard*, Amis du Mucem
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Une lecture historique de la Méditerranée aux XVIe et XVIIe siècles
* Adeline Joly, historienne, Université de Lyon et Régis Bernard, sociologue, Université de Lyon, Amis du Mucem.L'exposition Connectivités propose, en suivant l’approche de Fernand Braudel, une lecture historique de la Méditerranée à travers les connexions, échanges, métissages, rivalités et guerres entre ses villes phares au XVIe et XVIIe siècles, partagées entre deux blocs et leurs sphères d’influence : l’empire Ottoman (Istanbul, Alger et Venise) et l’empire Habsbourg (Séville, Lisbonne et Gênes).Ce relatif équilibre sera rompu lorsque d’autres routes maritimes s’ouvriront, donnant lieu à de nouveaux équilibres et de nouveaux pouvoirs.
jeudi 2 mars : Exposition "Alexandrie, futurs antérieurs"
Visite commentée par Enguerrand Lascols, conservateur du patrimoine
mardi 21 mars : Centre de Conservation et de Ressources
Centre Interdisciplinaire de Conservation et de Restauration du Patrimoine
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Centre de Conservation et de Ressources
Pour tous ceux et celles qui ont suivi avec intérêt le séminaire « Les coulisses des musées », la commission « Activités » vous invite à découvrir ou redécouvrir le Centre de Conservation et de Ressources situé dans le quartier de la Belle de Mai, non loin de la gare Saint Charles et qui abrite l’ensemble des collections du Mucem
Ces collections, héritées du musée national des arts et traditions populaires et du musée de l’Homme (avec un dépôt de plus de 30 000 objets) et enrichies depuis le début des années 2 000 de près de 20 000 objets provenant de l’aire méditerranéenne, sont stockées dans le respect des normes de conservation préventive dans ce bâtiment entièrement conçu pour garantir leur sécurité et leur conservation.
Nous serons accueillis par Marie-Charlotte Calafat,Conservatrice du Patrimoine. Responsable du département des collections et des ressources documentaires
Cette visite nous donnera aussi l’opportunité de voir l’exposition « Savoir-faire textiles en Méditerranée commentée par Raphaël Bories, Conservateur Responsable du pôle Croyances et Religions
Le Centre Interdisciplinaire de Conservation et Restauration du Patrimoine intervient dans la conservation curative et préventive, dans l’étude et la recherche des phénomènes d’altération des matériaux et dans l’accueil des œuvres en restauration. IL est doté d’équipements scientifiques permettant de mener à bien la caractérisation de matériaux très divers,en particulier sur des micro-échantillons, et d’en étudier les propriétés. La visite de ce lieu nous ouvre à un univers où tableaux-toiles et cadres- tapisseries, meubles sont confiés au diagnostic des experts scientifiques dotés d’un matériel technologique de pointe et à des restaurateurs spécialisés
Cette visite sera commentée par Dominique Vingtain, directrice du CICRP
samedi 25 mars : Exposition "Alexandrie, futurs antérieurs"
Visite commentée par Enguerrand Lascols, conservateur du patrimoine
mercredi 5 avril - lundi 3 mai : Exposition "Connectivités" partie contemporaine
par Nicolas Binet géographe-urbaniste et Ami du Mucem
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Exposition "Connectivités" partie contemporaine
La première partie de l'exposition permanente "Connectivités" montre, à partir d'une lecture de Fernand Braudel, la singularité de 6 grandes villes-port méditerranéennes aux XVIème et XVIIème siècles, leurs relations, la tension des rivalités impériales et les ouvertures, principalement vers l'Ouest Atlantique, dans une mondialisation naissante.
Le volet contemporain juxtapose au XXIème siècle, sur cette même "Mare Nostrum", la situation de deux mégalopoles -Le Caire et Istanbul-, deux métropoles en construction -Marseille, et Casablanca Tanger Tétouan-, et deux capitales- Lisbonne et Athènes.
A quels défis sont-elles confrontées dans une économie globalisée ?Dans quels flux démographiques s'inscrivent-elles ?Quels héritages et mutations depuis la Méditerranée du XVI ème siècle ?
jeudi 6 avril : Jardins des migrations
Visite commentée par Catherine Millet et Agnès Westendorp, Amies du Mucem.
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Jardins des migrations
Le Jardin des migrations, qui relie le MUCEM et le fort Saint Jean, a été aménagé de 2011 à 2013 par l’agence APS de Valence (paysagistes, urbanistes et architectes). C’est un jardin méditerranéen de plus de12 000 m2 que les marseillais ont aussitôt adopté.
Nous vous invitons à déambuler dans ce jardin unique, ouvert sur le large, hommage aux voyageurs qui ont naguère débarqué à Marseille et ont apporté avec eux des plantes de tout le pourtour de la Méditerranée. Qu’elles soient à usage domestique, aromatique, tinctorial, médicinal, ces plantes ont contribué à tisser des liens historiques entre les peuples. On en parle depuis l’Antiquité, que ce soit dans la mythologie, la Bible ou le Coran.
Cette promenade à deux voix nous permettra de visiter les divers espaces de ce jardin, dont les plantes,souvent introduites par l'homme au cours des siècles, évoquent le brassage des cultures autour de la Méditerranée. Nous pourrons comprendre les pratiques de développement durable de ce jardin sec, qui sera peut-être un modèle pour les jardins du futur.
jeudi 13 avril : Connectivités : Focus sur « Les Jésuites et la mondialisation »
Visite-focus animée par Régis Bernard, Ami du Mucem
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Connectivités : Focus sur « Les Jésuites et la mondialisation »
Un des fils rouges de Connectivités nous raconte comment, au XVIème siècle, la Méditerranée - « cœur vivant de la civilisation occidentale » pour Fernand Braudel – s’ouvre au monde entier et engendre ainsi ce que les historiens considèrent aujourd’hui comme la première mondialisation.Les acteurs en furent nombreux : navigateurs, conquistadors, marchands... Mais aussi missionnaires - catholiques dans un premier temps – et, parmi eux, plus particulièrement les Jésuites.Notre visite s’intéressera aux moments de l’exposition qui évoquent le rôle majeur que joua la Compagnie de Jésus dans la construction de la modernité.
jeudi 20 avril : Alexandre le Grand, sa vie, son séjour et son oeuvre en Egypte et la ville d'Alexandrie
Visite commentée par Annie-Dominique Chevalier, Amie du Mucem
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Alexandre le Grand, sa vie, son séjour et son oeuvre en Egypte et la ville d'Alexandrie
Alexandre le Grand arrive en Egypte en 331 avant JC et fonda la ville qui portera le nom d’Alexandrie, port sur la côte qui va se localiser entre le Lac Mariout et la mer Méditerranée. Nous verrons la vie d’Alexandre le Grand, sa formation militaire, ses études, ses premières campagnes et victoires contre le Roi Darius et son arrivée en Egypte. Son court séjour dans sa future ville, sa venue dans l’Oasis de Siwa, sa consultation de l’Oracle au Temple d’Amon, sa nomination comme Pharaon d’Egypte et son départ vers d’autres conquêtes en direction du Moyen Orient et de l’Orient.
Ensuite nous analyserons grâce aux superbes aquarelles de Jean Claude GOLVIN, prêtées par le Musée de l’Arles Antique, la construction de la ville, ses agrandissements, la problématique du stockage de l’eau, la localisation des principaux monuments antiques et ce que nous voyons aujourd’hui. Nous terminerons par les catacombes, localisations et architectures.
samedi 29 avril : Les dieux égyptiens à la mode gréco-romaine : un syncrétisme original
Visite commentée par Annie-Dominique Chevalier, Amie du Mucem
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Les dieux égyptiens à la mode gréco-romaine : un syncrétisme original
En arrivant en Egypte en 331 avant JC, Alexandre le Grand va fonder une nouvelle Alexandrie, devenir Pharaon d’Egypte et mettre en place un bilinguisme entre les dieux grecs et les dieux de l’Egypte ancienne. Le souverain gréco-macédonien en accord avec les prêtres égyptien va même promouvoir un dieu « Osiris-Apis » qui se voit attribuer un nom grec Sérapis. Sérapis qui est le dieu d’Alexandrie avec son sanctuaire et son sérapéum cohabitera avec les dieux égyptiens (Isis, Horus, Osiris…) qui vont adopter une représentation macédonienne et hellénistique. La déesse Isis va même être associé très étroitement à son fils Horus pour devenir une Isis allaitante qui aura une diffusion dans tout le bassin méditerranéen. Nous allons assister à un véritable syncrétisme des dieux égyptiens et grecs.Horus enfant sera assimilé au dieu Harpocrate, Horus pourra aussi revêtir la tenue de légionnaire, Anubis devenir cavalier et même porter la toge romaine !!
vendredi 5 mai : Connectivités : Focus sur « Venise la méditerranéenne »
par Adeline Joly, Historienne, Amie du Mucem
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Connectivités : Focus sur « Venise la méditerranéenne »
L’exposition Connectivités présente, en suivant l’approche de l’historien Fernand Braudel, une histoire des grandes cités portuaires de la Méditerranée des XVIe et XVIIe siècles : Istanbul, Alger, Venise, Gênes, Séville et Lisbonne, points stratégiques de pouvoir et d’échanges dans une Méditerranée encore dominante, alors que l’Europe s’ouvre aux nouveaux mondes.
Arrêtons-nous ensemble pour une escale un peu plus longue à Venise, et observons ce qui a fait la spécificité de cette si singulière cité.
lundi 8 mai : Visite de finissage de l'exposition "Alexandrie, futurs antérieurs"
commentée par Myriame Morel, historienne de l'art, archéologue
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Visite de finissage de l'exposition "Alexandrie, futurs antérieurs"
jeudi 11 mai : Une lecture historique de la Méditerranée aux XVIe et XVIIe siècles
Visite commentée par Adeline Joly* et Régis Bernard*, Amis du Mucem
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Une lecture historique de la Méditerranée aux XVIe et XVIIe siècles
* Adeline Joly, historienne, Université de Lyon et Régis Bernard, sociologue, Université de Lyon, Amis du Mucem.L'exposition Connectivités propose, en suivant l’approche de Fernand Braudel, une lecture historique de la Méditerranée à travers les connexions, échanges, métissages, rivalités et guerres entre ses villes phares au XVIe et XVIIe siècles, partagées entre deux blocs et leurs sphères d’influence : l’empire Ottoman (Istanbul, Alger et Venise) et l’empire Habsbourg (Séville, Lisbonne et Gênes).Ce relatif équilibre sera rompu lorsque d’autres routes maritimes s’ouvriront, donnant lieu à de nouveaux équilibres et de nouveaux pouvoirs.
mercredi 17 mai : Jardins des migrations
Visite commentée par Catherine Millet et Agnès Westendorp, Amies du Mucem.
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Jardins des migrations
Le Jardin des migrations, qui relie le MUCEM et le fort Saint Jean, a été aménagé de 2011 à 2013 par l’agence APS de Valence (paysagistes, urbanistes et architectes). C’est un jardin méditerranéen de plus de12 000 m2 que les marseillais ont aussitôt adopté.
Nous vous invitons à déambuler dans ce jardin unique, ouvert sur le large, hommage aux voyageurs qui ont naguère débarqué à Marseille et ont apporté avec eux des plantes de tout le pourtour de la Méditerranée. Qu’elles soient à usage domestique, aromatique, tinctorial, médicinal, ces plantes ont contribué à tisser des liens historiques entre les peuples. On en parle depuis l’Antiquité, que ce soit dans la mythologie, la Bible ou le Coran.
Cette promenade à deux voix nous permettra de visiter les divers espaces de ce jardin, dont les plantes,souvent introduites par l'homme au cours des siècles, évoquent le brassage des cultures autour de la Méditerranée. Nous pourrons comprendre les pratiques de développement durable de ce jardin sec, qui sera peut-être un modèle pour les jardins du futur.
jeudi 25 mai : Les Maternités de A à Z
commentée par sa commissaire, Caroline CHENU
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Les Maternités de A à Z
La maternité est un thème universel et originel. Nul besoin d’être mère pour en avoir une de référence, de différents caractères, de la Madre en madone à la daronne adorée. Comment une langue maternelle traduit-elle le désir et le choix de devenir mère, ou pas ? Par quels termes et quelles œuvres dire l’absence de choix de n’être mère, exprimer l’infertilité, le renoncement, ou l’impensé, la perte d’un enfant ? La maternité évoque encore les figures de la belle-mère, la grand-mère, la mère absente, la mater dolorosa, la mère courage, la mère indigne, la mère nourricière. Entre le mystère de l’incarnation, le miracle de la naissance et la matérialité mouvante des muqueuses, l’exposition épèle les maternités dans leur pluralité, à partir des collections exclusives du Mucem. Que racontent aujourd’hui ces objets des représentations populaires et de la société qui les a produits ? Que montrent ces maternités des statuts, des voix et des ventres des femmes ?
mercredi 7 juin : BARVALO, Roms, Sinti, Manouches, Gitans, Voyageurs...
commentée par Jonah Steinberg, co-commissaire de l'exposition
jeudi 15 juin : Connectivités : Focus sur « Les Jésuites et la mondialisation »
Visite-focus animée par Régis Bernard, Ami du Mucem
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Connectivités : Focus sur « Les Jésuites et la mondialisation »
Un des fils rouges de Connectivités nous raconte comment, au XVIème siècle, la Méditerranée - « cœur vivant de la civilisation occidentale » pour Fernand Braudel – s’ouvre au monde entier et engendre ainsi ce que les historiens considèrent aujourd’hui comme la première mondialisation.Les acteurs en furent nombreux : navigateurs, conquistadors, marchands... Mais aussi missionnaires - catholiques dans un premier temps – et, parmi eux, plus particulièrement les Jésuites.Notre visite s’intéressera aux moments de l’exposition qui évoquent le rôle majeur que joua la Compagnie de Jésus dans la construction de la modernité.
vendredi 16 juin : Connectivités : Focus sur « Venise la méditerranéenne »
par Adeline Joly, Historienne, Amie du Mucem
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Connectivités : Focus sur « Venise la méditerranéenne »
L’exposition Connectivités présente, en suivant l’approche de l’historien Fernand Braudel, une histoire des grandes cités portuaires de la Méditerranée des XVIe et XVIIe siècles : Istanbul, Alger, Venise, Gênes, Séville et Lisbonne, points stratégiques de pouvoir et d’échanges dans une Méditerranée encore dominante, alors que l’Europe s’ouvre aux nouveaux mondes.
Arrêtons-nous ensemble pour une escale un peu plus longue à Venise, et observons ce qui a fait la spécificité de cette si singulière cité.
samedi 17 juin : BARVALO, Roms, Sinti, Manouches, Gitans, Voyageurs...
commentée par Jonah Steinberg, co-commissaire de l'exposition
commentée par Myriame Morel, commissaire de l'exposition, historienne de l'art
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Connectivités
La partie "Connectivités" de la Galerie de la Méditerranée ouverte depuis 2017 va faire peau neuve sous peu. Venez une dernière fois la visiter commentée par sa conservatrice, Myriame Morel."Connectivités" raconte une histoire des grandes cités portuaires de la Méditerranée des XVIe et XVIIe siècles : Istanbul, Alger, Venise, Gênes, Séville et Lisbonne sont alors les points stratégiques de pouvoir et d'échanges dans une Méditerranée qui voit naître la modernité entre grands empires et globalisation.Prenant pour socle de réflexion La Méditerranée et le monde méditerranéen à l'époque de Philippe II, l'exposition propose de suivre les pas de l'historien Fernand Braudel et d'aborder cette Méditerranée des XVIe et XVIIe siècles non pas comme un objet d'étude aux bornes chronologiques strictes, mais comme un personnage dont il s'agirait de raconter l'histoire en l'inscrivant dans la longue durée, allant jusqu'à l'interroger dans la période contemporaine.Invitant les visiteurs à un saut dans le temps, cette histoire urbaine est également abordée aujourd'hui, à travers l'évolution de territoires portuaires contemporains : les mégapoles d'Istanbul et du Caire et les métropoles de Marseille et de Casablanca. Il s'agit en effet d'aborder la ville en développement comme le lieu vers lequel convergent et s'intensifient les flux, les connexions, les échanges, et donc, le pouvoir.
mercredi 12 juillet : Les Maternités de A à Z
commentée par sa commissaire, Caroline CHENU
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Les Maternités de A à Z
La maternité est un thème universel et originel. Nul besoin d’être mère pour en avoir une de référence, de différents caractères, de la Madre en madone à la daronne adorée. Comment une langue maternelle traduit-elle le désir et le choix de devenir mère, ou pas ? Par quels termes et quelles œuvres dire l’absence de choix de n’être mère, exprimer l’infertilité, le renoncement, ou l’impensé, la perte d’un enfant ? La maternité évoque encore les figures de la belle-mère, la grand-mère, la mère absente, la mater dolorosa, la mère courage, la mère indigne, la mère nourricière. Entre le mystère de l’incarnation, le miracle de la naissance et la matérialité mouvante des muqueuses, l’exposition épèle les maternités dans leur pluralité, à partir des collections exclusives du Mucem. Que racontent aujourd’hui ces objets des représentations populaires et de la société qui les a produits ? Que montrent ces maternités des statuts, des voix et des ventres des femmes ?
vendredi 1 septembre : Connectivités : Focus sur « Les Jésuites et la mondialisation »
Visite-focus animée par Régis Bernard, Ami du Mucem
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Connectivités : Focus sur « Les Jésuites et la mondialisation »
L’exposition Connectivités va finir le 11 septembre. Venez profiter de cette dernière opportunitépour découvrir le rôle des Jésuites dans la mondalisation de ma Méditerrané. Un des fils rouges de Connectivités nous raconte comment, au XVIème siècle, la Méditerranée - « cœur vivant de la civilisation occidentale » pour Fernand Braudel – s’ouvre au monde entier et engendre ainsi ce que les historiens considèrent aujourd’hui comme la première mondialisation.Les acteurs en furent nombreux : navigateurs, conquistadors, marchands... Mais aussi missionnaires - catholiques dans un premier temps – et, parmi eux, plus particulièrement les Jésuites. Notre visite s’intéressera aux moments de l’exposition qui évoquent le rôle majeur que joua laCompagnie de Jésus dans la construction de la modernité.
lundi 4 septembre : Connectivités : Focus sur « Venise la méditerranéenne »
par Adeline Joly, Historienne, Amie du Mucem
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Connectivités : Focus sur « Venise la méditerranéenne »
L’exposition Connectivités va finir le 11 septembre. Venez profiter de cette dernière opportunité pour découvrir Venise, la Méditerranéenne, commentée par notre Amie Adeline Joly, historienne.
Cette exposition présente, en suivant l’approche de l’historien Fernand Braudel, une histoire des grandes cités portuaires de la Méditerranée des XVIe et XVIIe siècles : Istanbul, Alger, Venise, Gênes, Séville et Lisbonne, points stratégiques de pouvoir et d’échanges dans une Méditerranée encore dominante, alors que l’Europe s’ouvre aux nouveaux mondes. Arrêtons-nous ensemble pour une escale un peu plus longue à Venise, et observons ce qui a fait la spécificité de cette si singulière cité.
vendredi 8 septembre : Connectivités : Une lecture historique de la Méditerranée aux XVIe et XVIIe siècles
Visite commentée par Adeline Joly* et Régis Bernard*, Amis du Mucem
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Connectivités : Une lecture historique de la Méditerranée aux XVIe et XVIIe siècles
*Adeline Joly, historienne, Université de Lyon et Régis Bernard, sociologue, Université de Lyon, Amis du Mucem
L'exposition "Connectivités" se termine le 11 septembre, venez profiter de cette dernière Lecture historique de la Méditerranée commentée par nos Amis.
L'exposition Connectivités propose, en suivant l'approche de Fernand Braudel, une lecture historique de la Méditerranée à travers les connexions, échanges, métissages, rivalités et guerres entre ses villes phares au XVIe et XVIIe siècles, partagées entre deux blocs et leurs sphères d'influence: l'empire Ottoman (Istanbul, Alger et Venise) et l'empire des Hasbourg (Séville, Lisbonne et Gênes). Ce relatif équilibre sera rompu lorsque d'autres routes maritimes s'ouvriront, donnant lieu à de nouveaux équilibre et de nouveaux pouvoirs.
mercredi 13 septembre : Les Maternités de A à Z
commentée par sa commissaire, Caroline CHENU
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Les Maternités de A à Z
La maternité est un thème universel et originel. Nul besoin d’être mère pour en avoir une de référence, de différents caractères, de la Madre en madone à la daronne adorée. Comment une langue maternelle traduit-elle le désir et le choix de devenir mère, ou pas ? Par quels termes et quelles œuvres dire l’absence de choix de n’être mère, exprimer l’infertilité, le renoncement, ou l’impensé, la perte d’un enfant ? La maternité évoque encore les figures de la belle-mère, la grand-mère, la mère absente, la mater dolorosa, la mère courage, la mère indigne, la mère nourricière. Entre le mystère de l’incarnation, le miracle de la naissance et la matérialité mouvante des muqueuses, l’exposition épèle les maternités dans leur pluralité, à partir des collections exclusives du Mucem. Que racontent aujourd’hui ces objets des représentations populaires et de la société qui les a produits ? Que montrent ces maternités des statuts, des voix et des ventres des femmes ?
lundi 18 septembre : Visite Fashion Folklore
commentée par Marie-Charlotte CALAFAT commissaire de l'exposition
vendredi 1 décembre : Hôtel de Caumont Exposition Alphonse Mucha
Visite commentée par Laurent Genest, Diplômé de l'Ecole du Louvre
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Hôtel de Caumont Exposition Alphonse Mucha
Organisé en collaboration avec la Fondation Mucha, l'Hôtel de Caumont consacre cette année son exposition d'hiver au grand maître de l'Art Nouveau, Alphonse Mucha (1860-1939) .Cet artiste prolifique et visionnaire a révolutionné le rapport à l'art de ses contemporains en appliquant son esthétique, si caractéristique, à de multiples domaines comme les affiches, la publicité, la décoration intérieure ou encore le théâtre de la Belle Epoque.
Noël 1894, Sarah Bernhard exige avant le Nouvel An, une nouvelle affiche pour Gismonda, Mucha se rend au Théâtre de la Renaissance. La Diva enthousiaste signe immédiatement avec l'artiste un contrat de six ans, lui confiant la création de ses affiches, ses décors et ses costumes.
Un format nouveau, presque grandeur nature, une femme à la silhouette éthérée, coiffée de lys et auréolée d'une mosaïque dorée, à mi-chemin entre la sainte byzantine et la muse des Floralies, et surtout, loin des habituelles couleurs criardes, une palette de bleus pastels d'une ineffable douceur. L'Art nouveau est né. Si la célébrité de Mucha, vient tout particulièrement de ses élégantes affiches d'un style très affirmé, cette activité ne doit pas occulter les nombreux autres aspects de sa production (peintures, sculptures, dessins, projets de décors et objets d'art), ni la part mystique et visionnaire, voire politique de son oeuvre. A travers près de 120 oeuvres provenant de la Fondation Mucha, cette exposition met en lumière toute la splendeur et l'évolution du style Mucha où mysticisme, symbolisme, identité slave et beauté se côtoient.
vendredi 1 décembre : Hôtel de Caumont Exposition Alphonse Mucha
Visite commentée par Laurent Genest, Diplômé de l'Ecole du Louvre
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Hôtel de Caumont Exposition Alphonse Mucha
Organisé en collaboration avec la Fondation Mucha, l'Hôtel de Caumont consacre cette année son exposition d'hiver au grand maître de l'Art Nouveau, Alphonse Mucha (1860-1939) .Cet artiste prolifique et visionnaire a révolutionné le rapport à l'art de ses contemporains en appliquant son esthétique, si caractéristique, à de multiples domaines comme les affiches, la publicité, la décoration intérieure ou encore le théâtre de la Belle Epoque.
Noël 1894, Sarah Bernhard exige avant le Nouvel An, une nouvelle affiche pour Gismonda, Mucha se rend au Théâtre de la Renaissance. La Diva enthousiaste signe immédiatement avec l'artiste un contrat de six ans, lui confiant la création de ses affiches, ses décors et ses costumes.
Un format nouveau, presque grandeur nature, une femme à la silhouette éthérée, coiffée de lys et auréolée d'une mosaïque dorée, à mi-chemin entre la sainte byzantine et la muse des Floralies, et surtout, loin des habituelles couleurs criardes, une palette de bleus pastels d'une ineffable douceur. L'Art nouveau est né. Si la célébrité de Mucha, vient tout particulièrement de ses élégantes affiches d'un style très affirmé, cette activité ne doit pas occulter les nombreux autres aspects de sa production (peintures, sculptures, dessins, projets de décors et objets d'art), ni la part mystique et visionnaire, voire politique de son oeuvre. A travers près de 120 oeuvres provenant de la Fondation Mucha, cette exposition met en lumière toute la splendeur et l'évolution du style Mucha où mysticisme, symbolisme, identité slave et beauté se côtoient.
mercredi 6 décembre : Exposition René Perrot (1912-1979) Mon pauvre coeur est un hibou
commentée par Raphaël Bories et Marie Charlotte Calafat, commissaires de l'exposition
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Exposition René Perrot (1912-1979) Mon pauvre coeur est un hibou